Ma semaine très crêpes... Direction la Belgique ! Les bouquettes d'Isabelle à ma façon...

Et voilà, ça ne dure jamais bien longtemps sans que la gourmandise ne m’entraîne du coté de la Belgique ! Il faut dire qu'il y a du côté du plat pays bien des choses à découvrir dès lors que l'on s'intéresse à ce qui se mange. Mais je ne savais pas que l'on pouvait trouver des... bouquettes !

J'ai découvert la recette des bouquettes grâce à Isabelle alors que je lui demandais ce que je pouvais faire sur une plancha avec un goût de par là-bas. Subitement la gourmande liégeoise s'est écriée, enfin un cri virtuel mais un cri quand même, tu peux faire des bouquettes ! 

Des bouquettes, des bouquettes... j'ai eu alors beau chercher, me demander si ces bouquettes-là étaient végétales, animales ou peut-être même minérales, et rien, non rien de rien ! Alors je lui ai avoué que décidément non je ne connaissais pas ces bouquettes et qu'il fallait qu'elle m'en dise plus, beaucoup plus !

Et c'est comme ça que quelques instants plus tard j'étais devant mon écran à lire sa recette et à me dire que décidément la « couisine » belge a de bien beaux attraits. J'ai donc suivi la recette d'Isabelle, enfin celle de sa grand-mère, qui contrairement à ce que proposent d'autres recettes utilise de la farine classique, blanche, et de la farine de sarrasin moit'/moit' et font cuire leurs bouquettes avec du saindoux... Après à vous de voir !

Les bouquettes d'Isabelle à ma façon...

Pour la pâte : 500kg de farine - 25cl lait tiède - 50cl d'eau - 20gr de levure fraîche - 1 ou 2 œufs - 1càs d’huile de tournesol - 1 pincée de sel

Pour garnir la pâte : des raisins secs trempés dans du thé pour les réhydrater (vous pouvez aussi réhydrater les raisins dans un mélange de thé et de rhum) – des pommes coupées en petits morceaux cuites dans un peu d'eau, de beurre et de sirop de Liège (ou d'un autre sirop) - de la cassonade

Pour cuire : du beurre ou la matière grasse de votre choix.

Commencez en diluant la levure dans le lait puis laissez reposer une dizaine de minutes.

Versez ensuite la farine et le sel dans un grand saladier, c'est important qu'il soit grand ! mélangez et faites un puits au centre. 

Incorporez ensuite au le lait à la levure l’œuf ou les œufs et l'huile et commencez à versez ce mélange dans la farine en mélangeant bien. Ajoutez alors l'eau, toujours en mélangeant, il faut obtenir une jolie pâte à crêpe un peu épaisse, comme une pâte à pancake.

Oubliez alors la pâte une paire d'heures à température ambiante en couvrant d'un torchon (et il est propre le torchon!). C'est là où vous allez comprendre que la taille du saladier est importante la pâte doublant pratiquement de volume !

Ensuite vous n'avez plus qu'à faire cuire vos bouquettes dans une poêle avec un peu de beurre à feu moyen. Vous versez une louchette de pâte et vous ajoutez un peu de garniture, des raisins ou des pommes, Isabelle préconise aussi des cerises en conserve maison mais comme je n'en avais pas... En tout cas pas trop de garniture, un peu. Vous laissez joliment colorer d'un côté et hop vous retournez et vous faites colorer aussi joliment de l'autre côté !

Ensuite il ne vous reste plus qu'à les saupoudrer de cassonade et à les déguster de préférence aussitôt cuits !

Et comme toujours si vous avez des recettes de crêpes, de chez vous, de votre région ou du bout du monde, n'hésitez pas, les commentaires vous sont grands ouverts !

Mais pourquoi, ça doit être pas mal Liège en hiver... est-ce que je vous raconte ça...

Ma semaine très crêpes... Direction l'Angleterre avec mes Staffordshire oatcakes !

J'adooooore les crêpes comme disait l'autre en parlant des sushis... Il faut dire qu'il n'y a pas plus facile qu'une crêpe à cuisiner et que ça se mange encore plus facilement nature ou avec un tas de choses, salées ou sucrées, rien ne résiste aux crêpes !

Bon, le problème à la maison, c'est que ma bande d'affamés t'avale un tas de crêpes qui arrive pratiquement au plafond en moins de temps qu'il m'en faut pour allumer le gaz ! 

Du coup régulièrement je fais des crêpes, des montagnes de crêpes, je me transforme alors en sorte de pieuvre avec toutes mes poêles sur le feu et quand je crie à la cantonade dans la maison, crêpes qui n'en veux ! J'ai l'impression de me retrouver pris au milieu d'un ouragan sans que j'arrive à distinguer qui que ce soit tellement ils vont vite à arriver... pour une fois. Et quand je retrouve mon équilibre et que je retourne dans ma cuisine, j'y retrouve mes affamés devant une assiette vide qui me regardent et qui me disent, ben papa t'as pas parlé de crêpes ? Et elles sont où donc ?

Alors je recommence, j'en refais presque jusqu'au plafond, je pousse mon cri de ralliement et... je recommence... Les enfants sont cruels avec la crêpe.

Et comme j'aime bien le changement je me suis dit que cette semaine je pourrais me changer la crêpe et le pancake en faisant un petit tour de ce qui se fait par chez nous ou dans le monde dans ce domaine. Et pour commencer j'ai eu envie de crêpes que je ne connaissais pas, de crêpes anglaises attrapées sur un joli panorama de cette cuisine britannique si négligée par ici et qui pourtant... Mais ça c'est une autre histoire... Donc direction la perfide Albion pour ces premières crêpes au nom contrariant, les Staffordshire oatcakes !

Mes staffordshire oatcakes

Ingrédients :

Pour les crêpes : 250g de flocons d'avoine - 100g de farine complète – 100g de farine blanche – 1càs de levure de boulangerie déshydratée – 1càc de levure chimique – 1 pincée de sel – 80cl d'eau tiède (traditionnellement on utilise de l'eau et du lait moit'/moit' à vous de choisir) – de l'huile neutre, de tournesol par exemple pour la cuisson

Pour servir : du chocolat noir – de la confiture (la mienne est de la confiture de mangue et fruit de la passion, mais une bonne marmelade d'orange...) - des amandes effilées légèrement dorées

Normalement on utilise du oatmeal pour cette recette donc de la farine de flocons d'avoine mais comme elle reste difficile à trouver par chez nous faites simplement comme moi, utilisez des flocons d'avoine que vous mixerez jusqu'à obtenir une farine assez grossière ! C'est ce qu'il y a dans la cuillère en dessous du plat.

Une fois les flocons mixés c'est très simple, versez les farines, les levures et le sel dans un saladier, mélangez bien le tout, faites un petit volcan au milieu puis commencez à versez le liquide que vous aurez choisis, soit de l'eau, soit donc moit'/moit' d'eau et de lait. Mélangez au fur et à mesure en remuant avec une cuillère. Il n'est pas forcément nécessaire d'utiliser tout le liquide, il faut en ajouter jusqu'à obtenir une pâte à crêpe assez épaisse.

Oubliez votre pâte avec un torchon dessus (on recommence avec le torchon propre...?) pendant une paire d'heures.

Vous pouvez alors réaliser les crêpes, avec cette quantité de pâte j'en ai fait une dizaine. Autant vous dire que j'en recommence une tournée ! Attention comme la pâte reste bien épaisse retirez la poêle du feu entre chaque crêpe et aidez-vous du fond de la louche pour étaler.

Ensuite sucrée comme les miennes avec de la confiture ou du chocolat fondu parce que c'était l'heure du quatre heures ou plus traditionnellement salées comme on le fait en Angleterre avec ces crêpes-là en les farcissant avec du lard, des œufs et du fromage par exemple...

Et si jamais vous avez des recettes de crêpes de chez vous, de votre grand-mère, de votre région, ou du bout du monde, n'hésitez pas à les partager dans les commentaires !

Mais pourquoi, et après l'Angleterre, la Belgique ? est-ce que je vous raconte ça...

Mon canard colvert voyageur à l'asiatique au riz parfumé...

Il y a quelques temps, quand j'ai cuisiné des cailles à l'invitation d'Eva et l'Interprochasse, je vous l'ai dit là Mes p'tites cailles sur leur jardinière de légumes... je suis arrivé dans un univers culinaire où je marchais sur des œufs tant mes connaissances dans ce domaine étaient... ou plutôt n'étaient pas, puisque cette cuisine du gibier ne faisait pas partie de mes habitudes. Mais comme souvent une fois passées les premières inquiétudes, la cuisine reprend sa place et quand les bonnes odeurs commencent à remplir la cuisine les doutes s'envolent aussitôt.

Et aujourd'hui c'est donc le retour du gibier dans ma cuisine avec une nouvelle découverte pour moi : le colvert ! Et comme plus tu fais, plus tu sais faire comme disait l'autre, je dois dire que cette fois ma question culinaire n'était pas, est-ce que je vais arriver à faire ? mais plutôt comment je vais faire ?

J'ai souvent l'appétit qui fonctionne à travers mes souvenirs et dans ce cas je me souvenu de mes années si heureuses pendant lesquelles nous vivions dans le 13e arrondissement parisien et où à longueur de rue je léchais les vitrines où se trouvaient accrochés de jolis canards tout rôtis et tout croquants. Et je me suis alors demandé si le colvert qui n'est pas un canard comme les autres, pouvait passer à la casserole, dans une casserole aux senteurs asiatiques!

Il n'en fallait pas plus pour que je me lance et que les parfums qui se sont élevés depuis ma cuisine nous entraînent, mon colvert et moi, du côté de Mankin ou du 13e... Et quelques temps plus tard, et comme l'appétit et l'imagination sont décidément de jolis moteurs pour la cuisine, quand le plat est arrivé je me suis dit que pour les repas de fin d'année... A vous de voir !

Mon canard colvert voyageur à l'asiatique au riz parfumé...

Ingrédients :

Pour laquer le canard : 1canard colvert prêt à cuire de 600 à  700g – 2càs de miel liquide – 1càs de sauce soja – 1 ¼ càc de cinq épices en poudre – ½ càc de gingembre frais râpé finement – ½ càc de Maïzena - ¼ càc de sel

Pour le riz : 320g de riz (j’ai utilisé un mélange de trois riz, blanc, complet et sauvage) – 2 petits bâtons de cannelle – 2 étoiles de badiane – 4 clous de girofle – 4 graines de cardamome - sel

Portez à ébullition une grande casserole d’eau. Dès qu’elle arrive à ébullition ajoutez ¼ càc de cinq épices, remuez puis plongez le canard dans l’eau 1minute.

Sortez alors le canard de l’eau, égouttez-le, séchez-le bien avec du papier absorbant puis laissez-le refroidir au frais.

Pendant ce temps préparez le laquage, mélangez dans un bol le miel, le soja, la cuillère à café restante de cinq épices, le gingembre, la Maïzena et le sel. Portez le contenu du bol à ébullition au micro-ondes puis laissez refroidir.

Versez 1càs de laquage dans le canard et faites-le tourner pour qu’elle se répartisse bien.

Posez alors le canard sur une grille puis laquez-le au pinceau. Mettez au frais 1heure puis remettez une deuxième couche de laquage. Réservez jusqu’au lendemain, jusqu’à ce que le laquage soit bien sec et la peau bien ferme.

Enfournez alors votre canard, toujours sur une grille, pendant 15 minutes à 210° puis baissez à 180° et poursuivez la cuisson 10 minutes. Vérifiez alors la cuisson du canard, elle va varier selon sa taille. A ce moment-là le mien était cuit juste encore un poil rosé. Vous pouvez poursuivre la cuisson mais attention ne cuisez pas trop sinon il risque de sécher.

Pendant la cuisson du canard, préparez le riz dans une grande casserole d’eau salée dans laquelle vous aurez ajouté les épices et suivant les conseils de l’emballage pour le temps de cuisson. Quand le riz est cuit égouttez-le bien.

Vous n’avez plus qu’à servir le colvert sur un lit de riz…

Et bien sûr vous pouvez utiliser cette même recette avec un canard ordinaire, pensez seulement à augmenter le temps de cuisson, comptez pour un canard d’1,5kg une cuisson à 180° de 40 à 45 minutes.

Et comme nous sommes plusieurs à avoir accepté de cuisiner du gibier vous pourrez retrouver nos recettes sur le site de l’Interprochasse, groupement de professionnels de la filière chasse, au fil du temps par ici : Les blogueurs cuisinent du gibier

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Mais pourquoi... je pense à Lulu la Nantaise à chaque fois que je pars dans la cuisine asiatique… est-ce que je vous raconte ça…

Cinq idées de plats pour rendre vos fêtes furieusement fruités !

Il y a quelques temps Charles & Alice me proposait d'écrire un livre où leurs desserts aux fruits seraient mis à toutes les sauces... sucrées ! Et je dois dire que je me suis vraiment amusé avec les produits de la marque. Simplement sans doute parce qu'ils correspondent à mes goûts, des fruits encore des fruits, pas de sucre ajouté et une jolie gamme bio avec des fruits cueillis par chez nous !

Charles & Alice m'a proposé un nouveau défi de mettre cette fois leurs desserts aux fruits à la sauce... toujours sucrée mais aussi salée en composant tout un repas pour les fêtes ! Et je dois dire que j'ai pris le même plaisir à composer ces nouvelles recettes que je vous propose aujourd'hui histoire, peut-être si l'appétit vous en dit, de rendre vos plats de fêtes furieusement fruités !

Coquilles Saint-Jacques au chutney de mangue

Ingrédients :

·         Charles & Alice Sans Sucres Ajoutés Pommes Mangues : 2 pots

·         Noix de Saint-Jacques : 12

·         Sucre en poudre : 2 c. à s.

·         Vinaigre de cidre : 1 c. à s.

·         Gingembre frais : 4 tranches

·         Huile neutre : 1 c. à c. 

·         Feuilles de cerfeuil : 1 c. à s.

·         Baies roses : ½ c. à c.

·         Sel et poivre

 Commencez la recette en réalisant le chutney : versez dans une petite casserole le sucre en poudre, le vinaigre et les tranches de gingembre. Faites chauffer à feu doux en remuant jusqu'à ce que le sucre en poudre soit fondu. Ajoutez les 2 pots de dessert aux fruits Pommes Mangues. Remuez bien et laissez sur le feu deux à trois minutes en remuant régulièrement.

Retirez du feu et réservez.

Badigeonnez les noix de Saint-Jacques d'huile à l'aide d'un pinceau. Faites chauffer une poêle à feu vif pour y dorer les noix très rapidement de chaque côté. Salez et poivrez les noix une fois qu'elles sont dorées.

Répartissez le chutney au fond des assiettes, déposez par-dessus les noix de Saint-Jacques et terminez en parsemant le cerfeuil et les baies roses.

Foie gras poêlé à la châtaigne et aux pommes vertes

Ingrédients :

·         Charles & Alice Bio Pommes et Châtaignes : 2 pots

·         Escalopes de foie gras : 4

·         Pomme verte : 1/2

·         Jus de citron vert : 1 c. à c.

·         Marrons glacés : 2

·         Pousses de salade : 1 petit bol

·         Sel et poivre

Hachez grossièrement les marrons glacés.

Taillez la pomme verte en très fins bâtonnets et arrosez-les avec le jus de citron vert.

Faites chauffer une poêle à feu vif pour y dorer le foie gras rapidement, à peine quelques minutes de chaque côté.

Répartissez les 2 pots de dessert aux fruits Pommes et Châtaignes dans les assiettes, déposez par-dessus les tranches de foie gras et terminez en ajoutant les pousses de salade, les marrons hachés et les bâtonnets de pommes.

Magret de canard poêlé à la purée de céleri et à la rhubarbe

Ingrédients :

·         Charles & Alice Sans Sucres Ajoutés Pommes Rhubarbe : 2 pots

·         Magrets de canard de 300g (environ) : 4

·         Céleri : 350g

·         Pommes de terre à purée : 350g

·         Beurre : 30g

·         Pousses de salades : 1 petit bol

·         Noisettes émondées : 4 c. à s.

·         Noix de muscade : 1 pincée

·         Sel et poivre

Faites cuire le céleri et les pommes de terre pelés et coupés en cubes dans une casserole  d'eau bouillante et salée pendant 20 minutes.

Egouttez les pommes de terre et le céleri et passez-les au presse purée.

Remettez le tout dans la casserole et faites chauffer à feu moyen. Ajoutez le beurre coupé en cubes et la noix de muscade. Salez, poivrez et mélangez le tout jusqu'à ce que le beurre soit bien incorporé. Retirez du feu et réservez.

Entaillez la peau du canard en losanges à l’aide d’un grand couteau puis salez et poivrez les entailles.

Faites chauffer une poêle à feu vif pour y cuire le canard 3 à 5 minutes de chaque côté, selon la cuisson que vous souhaitez (saignant ou à point). Quand les magrets sont cuits retirez-les de la poêle et emballez-les dans du papier de cuisine.

Versez une cuillère à café de jus de canard prélevé dans la poêle dans une petite casserole et mélangez avec les desserts aux fruits Pommes Rhubarbe. Faites chauffer le tout à feu doux.

Répartissez dans les assiettes le dessert aux fruits Pommes Rhubarbe, la purée de céleri/pommes de terres éventuellement en quenelles et les magrets de canard coupés en tranches puis terminez en parsemant les pousses de salades et les noisettes grossièrement concassées.

Nuage de fromage blanc à la cerise et aux cerises confites

Ingrédients :

·         Charles & Alice Sans Sucres Ajoutés Pommes Cerises : 2 pots

·         Fromage blanc : 10cl

·         Crème liquide entière : 10cl

·         Sucre glace : 1 c. à s.

·         Cerises confites : 16

·         Copeaux de chocolat blanc : 4 c. à c.

Coupez la moitié des cerises confites en petits morceaux et le reste en deux.

Fouettez la crème liquide et le sucre glace de manière à obtenir une chantilly bien ferme.

Déposez le fromage blanc dans un grand bol puis incorporez-lui délicatement la chantilly et les cerises confites en petits morceaux.

Dans des verres ou des verrines, répartissez les desserts aux fruits Pommes Cerises et la préparation au fromage blanc en alternant les couches.

Terminez en répartissant les demi-cerises confites et en parsemant par-dessus les copeaux de chocolat blanc.

Réservez au frais jusqu’au moment de servir

Gâteau à la mirabelle aux fruits secs et aux épices

Ingrédients :

·         Charles & Alice Sans Sucres Ajoutés Pommes Mirabelles : 2 pots

·         Beurre mou : 120g

·         Miel liquide : 60g

·         Sucre en poudre : 180g

·         Œufs : 2

·         Farine : 360g

·         Levure chimique : ½ sachet

·         Fruits secs coupés en petits cubes (raisins, figues, dattes...) : 150g

·         Epices à pain d'épice : ½ c. à c.

·         Blanc d'œuf : 1 c. à s.

·         Jus de citron : 1 c. à s.

·         Sucre glace : 90g

Dans un saladier, versez le beurre, le miel et le sucre et fouettez jusqu'à obtenir une crème onctueuse. Incorporez les œufs un par un en fouettant bien à chaque fois.

Ajoutez le dessert aux fruits Pommes Mirabelles et mélangez bien. Tamisez ensemble la farine, la levure et les épices au-dessus du saladier puis mélangez.

Ajoutez les fruits secs et incorporez-les à la pâte.

Versez la pâte dans un moule beurré et fariné et enfournez une cinquantaine de minutes dans un four préchauffé à 180°.

Quand le gâteau est cuit, démoulez-le puis laissez le tiédir sur une grille.

Pendant ce temps, versez le blanc d'œuf, le jus de citron et le sucre glace dans un petit saladier et fouettez jusqu'à obtenir un glaçage bien homogène.

Quand le gâteau est tiède, arrosez-le avec le glaçage et décorez-le éventuellement avec des amandes ou des fruits secs.

Laissez-le refroidir avant de déguster.

Mais pourquoi, mais c'est déjà dans un mois les fêtes... purée... est-ce que je vous raconte ça...

Cuisinez simple, cuisinez bon ! Mon gâteau au yaourt pomme et citron vert !

Le gâteau au yaourt et sans doute ce qu'on fait de plus simple en pâtisserie maison... bon, il y en a d'autres presque aussi simples, pour faire un quatre-quart si on sait compter jusqu'à quatre on doit pouvoir y arriver, mais encore faut-il avoir une balance... Alors que le gâteau au yaourt lui ne demande rien de plus que quelques ingrédients et un pot de yaourt !

Enfin avec un p'tit moule et un four c'est quand même mieux si on veut le mener à bien, mais donc pas grand chose de plus, ce n'est sans doute pas pour rien que les écoles aiment ce gâteau-là qui permet même aux plus petits de mettre les mains dans la pâtisserie. Bon à condition d'avoir une patience d'enseignant parce que moi franchement les petites mains qui touillent la pâte juste après s'être sauvagement mouché avec les mêmes doigts dans un mouchoir très virtuel... je ne suis pas sûr d'avoir la patience pour ce genre de jeu.

Quoi qu'il en soit il est tout simple... à l'origine ! Mais ce n'est pas une raison pour le laisser à sa simplicité et ne pas s'amuser aussi à lui varier les goûts et les couleurs !

Et comme ce week-end je suis du côté de Louviers pour une jolie rencontre gastronomique dont vous trouverez le détail, là : Au four et au moulin ! et qu'ils ont eu la bonne idée d'organiser, lors de cette rencontre, un petit challenge de customisation de gâteau au yaourt, je me suis demandé aujourd'hui ce que je pourrais bien faire avec ce tout simple, pour en faire autre chose d'encore assez simple mais bien plus gourmand ! Et quelques temps plus tard j'avais sur ma table...

Mon gâteau au yaourt pomme et citron vert !

Ingrédients :

La base du gâteau :1 yaourt nature - 2 pots de sucre – 1sachet de sucre vanillé - 3 pots de farine - 1/2 pot d'huile neutre - 3 œufs - 1/2 sachet de levure chimique - 1 pincée de sel

Les plus :

Pour dedans : 3 petites pommes – 20g de beurre – 2càs de sucre roux – le zeste d'1/2 citron vert – 1càs de citron vert

Pour dessus : ½càs de blanc d’œuf – ½càs de jus de citron vert – du sucre glace – du zeste de citron vert – 2càs de pistaches grossièrement hachées

Commencez en préparant les pommes. Pelez-les puis coupez-les en morceaux pas trop gros, sans le trognon bien sûr. Mettez le beurre dans une poêle puis ajoutez les pommes quand il a bien fondu et faites revenir un petite dizaine de minutes à feu moyen jusqu'à ce qu'elles commence à joliment dorer. Ajoutez alors le sucre, le zeste et le jus de citron et laissez sur le feu jusqu'à ce que tout ça caramélise gentiment. Retirez du feu et réservez.

Préparez ensuite la pâte. Versez le yaourt dans un saladier et ajoutez dans l’ordre en mélangeant bien les sucres, les œufs un à un, la farine, la levure, le sel, l’huile.

Ajoutez les pommes et mélangez rapidement. Mettez le tout dans un moule beurré et fariné, en cherchant à attraper un moule j'ai attrapé une poêle en fonte, rien d'obligatoire ! Enfournez pendant une quarantaine de minutes dans un four préchauffé à 180°.

Pendant ce temps mélangez le blanc d’œuf et le jus de citron vert pour le dessus et ajoutez du sucre glace petit à petit, comptez 3 ou 4càs, en mélangeant bien jusqu'à obtenir une jolie glace royale pas trop coulante.

Quand le gâteau est cuit à point versez la glace royale dessus alors qu'il est encore chaud ainsi que le zeste et les pistaches et le plus difficile reste à faire... attendre qu'il tiédisse ou qu'il refroidisse !

Et si vous voulez jouer avec nous ce week-end ou juste venir papoter un peu n'hésitez pas, c'est donc à Louviers que ça se passe !

Mais pourquoi, c'est bien une légende qu'il pleut toujours en Normandie hein hein... est-ce que je vous raconte ça...

Mes gaufres sans gluten multicolores avocat et betterave aux œufs... parce que des fois c'est beau et c'est bon en même temps !

J'aime les gaufres, les gaufres sous toutes leurs formes du moment qu'elles soient croustillantes, sucrées, salées, tard le soir devant la cheminée ou tôt le matin à l'heure du déjeuner, celles que l'on mange dans les foires, celles de Bruxelles ou celles de Liège... j'ai d'ailleurs une petite faiblesse pour ces dernières... quoi qu'il en soit j'aime les gaufres ! Je pourrais même dire j'adooooore les gaufres !

Et pour tester mélange pour crêpes, gaufres & pancakes sans gluten de Maïzena, un des produits de la gamme sans gluten développée par la marque, je me suis dit qu'une gaufre colorée, parfumée, croustillante forcément, tout à fait parfaite pour un brunch tardif ou un dîner léger ce n'était pas une mauvaise idée !

Mes gaufres sans gluten multicolores avocat et betterave aux œufs...

Ingrédients :

Pour la pâte : 1 sachet de mélange pour crêpes, gaufres & pancakes sans gluten Maïzena (255g) – 3 œufs – 20cl de lait - 90g de beurre fondu –

Pour garnir les gaufres : 4 œufs - ½ petite betterave coupée en tout petits cubes – ½ avocat coupé en tout petits cubes – 4 cives émincées très finement (vous pouvez aussi utiliser des oignons nouveaux) – 4càc de ciboulette – sel et poivre – du beurre pour le gaufrier

Réalisez la pâte à gaufre en mélangeant les œufs et le lait dans un saladier. Ajoutez le mélange Maïzena et le beurre et fouettez le tout.

Faites chauffer votre gaufrier, attention un gaufrier pour gaufres liégeoises, et versez une louche de pâte, n'en versez pas trop quitte à ne pas avoir des gaufres parfaitement régulières comme les miennes, sinon vous risquez de manquer de place en ajoutant les autres ingrédients. Parsemez sans attendre sur la pâte 1càs de betterave et autant d'avocat et de cives et 1càc de ciboulette. Déposez enfin un œuf sur le tout, salez, poivrez et refermez le gaufrier, ce qui va bien sûr écraser l’œuf.

Faites cuire environ trois minutes jusqu'à ce que la gaufre soit bien dorée. Le temps de cuisson dépend considérablement des gaufriers, en tout cas faites votre gaufre à « feu vif » si vous pouvez régler la température.

Vous n'avez plus ensuite qu'à mettre sur vos gaufres éventuellement un peu de sauce à votre choix, personnellement j'ai choisi de tenter ma sriracha préférée avec un trait de citron vert, mais je me dis que ça doit aussi être pas mal avec une bonne sauce BBQ ou même un ketchup bien parfumé... Et à les accompagner d'une jolie salade.

Et si vous souhaitez réaliser ces gaufres-là en version plus classique voilà les ingrédients : 180g de farine – 60g de fleur de maïs Maïzena – 2 œufs – 18cl de lait - 2càc de levure chimique – 60g de beurre fondu - 1pincée de sel et la recette est toute simple, mélangez la farine, la fleur de maïs Maïzena, la levure et le sel. Ajoutez les jaunes d’œufs, le lait et le beurre fondu et mélangez le tout. Fouettez les blancs d’œufs en neige et incorporez-les à la pâte. Ensuite réalisez la recette de la même façon.

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Mais pourquoi, je me demande s'il n'y a qu'en Belgique qu'il y a des villes qui riment avec gaufres... est-ce que je vous raconte ça...

Dutch Baby Pancake au chocolat blanc et au fruit de la passion... parce que le bonheur est peut-être au fond de la sauteuse...

Quand j'étais plus jeune une sauteuse c'était... une sauteuse. Et du moment que je pouvais la mettre sur le feu et y faire brûler... oui à l'époque ma cuisson préférée, c'était brûlée, ma pitance quotidienne ça m'allait bien bien. Bon, si en plus elle pouvait se laver toute seule, ça aurait été bien mieux, mais pour ça je n'ai jamais trouvé le modèle adéquat.

Depuis ma cuisine et les sauteuses que j'utilise ont bien changées. Depuis j'ai le frémissement facile devant une belle plate aux bords hauts pour peu qu'elle me fasse de l'oeil depuis son rayon, et je ne résiste pas souvent à aller délicatement la découvrir d'une main carressante.

Il faut dire que la sauteuse est un de mes instruments culinaires préférés, peut-être en souvenir de mes premières cuissons si fumantes qu'elles étaient, et sûrement parce que c'est pour moi l'instrument à tout faire. Frire, sauter, snacker, et même bloblotter pour peu qu'on lui demande gentiment, une sauteuse est capable de tout ou presque...

Encore faut-il qu'elle sache se tenir, qu'elle ait la fesse ferme et bien faite, qu'elle soit large et haute, et surtout que son manche soit pratique et résistant et si en plus il peut aller au four, là nous sommes partis pour de longues années communes...

Quand j'ai découvert la sauteuse Kitchen Aid avec sa jolie couleur de cuivre, un de ces ustensiles que la marque a choisis de me confier pour que je les teste, je me suis dit qu'elle avait tout ce que j'aimais. Avec en plus ces petits détails qui font ces petits plus qui vous rendent la vie facile comme sa poignée supplémentaire pour bien l'attraper et son couvercle transparent. Il n'en fallait pas plus pour que j'ai envie de la tester face à un de mes desserts préférés, le Dutch Baby Pancake, un dessert difficile pour les sauteuses... Je vous laisse voir comment elle s'en est sortie...

Dutch Baby Pancake au chocolat blanc et au fruit de la passion

Ingrédients : 60g de beurre – 110g de lait – 180g de farine – 3 œufs moyens – 1 pincée de sel – 120g de chocolat blanc – 2 fruits de la passion – 2càs de sucre en poudre – 2càs d'eau

Commencez en préparant le sirop.

Ouvrez les fruits de la passion et videz la pulpe dans une petite casserole. Ajoutez les 2càs de sucre en poudre et l'eau. Faites cuire à feu moyen environ trois minutes. Filtrez le contenu de la casserole à travers une passoire en insistant bien pour récupérer tout le jus. Versez-le dans la casserole et faites cuire jusqu'à obtenir un jus sirupeux.

Préparez ensuite le dutch baby.

Faites fondre le chocolat au micro-ondes.
Mettez le beurre dans une grande poêle de préférence à fond épais (attention elle doit aller dans le four ! donc la queue doit résister à la chaleur ou s'enlever).

Placez-la dans le four, à 210°.

Mélangez dans un saladier le lait, la farine, les œufs et le sel.

Dès que le beurre est fondu, versez la pâte au centre de la sauteuse.

Remettez au four et faites cuire une vingtaine minutes en surveillant bien, attention ça brûle sans prévenir !

Sortez du four, jetez le beurre fondu si vous servez le plat directement dans la sauteuseou placez dutch baby pancake sur une assiette en vous débarrassant du beurre au passage.

Nappez généreusement avec le chocolat au fondu et du sirop au fruit de la passion et éventuellement un peu de sucre glace et surtout mangez sans attendre ! 

 Mais pourquoi, bon et les poêles ça sait faire de l'oeil aussi ? est-ce que je vous raconte ça...

Quand vraiment vraiment je m'ennuie... je cuisine ! Mon p'tit monstre en chocolat aux truffes...

Depuis longtemps je rêve de jours à ne rien faire, à regarder les mouches voler, à me vautrer devant des séries sans vraiment les voir et peut-être même à tourner les pages d'un livre sans images ni recettes... Et voilà que cette foutue grippe de passage m'a donné l'alibi rêvé pour faire tout ça et surtout finalement ne rien faire... 

Seulement voilà au final j'ai bien chercher des insectes volants sur mon plafond, j'ai bien zappé de chaînes en chaînes à la recherche d'une série que j'aurais à peine regardée, j'ai tourné quelques pages et très très très vite je me suis ennuyé et quand je m'ennuie...

C'est curieux, habituellement dès que je me pose une demi-fesse au milieu de ma frénésie culinaire, il y en a toujours un ou une pour s'étonner de cette inaction passagère, et là ça a été tout le contraire tous y allaient de leur ben où tu vas... ben qu'est-ce tu fais...

Et forcément comme je n'arrête pas de leur dire que je suis mourant, voire encore pire, c'était difficile d'avouer que la seule chose que j'avais finalement envie de faire c'était... cuisiner ! Du coup j'allais chercher un verre d'eau, et pis un autre, et pis encore un, et pis... et au bout d'un moment je ne sais pas pourquoi ils se sont rendus compte que mon histoire sentait le putois sous roche et j'ai vu une tête puis deux, puis trois, puis... passer par la porte de ma cuisine et me demander... tu serais pas en train de... cuisiner ?

Là, j'ai fini par avouer, juste un p'tit, un tout p'tit gâteau et j'me recouche, un tout tout p'tit...

Mon p'tit monstre en chocolat aux truffes...

Pour les cakes : 120g de beurre mou – 120g de chocolat noir – 18cl d'eau chaude – 15cl de lait (dans lequel vous aurez ajouté un trait de jus de citron) - 3càs de cacao en poudre – 300g de farine – 1 sachet de levure chimique – 1 pincée de sel - 250g de cassonade – 3 œufs

Ingrédients pour la ganache et les truffes : 400g de chocolat noir – 30cl de crème liquide entière – 45g de beurre – du cacao en poudre 

Commencez en préparant la ganache. Cassez le chocolat en morceaux et mettez-le dans un saladier. Faites chauffer la crème et le beurre au micro-onde et versez le tout bien chaud sur le chocolat. Mélangez bien et mettez au frais. Si vous êtes prévoyant vous pouvez faire ça la veille.

Préparez ensuite les cakes. Si vous avez trois moules semblables d'environ 20cm réalisez les trois gâteaux en même temps, sinon si vous cuisez les trois cakes en trois fois avec un seul moule.

Mettez dans un grand saladier le beurre bien mou et le sucre, et fouettez, insistez bien !

Ajoutez les œufs un par un et fouettez en insistant bien à chaque fois.

Cassez le chocolat en morceaux dans un bol et faites-le fondre au micro-ondes, laissez-le tiédir et ajoutez-le ensuite dans le saladier.

Mélangez l'eau chaude et le cacao en poudre, insistez bien, ajoutez alors le lait avec le citron et mélangez encore.

Tamisez ensemble la farine, la levure et le sel.

Ajoutez le liquide et la farine en les alternant dans le saladier.

Séparez ensuite la pâte en trois et versez-l dans un moule ou trois moules que vous aurez beurrés, couvert d'un fond de papier sulfurisé puis fariné.

Enfournez pendant 40 minutes et recommencez éventuellement deux autres fois.

Quand le gâteau est cuit démoulez-le sur une plaque puis retirez le papier sulfurisé. Laissez bien refroidir les gâteau.

Sortez la ganache du froid et préparez une bonne douzaine de petites truffes bien rondes que vous roulerez ensuite dans le cacao. Et soyez plus malin que moi, ne les laissez pas traîner dans le frigo ! Sinon il n'en restera plus beaucoup...

Fouettez ensuite la ganache restante. Pendant que vous préparez les truffes ne remettez pas la ganache au frais.

Déposez un premier gâteau devant vous, couvrez le dessus de ganache. Posez le deuxième par dessus, couvrez-le de ganache, faites de même avec le troisième.

Couvrez ensuite les côtés de ganache et lissez le tout.

Terminez en décorant votre gâteau avec les truffes... restantes...

Vous pouvez passer votre p'tit gâteau pendant un moment au frais il n'en sera que meilleur...

Mais pourquoi, d'abord y'a même pas de mouches ! est-ce que je vous raconte ça...

Sans contrefaçon je suis un garçon... et mon p'tit grog très pomme et fruits à l'armagnac...

Pendant longtemps j'ai été un homme au foyer, je le suis d'ailleurs encore à temps plutôt partiel, et du coup j'ai fréquenté ce rôle qui malheureusement, je trouve, est trop souvent seulement dévolu aux... filles. Mais même si certains de mes congénères mâles, perplexes de ce choix, se demandent, de manière un peu étonnante, quelle est la part féminine que j'ai en moi... Dans certaines occasions sans contrefaçon je suis un garçon et par exemple quand je suis malade !

Le garçon malade ne vit pas sa maladie comme la fille malade, c'est en tout cas ce que j'ai remarqué chez moi et chez quelques amis. Autant l'une prend ça souvent avec une philosophie mi-fataliste mi-volontaire, autant l'autre...

Tiens, un exemple au hasard, il m'arrive d'écrire avec un stylo encore de temps en temps de vraies lettres que je mets dans de vraies enveloppes. Et je ne sais pas si vous avez remarqué mais l'enveloppe est un animal dangereux et fourbe qui n'attend qu'une chose, que vous la fermiez d'un doigt discret pour vous entailler sauvagement justement ce pauvre doigt innocent presque pour le fendre en deux ! Et là pendant que vous courrez montrer cette entaille presque fatale à votre famille, la loupe à la main des fois que vous la perdiez, autant je sens de la solidarité dans l’œil de mon hamster, autant dans l’œil des filles de la maison...

Et aujourd'hui je suis au fond du lit avec une grippe, mais pas une grippette du week-end, une vraie, une pure une dure de celle qui font fondre les thermomètres, qui vous fait suer sang et eau au fond du lit et claquer des dents comme un castor en mal de construction. 

Et forcément moi je m'inquiète de tout et de rien, de tous ces signes qui me prouvent que je suis presque mourant ou du moins en passe d'agonie... Et voilà qu'à un moment depuis le fond de mon lit je commence à me rendre compte que j'ai la jambe lourde, et pas les deux juste une, et c'est pire encore, deux c'est logique mais une...

Alors je commence à me poser des questions de bons sens pour un garçon, la grippe peut-elle faire perdre une jambe ? D'abord une... des choses de bon sens quoi. Et après avoir fait le tour des conséquences souvent funestes que j'envisage, je me dis que peut-être en la touchant elle finirait par revivre, peut-être ! Et donc je glisse une main sous la couette à la recherche de ma jambe et là... 

J'en frissonne encore, je tombe sur une énorme boule à hauteur de mon genou, énorme et difforme, mais je ne renonce pas et n'écoutant que mon courage j'insiste pour approfondir mon diagnostique... c'est mou, c'est énorme et soudain je sens un truc râpeux et humide sur ma main... Je commence à me souvenir de quelques séries B vues il y a longtemps me demandant si les monstrueux monstres sont apparus après avoir eu la grippe...

Et alors ma fille passant par là, je suis à deux doigts d'essayer de lui expliquer que j'ai la jambe qui... Quand la gourgandine soulève légèrement la couette sur ma jambe, me regarde et me dit juste... Papa quand on est vraiment malade on ne joue pas avec le chat ! Le chat...

Il me fallait un remontant après avoir appris ma guérison du genou subit, et péniblement dans mon peignoir en pilou-pilou je me suis traîné jusqu'à la cuisine me préparer p'tit grog très pomme et fruits à l'armagnac... dont l'inspiration m'est venue en passant chez Sandra il y a quelques temps...

Mon p'tit grog très pomme et fruits à l'armagnac...

Ingrédients : 50cl de jus de pomme - 2càs de sirop d'érable – 2 ou 3càs d'Armagnac – le jus d'1 orange – le jus d'1/2 citron vert - 2 bâtons de cannelle – 2 étoiles de badiane – 4 clous de girofle – 2 gousse de cardamome

Versez tous les ingrédients dans une casserole et portez à ébullition à feu moyen. Baissez le feu et laissez blobloter pendant 5 minutes. Servez en filtrant le mélange et dégustez sans attendre !

« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération. »

 

Mais pourquoi, bon j'ai pas un truc curieux sur la nuque moi... est-ce que je vous raconte ça...

Gluten or not gluten that is... Ma tarte aux pommes meringuée NoGlut !

Depuis quelques temps le gluten, et surtout le sans gluten, est au centre de bien des conversations dès lors qu’elles se déroulent autour d’une table et traite justement de ce qu’il y a dessus. Et une fois dépassé l’épineux débat du faut-il en manger ou pas… enfin pour ceux qui ne sont pas réellement intolérants, pour ces derniers la question ne se posant forcément même pas. 

Donc une fois dépassée cette question, une autre arrive souvent très logiquement dans sa foulée et comment c’est qu’on fait ?

Parce que ce n'est pas le tout de vouloir, encore faut-il savoir et même pouvoir ! Pour ne pas se retrouver comme moi à l'image de celui qui quand l’hiver est venu se trouve fort dépourvu devant la cuisine sans gluten, il existe bien sûr bien des recettes, faciles ou moins, avec des ingrédients que l'on trouve facilement ou moins...

Du coup quand on m'a proposé de tester certains produits sans gluten de Maïzena, une marque que l'on peut trouver facilement, je me suis dit que c'était peut-être une bonne idée pour tout ceux qui veulent tâter du sans gluten avec la même simplicité que l'on met une main sur un paquet de farine.

Et voilà comment je me suis lancé dans une tarte au pommes meringuée totalement NoGlut, après à vous de voir si vous êtes avec ou sans cette petite tarte supportant bien sûr les deux formes de préparations.

Ma tarte aux pommes meringuée NoGlut !

Ingrédients : 1sachet de mélange spécial pour pâte à tartes sans gluten Maïzena – 6 pommes plutôt assez acides – 2càs de gelée de coing (vous pouvez aussi utiliser de la gelée de pomme) – 1càs de jus de citron

Pour la meringue du dessus : 120g de sucre en poudre - 2 blancs d’œufs – 3cl d'eau

Commencez en préparant une petite compote avec deux pommes. Pelez-les puis coupez-les en morceaux et mettez-les dans une petite casserole, ajoutez 1càs de gelée de coing et 1 ou 2càs d'eau et faites cuire le tout à feu moyen en remuant régulièrement jusqu'à ce que les pommes soient cuites et se soient même défaites. N'hésitez pas d'ailleurs à écraser les pommes pendant la cuisson pour qu'elles se défassent le plus possible, comptez une douzaine à une quinzaine de minutes de cuisson.

Si la compote a encore des morceaux n'hésitez pas à donner un coup de mixer plongeant et surtout si elle est trop liquide n'hésitez pas non plus à la laisser sécher un poil à feu doux.

Préparez la pâte à tarte en suivant les indications de l'emballage, il vous faudra pour cela 125ml et 100g de beurre et juste mélanger le tout. Une fois que votre pâte est prête tapissez simplement un moule à tarte beurré et fariné avec cette pâte.

Pelez les pommes restantes puis coupez-les en fines tranches et arrosez-les avec le jus de citron.

Étalez la compote au fond de la tarte puis les pommes en tranches, vous pouvez faire plusieurs couches de pommes. Terminez en badigeonnant au pinceau les pommes du dessus avec la gelée de coing.

Enfournez dans un four préchauffé à 180° pendant 35 à 40 minutes en surveillant la cuisson.

Pendant la cuisson de la tarte préparez la meringue.

Versez le sucre et l’eau dans une casserole et faites cuire jusqu’à ce que la température du sucre atteigne 110°. Il y a des astuces pour savoir quand le sucre est à point mais personnellement je pense que rien ne vaut un thermo-sonde !

Fouettez les blancs en neige assez ferme et versez le sucre fondu en filet tout en continuant de fouetter à vitesse moyenne. Continuez de fouetter toujours à vitesse moyenne jusqu’à ce que la meringue soit tiède. Comptez environ 5 minutes.

Il ne vous reste plus qu'à garnir généreusement votre tarte avec la meringue et à lui donner un petit coup délicat de chalumeau.

Et si jamais vous voulez rester au 'avec'... la pâte à tarte de Ma tarte sauvage au citron aux deux citrons... fera parfaitement l'affaire.

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Mais pourquoi, je me demande si un jour Shakespeare avait imaginé qu'il deviendrait peut-être sans gluten... est-ce que je vous raconte ça...

Le samedi c'est Retour vers le futur... Crazy Twix chocolat barre parce qu'on a tous des faiblesses... et surtout moi !

Je suis la raison même... enfin j'essaie de garder mon sérieux en l'écrivant mais pourtant... Dans le domaine de la bouffe j'essaie, je dis bien j'essaie de me faire autant de bien qu'à la planète quand je fais mes petites courses. Et c'est comme ça que je préfère mon marché aux supermarchés, Arnaud et mes p'tits producteurs locaux aux gros venant de loin, loin, loin... que régulièrement les produits bio peuplent mon p'tit panier... et quelques autres petites choses comme ça que je fais régulièrement.

 

Sauf que la raison parfois... et que là, ça peut déborder gravement dans la fantasmagorie alimentaire !

Comme beaucoup, enfin j'espère beaucoup, j'ai aussi des moments d'égarement ou de faiblesses et quelques fois des deux, pendant lesquels mon p'tit panier ressemble plus à celui d'un fana de la trash-food plutôt qu'à l'être raisonnable que j'affirme être.

Surtout que, quand je craque je ne le fais pas à moitié, j'y vais carrément, je ramasse à la pelleteuse, du gras, du sucré, de la calorie à la tonne et quand j'arrive à la caisse il arrive même que j'en bave de plaisir en tendant mon panier et de glapir heureux quand la caissière me regarde et me dit eh ben vous vous hésitez pas...

On a tous des faiblesses... et surtout moi !

Et en fouillant mes archives je suis tombé sur cette préparation que la raison... mais que le plaisir... A vous de voir de quel côté de la barrière vous êtes !

Crazy Twix chocolat barre

Ingrédients : 180g de chocolat noir (ou au lait si vous préférez) – 60g de peanut butter chips (ce sont les petites coucouilles que l'on voit autour de la tablette) – 45g de cacahuètes grillées (des non-salées et si vous n'avez pas vous essuyez bien bien des salées) – 4 paquets de Twix

Hachez grossièrement le chocolat noir, mélangez-les avec les chips de peanut butter puis faites fondre le tout au micro-ondes.

Versez un peu de ce mélange dans un moule rectangulaire couvert de film puis posez les Twix dessus la partie caramel vers le dessus.

Passez rapidement au micro-ondes pour faire légèrement fondre les Twix.

Saupoudrez par dessus les cacahuètes rapidement hachées puis couvrez le tout avec une couche de chocolat fondu, pas trop. Étalez rapidement le chocolat avec le dos d'une cuillère sans insister.

Laissez prendre à température ambiante, coupez en barres de biais et… mangez !

Crazy Twix chocolate bar
Ingredients : 180g dark chocolate (or milk if you prefer) - 60g peanut butter chips - 45 g unsalted roasted peanuts (or wipe them very well if you can only find the salted kind) -  8 Twix bars
Roughly chop the dark chocolate, put it in a bowl with the PB chips and melt it all in the microwave.
Pour a little of this mix in a rectangle mold, lined with cling film. Put the Twix bars on top, toffee part facing up.
Put very briefly in the microwave so that the Twix melt slightly.
Sprinkle the peanuts, roughly chopped as well, and cover with another layer of melted PB chocolate. Not too much though.
Quickly spread with the back of a spoon without insisting too much.
Let set at room temperature and cut bars askew… and just eat!

Mais pourquoi, bon et après un bouillon clair on va dire... est-ce que je vous raconte ça...

Histoire de rencontres, de cake, de mère et de... belette ! Le Healthy Fall Cake est passé par chez moi et il repassera !

Quand j'ai ouvert mon blog il y a... longtemps je ne savais qu'une chose, enfin à peine, puisque finalement je l'ai ouvert un peu comme David Vincent qui se trompe de chemin et se retrouve embarqué dans une série culte... Je l'ai donc ouvert un peu beaucoup par hasard. Et donc je ne savais pas grand chose sauf peut-être que je n'avais vraiment pas envie de rester derrière mon écran, bien au contraire, je savais qu'à la première chance de rencontre « en vrai » je filerais vers cette rencontre ventre à terre.

Et par chance ça s'est vite produit, mais, ça, c'est une autre vieille histoire. Et depuis je n'ai pas changé, comme disait l'autre bellâtre chantant, je suis toujours partant pour rencontrer, rencontrer mes lectrices et mes lecteurs, rencontrer mes semblables blogueuses ou blogueurs, raconteurs de recettes ou de tout ce qui touche au boire et au manger.

Et l'autre jour, voilà que Frédérique a la bonne idée de me proposer une p'tite dînette entouré de quelques-unes et quelques-uns, que je connaissais pour certains et je découvrais pour d'autres. Et comme j'avais le temps et que je n'ai pas chan... j'y suis allé.

Ce que je ne savais pas non plus en ouvrant cette cuisine virtuelle, c'est que je deviendrais un traqueur de recettes, la truffe toujours en l'air dès qu'une d'entre elles se présente devant moi. Je vous ai déjà raconté comment je ne lâchais pas les p'tites dames des queues des commerçants jusqu'à ce qu'elles me décrivent précisément la recette qu'elles avaient eu le tort de seulement évoquer devant moi, les pauvrettes. Mais ma chasse ne s'arrête pas là, elle est de tous les instants, de tous les moments !

Et ce soir-là, je ne sais plus très bien par quel chemin, voilà que Béatrice, ma voisine de table et sa fille, sa « belette », m'expliquent le duo qu'elles forment toutes les deux, l'une traquant les recettes, l'autre les réalisant... Des rôles qui semblent bien leur aller à toutes les deux.

Sauf que pour illustrer l'histoire, la fille et la mère, commencent à parler d'un cake, un cake qui... avec des petites étoiles dans les yeux et le nez qui se rappelle l'odeur du four qui s'ouvre...

Il y a des signes que le traqueur de recette sait reconnaître et deux filles qui vous parlent du même cake avec les mêmes trémolos dans la voix que quand j'évoque les ouvertures de frigo de Nigella Lawson, c'est plus qu'un signe, c'est une évidence, et cette recette-là il ne faut pas la louper !

En plus la chasse était trop facile puisque je n'avais plus qu'à taper l'adresse du blog de Béatrice pour me trouver face à face avec son Healthy Fall Cake, un cake sans œuf, dont voilà ma version et que j'ai dégusté avec des petites étoiles dans les yeux et le nez qui...

Mon Healthy Fall Cake

Ingrédients :  300g de farine – 1sachet de levure chimique - 120g de muscovado ou d'un autre sucre roux bien parfumé en poudre – 90g de beurre - 90g de raisins secs (blonds et généreux si possible) – 90g d’abricots secs coupés en petits morceaux – 90g de dattes confites coupées en petits morceaux (si vous tombez sur des medjool mangez-les et prenez-en d'autres plus ordinaires pour cette recette!) - 20g d'écorces d'oranges confites coupées en tout petits morceaux - 90g d’amandes entières - 60g de pistaches – 1càc de mixed spice (c'est un mélange d'épices à cake anglais sinon regardez le mélange proposé par Béatrice) – 1càc de cannelle en poudre – ½ càc de gingembre en poudre – 1 belle pincée de sel

Versez dans une casserole 25cl d'eau et ajoutez les fruits secs, le sucre, le beurre et les épices et sur le feu, à feu moyen, jusqu'à ébullition. Enlevez du feu puis versez dans un grand plat ou un saladier et laissez refroidir.

Pendant ce temps, profitez-en pour passer les amandes et les pistaches au four une dizaine de minutes à 120° et puis pour les hacher très grossièrement.

Versez la farine, la levure et le sel dans un saladier et mélangez. Ajoutez alors la préparation de la casserole qui doit être bien froide et mélangez, mélangez, mélangez ! Il faut bien insister, le liquide étant juste là pour mouiller les éléments secs, donc on mélange jusqu'à obtenir une pâte.

Versez dans un moule à cake, j'ai mis un peu de papier de cuisson au fond, enfournez dans un four préchauffé à 180°, baissez la température à 160° et laissez cuire une petite heure.

Ensuite laissez refroidir dans le moule, démoulez et... ça fait un joli cake que vous pouvez partager... enfin...

Mais pourquoi, bon et maintenant je vais traquer la recette par ici ou par là-bas... est-ce que je vous raconte ça...

Mes p'tits donuts briochés au chocolat blanc et rose... Parce que décidément j'aime m'amuser en cuisine !

Ma mère, comme bien des parents, préférait que je mange le plat que j'avais devant moi plutôt que je m'amuse à le réorganiser de manière à pouvoir imager de folles aventures qui pouvaient durer, durer, durer... Et vue mon imagination déjà aussi galopante qu'un pingouin à qui on promet un fish and chips, j'en vivais des aventures dans mes assiettes !

Et pourtant ma mère n'aidait pas vraiment l'imagination avec ses éternels steaks aux légumes qu'elle nous servait avec la régularité d'un coucou suisse. Il en fallait vraiment pour trouver quelles folles aventures allaient se dérouler entre la forêt de haricots verts en boîte et la colline de viande trop cuite...

Je n'ai bien sûr jamais reproché à mes enfants de jouer avec la nourriture, ils ne me prendraient pas au sérieux, parce que depuis je continue à vivre de drôles d'aventures quand je me perds dans mes assiettes.

Et en plus comme maintenant c'est moi qui met ce que je mange dedans je ne manque jamais une occasion de provoquer l'imagination.

C'est ce que je me suis dit quand j'ai cherché la recette que j'allais préparer avec le deuxième ustensile Kitchen Aid. Après le moule à tourte et à tatin que j'ai utilisé la semaine dernière, parce que Kitchen Aid c'est aussi une large gamme d'ustensiles, je me suis dit que j'allais utiliser, un moule à donuts !

Forcément dans ce joli moule anti-adhéssif en diable au point que je ne l'ai ni beurré ni fariné avant de l'utiliser, je n'avais pas envie de donuts trop gras comme ils le sont souvent. J'ai préféré une version tout en légèreté en les préparant avec une pâte plus proche de la brioche que de la pâte à beignets, une idée que j'ai trouvé chez Chef Nini où je vais souvent à la pêche aux bonnes idées et que j'ai remis à ma sauce !

Mes p'tits donuts briochés au chocolat blanc et rose...

Ingrédients : 210g de farine - 20g de Maïzena - 30g de sucre en poudre - 9cl de lait tiède - 20g de beurre - 1 œuf - ½ sachet de levure de boulanger déshydratée – 1pincée de sel - 100g de chocolat blanc – quelques gouttes de colorant rouge – des petites perles de sucre

Mettez le beurre dans un petit bol, faites-le fondre au micro-ondes puis ajoutez-lui le lait. Versez dans la cuve de robot équipé d'un crochet et ajoutez la levure. Attention le mélange doit être seulement tiède et pas chaud sinon la levure ne va pas aimer, si le mélange est trop chaud laissez tiédir avant d'ajouter la levure. Laissez reposer une dizaine de minutes.

Ajoutez la farine, la Maïzena, le sucre et l'œuf et pétrissez la pâte une dizaine de minutes à petite vitesse.

Sortez la pâte du bol, elle doit être joliment élastique, roulez-la en boule et remettez-la dans le bol. Normalement le bol est presque propre puisque tout s'est aggloméré dans la pâte, s'il reste un peu de pâte sur le bol nettoyez-le pour éviter que la pâte s'y colle.

Mettez lui un torchon sur la tête, celle du bol, et laissez reposer pendant une paire d'heures.

Sortez la pâte du bol, coupez des petits morceaux de pâte d'environ 25 à 30g et faites-en de jolies boules. Ecrasez légèrement une boule de pâte, faites un trou au centre avec les doigts puis rabattez les côtés du trou de manière à obtenir un joli cercle. Tassez-le dans le moule, tassez bien, puis recommencez autant de fois que nécessaire pour remplir le moule. Avec cette quantité de pâte j'ai fait une douzaine de donuts.

Une fois le moule garni, laissez lever une quinzaine de minutes puis enfournez 10 à 12 minutes dans four préchauffé à 180°.

Sortez les donuts du moule et déposez-les sur une grille.

Faites fondre le chocolat blanc au micro-ondes puis laissez tomber quelques gouttes de colorant, remuez à peine, puis trempez les donuts à moitié et reposez-les sur la grille. Remettez une goutte ou deux de colorant entre chaque donut. Parsemez ensuite les perles, j'ai concassé les miennes qui étaient trop grosses. Vous n'avez plus qu'à laissez figer le chocolat avant de les dévorer.

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Mais pourquoi, bon et maintenant on va s'amuser avec quoi ? est-ce que je vous raconte ça...