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lundi 19 février 2024

Et si on oubliait les burgers pour les Baooooo ! Tome 1 je me garnis le Bao... Cochon Bao bien confit !

Je sais pas vous mais moi certaines modes qui concernent ce qui se bouffe m'amusent et d'autres...
Comme je reste un carnassier quand j'ai vu arriver les premiers burgers avec des buns et de la viande de rêve forcément... Mais petit à petit j'ai vu passer de plus en plus de burgers, des burgers partout et tout le temps et des burgers qui me faisaient de moins en moins rêver ! 
Bon, je reste quand même fidèle à certaines adresses et quand je passe du côté du PNY, du Camion qui fume ou de Frenchie to go, je ne résiste pas encore au plaisir de m'en avaler un p'tit, mais bon je frise quand même l'overdose de burgers !
Et voilà qu'arrive le Bao, cet autre petit plaisir venant de loin, du côté du levant, un petit plaisir que j'ai dégusté de par ici et de par là-bas comme chantait l'autre en parlant d'une autre invasion... Et du coup je me suis dit et si on oubliait le burger et si on se mettait au Baooooo ? Le temps d'attraper quelques jolies recettes par-ci par-là et de les mettre à ma sauce et voilà donc en deux temps ma version du Bao !
Et on va commencer par ce qui garnit cette petite gourmandise, en ce qui me concerne de jolies tranches de cochon bien bien confit !
Cochon Bao bien confit !
Ingrédients : une belle tranche de poitrine fraîche pas trop grasse d'environ 10 à 12cm de largeur – 2càs d'huile neutre - 2 oignons nouveaux finement émincés – 2 gousses d'ail passées au presse-ail – 6 tranches de gingembre d'environ 2 ou 3mn d'épaisseur – 1 piment oiseau émincé finement – 1étoile de badiane - 1càs de sauce soja (il y en a du réduit en sel et c'est bien) – 2càs de nuoc nam – 2càs de vinaigre de riz – 30g de sucre brun en poudre (de canne ou si vous avez du rapadura c'est encore mieux) – 12cl d'eau - sel et poivre et poivre de Sechuan (ça c'est facultatif mais c'est bien)
On va d'abord passer le cochon au four. Pour cela salez et poivrez la poitrine, utilisez du poivre « normal » et du poivre de Sechuan, salez légèrement et poivrez généreusement. Emballez dans du papier alu en mettant deux ou trois tours et au four, à 140° pendant deux bonnes heures.
Laissez refroidir la poitrine dans l'alu et puis oubliez-la de préférence jusqu'au lendemain au frigo.
Le lendemain coupez la poitrine en tranches d'environ 12 à 15mm, il faut de belles tranches car ça va réduire à la cuisson !
Faites chauffer à feu vif l'huile dans un wook ou une grande sauteuse et faites-y dorer les tranches de cochon. Une fois le cochon bien grillé, déposez-le sur une assiette et jetez l'huile du wok, pas la peine de nettoyer. A feu moyen maintenant mettez dans la poêle l'oignon nouveau, l'ail, le gingembre et le piment et faites revenir le tout pendant 2 ou 3 minutes en remuant bien.
Ajoutez ensuite la badiane, la sauce soja, le nuoc nam, le sucre en poudre et l'eau et donnez un bouillon au tout.
Remettez le cochon dans le wok en l'étalant bien, redonnez un coup des deux poivres et faites cuire à couvert et à tout petits bouillons pendant 10 minutes en retournant la viande à mi-cuisson. N'hésitez pas à ajoutez un poil d'eau si ça manque pendant la cuisson.
Le cochon confit est prêt !
Normalement en même temps que le cochon on prépare les pains et on mange tout ensemble tout juste prêt et c'est ce que je ne saurais trop vous conseiller de faire... mais pour la recette du Bao on voit ça... demain ! Donc à suivre !
Mais pourquoi, bon et y'a quoi d'autre à la mode en ce moment d'ailleurs... est-ce que je vous raconte ça...

samedi 16 juillet 2022

Salade au concombre tapé à l'asiatique ! Une recette pour se défouler avant de déguster...

Enfin dans l'histoire c'est surtout le concombre qui va déguster... Une manière de le préparer qui pourra toujours vous servir à d'autres occasions si jamais vous partez en voyage avec un concombre et que vous avez oublié votre couteau. Bon il vous faudra quand même trouver un objet contondant pour lui apprendre la vie ! En tout cas, quoi qu'il en soit de cette curieuse manière de faire, cette recette est très rafraîchissante et brûlante à la fois. Alors n'hésitez pas, direction la cuisine maintenant...

Salade au concombre tapé à l'asiatique !

Les courses :

1 concombre - 3 cuil. à soupe de vinaigre de riz noir (ou blanc !) - 3 cuil. à soupe de sauce soja (attention on évite la sauce soja sucrée) - 1 cuil. à soupe d’huile de sésame (vous pouvez être plus généreux!) - 1 cuil. à soupe de sucre cassonade – ½ cuil. à soupe de graines de sésame doré – ½ piment oiseau (ou plus suivant vos envies de piquant piquant) - 3 gousses d’ail - 6 tiges de coriandre – 3 tiges de cives

1 rouleau à pâtisserie !

La recette :

Commencez en préparant la sauce.

Passez l'ail épluché au presse-ail. Mettez dans un bol, ajoutez la cassonade et écrasez le tout avec le dos d'une cuillère à soupe. Ajoutez le vinaigre et mélangez bien pour dissoudre le sucre. Ajoutez la sauce soja, l'huile de sésame et le piment haché finement et mélangez bien le tout.

Là, vous prenez le rouleau et... vous assommez sans hésitez le concombre sur toute sa longueur !

Ensuite c'est tout simple on déchire le concombre en petits morceaux d'environ 2cm... rien de précis on déchire ! Mettez les morceaux dans la marinade et mélangez bien.

Au frais une paire d'heures !

Hachez très grossièrement la coriandre et émincez finement les cives. Au moment de servir parsemez-les sur le concombre, parsemez les graines de sésame et... à table !

Merci à François-Régis Gaudry pour cette recette aussi réjouissante à préparer que gourmande à déguster ! Vous pouvez d'ailleurs retrouver sa vidéo par là : Comment tabasser le concombre...

Mais pourquoi, je ne vous dirais pas à qui j'ai pensé en tapant le concombre... est-ce que je vous raconte ça...

dimanche 11 août 2019

Nos aubergines à la Coréenne... Parce que Nicolas c'est mes p'tites vacances à moi !

Je l'ai souvent dit, je cuisine beaucoup beaucoup... beaucoup ! Je cuisine pour mon blog, mes livres, pour mes articles et pour quelques marques qui me font suffisamment confiance pour me confier leurs produits. Ce qui fait qu'au final quand je compte les recettes que je prépare sur une année, je commence par compter en dizaines, je continue en centaines et quelque fois il m'arrive de dépasser le millier... ce qui fait donc beaucoup ! Surtout quand au final j'additionne en plus les années.
Et forcément, même si je reste un passionné de cuisine et que je n'échangerai pas ce métier qui m'est un peu tombé dessus contre aucun des nombreux autres que j'ai pratiqué durant ma vie professionnelle, il m'arrive quand même de temps en temps d'avoir moins envie d'allumer les fourneaux.
Du coup de temps en temps il me faut retrouver le plaisir de la cuisine juste pour... le plaisir. Et heureusement dans ce domaine-là j'ai quelques complices comme Nicolas qui me rappellent que pour moi la cuisine c'est d'abord un jeu. Et que ce soit quand nous nous baladons dans les rues parisiennes, parfois sous une chaleur torride, ou que nous nous retrouvions devant les fourneaux, avec lui je retrouve ce plaisir simple de m'amuser et de cuisiner !
Et cette fois encore, lors d'une journée où nous nous sommes beaucoup demandé ce que nous allions bien pouvoir passer à la casserole, nous nous sommes amusé avec avec des aubergines et quelques autres choses... je vous reparle très vite des autres choses mais en attendant, les aubergines !
Nos aubergines à la Coréenne
Ingrédients : 6 aubergines chinoises (longues et fines) - 50g de pâte de soja coréenne (vous pouvez aussi utiliser du miso japonnais) - 50g de miel - 3cl d'eau tiède - 1càc de pâte de piment coréenne (que vous pouvez par une autre pâte de piment) - 1 càc d'huile de sésame - 1 oignon frais - 5 brins de coriandre - huile de tournesol
Rincez et séchez les aubergines. Coupez-les en deux dans le sens de la longueur en gardant les queues. Quadrillez-les avec la pointe d'un couteau (en veillant à ne pas transpercer la peau). Badigeonnez-les d'huile. Enfournez-les à 180ºC pendant 15 minutes. La chair doit être cuite mais encore un peu ferme.
Pendant que les aubergines cuisent, préparez la sauce en mélangeant dans un bol la pâte de soja, la pâte de piment, le miel, l'eau et l'huile de sésame. Vous devez obtenir une sauce bien lisse.
Quand les aubergines sont prêtes, badigeonnez-les de sauce avec un pinceau de cuisine. Remettez au four pour 10 minutes supplémentaires de cuisson.
Pelez puis émincez l'oignon très finement. Rincez, séchez puis ciselez la coriandre. Laissez les aubergines refroidir quelques minutes à la sortie du four. Remettez un petit coup de sauce pour qu'elles soient bien brillantes. Parsemez-les de coriandre et d'oignon.
Servez-les avec du riz basmati et le reste de sauce. J'ai aussi ajouté quelques feuilles de basilic thaï mais comme c'est loin de la Corée ce n'est pas obligatoire.
Mais pourquoi, et après l'aubergine, la... est-ce que je vous raconte ça...

jeudi 25 juillet 2019

Wok de légumes aux shiitakés... parce que par ce temps je veux couper mais pas trop cuisiner !

Quand il fait chaud j'ai quand faim, moins, mais faim quand même et depuis quelques temps, des temps chaleureux je mange de la salade, de la salade, de la... Et forcément au bout d'un moment j'ai des envies d'autres choses, pas forcément de m'affronter avec une côte de bœuf mais des jolies petits légumes, j'dis pas non ! Du coup j'ai cherché de quel côté la cuisine pourrait ne pas me mettre trop longtemps devant les fourneaux mais me changer quand même l'alimentation.
Je suis donc retourné vers une de mes passions qui date de mes premiers amours en cuisine, puisque c'est du côté du 13e arrondissement que la cuisine a commencé à me prendre, un peu comme dans la chanson où c'est la mer qui prend l'homme et pas l'homme qui.. tatatin ! Il faut dire que là-bas comme j'allais de découverte en découverte il aurait fallu que je ne sois pas du tout du tout curieux pour ne pas m'attraper des envies de cuisiner tant et tant de choses inconnues... et comme la curiosité et moi c'est un peu comme le pingouin avec son bac à glaçons, on ne se quitte pas.
Enfin voilà donc comment je me suis dit qu'un petit sauté de légumes qui demande certes pas mal de temps de taillage mais guerre de temps de sautage, était parfait pour moi et mon appétit !
Wok de légumes aux shiitakes
Ingrédients : 400 g de shiitakes - 1 carotte moyenne - 1courgette – 4 oignons nouveaux – ½ poivron vert et ½ rouge - 2 gousses d’ail – 1 dizaine de tranches fines de gingembre frais – 1 càs soupe d’huile de tournesol - 2 càs de sauce soja – 1càc d'huile de sésame – ½ càc de graines de sésame - sel et poivre
Nettoyez les shiitakes puis coupez-les en deux.
Pelez la carotte, lavez et séchez la courgette, épépinez les poivrons et taillez le tout en bâtonnets. Coupez les oignons nouveaux en 4 et l'ail en fines tranches.
Faites chauffer l'huile dans un wok à feu vif et quand il commence à fumer ajoutez les oignons, l'ail, le gingembre et la carotte et faites sauter 3 minutes en remuant régulièrement.
Ajoutez les courgettes, les poivrons et les shiitakes et poursuivez la cuisson 3 minutes de plus toujours en remuant régulièrement. Versez la sauce soja et terminez la cuisson encore 1 minute.
Servez dans les assiettes et terminez en parsemant les graines de soja et en arrosant avec l'huile de sésame.
Mais pourquoi, bon demain il fait froid... enfin... est-ce que je vous raconte ça...

vendredi 11 décembre 2015

Le vendredi c'est retour vers le futur... Mes boulettes cochon crevettes à l'asiatique... parce que j'ai la cuisine très remuante aujourd'hui !

J'ai toujours aimé que mes assiettes se baladent, au moins elles, elles ont cette chance. C'est vrai que si je pouvais j'irais plutôt voir les plats du bout du monde  sur place histoire de voir si tout là-bas a vraiment le même goût qu'ici. Mais bon, en ce moment j'ai déjà pas le temps d'aller au coin de la rue alors le bout du monde...
Ce sont donc mes assiettes qui sont baladeuses. Et en cherchant dans mes archives mon petit plat du jour, j'ai remarqué ma passion presque compulsive pour les boulettes qui voyagent ! J'aime les boulettes, j'aime aussi celles d'ici mais surtout celles d'ailleurs, celle du Sud et du Nord et souvent aussi celles de l'Est... Je les aime frites et en sauce, un peu sèches et croustillantes ou baignant de bonheur dans bien des jus ou des sauces, en deux mots voire trois j'aime les boulettes !
Mes boulettes cochon crevettes à l'asiatique
Ingrédients : 500g de farce ou de chair à saucisse – 6 belles gambas entièrement décortiquées – 3 oignons nouveaux – un petit bouquet de coriandre – 1càs de Fleur de maïs Maïzena – 1càs de nuoc nam – 1gousse d'ail – 1càc de gingembre râpé – ½ càc de cinq épices - 1 douzaine de tomates cerise – 1 càs de miel assez neutre – des cacahuètes - de l'huile neutre (arachide, tournesol, colza…) - sel et poivre
Hachez finement les crevettes. Hachez grossièrement les oignons nouveaux en séparant le blanc et le vert. Hachez la coriandre. Coupez en deux les tomates. Hachez les cacahuètes.
Mettez dans un saladier la farce, les crevettes hachées, 3càs de vert d'oignons et autant de coriandre, la Maïzena, le nuoc nam, le gingembre, les cinq épices et mélangez bien le tout. Malaxez avec les mains c'est le plus facile.
Faites ensuite des boulettes d'environ 35g.
Faites chauffer 1càs d'huile dans une poêle à feu assez vif. Ajoutez les boulettes et faites-les dorer de tous les côtés.
Quand les boulettes sont bien dorées ajoutez les tomates cerise, 3 càs de blancs d'oignon nouveau et le miel et mélangez bien. Baissez un peu le feu, couvrez et laissez une dizaine de minutes jusqu'à ce que la viande soit à point. Découvrez alors et laissez réduire la sauce pendant une minute ou deux.
Servez en parsemant sur les boulettes de l'oignon, de la coriandre et les cacahuètes.
Mais pourquoi, et si j'allais en Australie goûter la cuisine... et c'est pas parce que ma merveille est là-bas... est-ce que je vous raconte ça...

mardi 20 octobre 2015

Le mardi c'est raviolis frits au baiser de L'intrépide dragon ! Je dois pouvoir faire des titres plus courts... je dois pouvoir...

J'ai toujours peur d'oublier un truc et quand je dis toujours c'est toujours ! Faut dire que j'oublie souvent quelque chose, d'éteindre mes phares quand je descends de voiture... La voiture est d'ailleurs un lieu dangereux pour ma mémoire, puisque je suis même parti une fois en laissant ma voiture tourner avec bien sûr les clés dessus et évidemment les portes ouvertes... J'oublie le feu sous mes poêles quand il n'y a plus rien dedans, ce qui explique qu'elles prennent souvent une drôle de forme... J'oublie d'éteindre les lumières quand je sors d'une pièce, et pas seulement en sortant, en entrant il m'arrive aussi de ne pas l'allumer et de trouver l'endroit bien sombre... Je crois que je suis un oublieux qui s'oublie...
Subitement pendant une seconde j'avais d'ailleurs oublié pourquoi est-ce que je je vous... enfin vous connaissez la suite à force. A cause de mes titres ! J'ai toujours peur d'oublier quelque chose dans mes titres, alors je fais la liste de tout ce qui me semble indispensable de dire et puis aussi le facultatif et puis... j'oublie que ce n'est qu'un brouillon et j'écris finalement mon titre comme ça !
Et comme c'est écrit dans le titre, aujourd'hui c'était donc raviolis, que j'ai eu davantage envie de faire pour me les tremper dans un baiser de L'intrépide dragon que vraiment pour les raviolis. Il dire que depuis quelques temps il y a un dragon qui sommeille dans mon frigo.
Ce dragon c'est la sauce Sriracha que fabriquent deux joyeux dynamiteurs de nos papilles, Laurence et Christophe, sous le nom de la Marche Avant, une sauce fabriquée par ici, bio et diablement parfumée. D'ailleurs ces deux-là promettent d'autres produits à venir et après avoir goûté leur première création je dois dire que je les attends avec gourmandise tant j'ai été séduit par leur première sauce !
Raviolis frits au baiser de L'intrépide dragon !
Ingrédients : 1 paquet de raviolis, j'ai pris des raviolis au bœuf qui se sont révélé parfait pour l'exercice – 90g de panko (ou de baguette rassie râpé pas trop fin) – 20g de cacahuètes – 3 ou 4 tiges de coriandre - 1 ou 2 œufs – 2càs de sauce Sriracha (L'intrépide si vous pouvez)- 2càc de ketchup – quelques gouttes d'huile de sésame – sel et poivre
Mettez les cacahuètes et la coriandre rapidement hachée et mixez le tout assez finement. Mélangez avec le panko et versez le tout dans une assiette.
Faites cuire rapidement les raviolis, les miens devaient cuire 3 minutes je les ai cuit 2. Egouttez-les bien.
Fouettez l'œuf, vous aurez peut-être besoin de deux œufs, dans une assiette et trempez-y les raviolis un par un. Passez ensuite votre ravioli dans la chapelure puis déposez-le sur une plaque.
Quand tous vos raviolis sont prêt faites les dorer dans un bain d'huile à 160°, n'en mettez pas trop à la fois il faut les retourner régulièrement. Une fois bien dorés déposez-les sur une assiette couverte de papier sulfurisé.
Mélangez la sauce sriracha, le ketchup et l'huile de sésame et servez les raviolis encore bien chaud avec la sauce. Vous n'avez plus qu'à partir à la chasse au dragon...
Vous pouvez tout savoir sur cette diablesse de sauce, trouver bien d'autres recettes et savoir bien d'autres choses par là : La Marche Avant.


Mais pourquoi, et pourquoi quand je parle de dragon je pense qu'une série commence à sacrément me manquer... est-ce que je vous raconte ça...

samedi 18 juillet 2015

Y'ferait pas un temps à sortir le BBQ ? Brochettes de viande hachée à l'asiatique...

Quand il fait ce temps-là, la simple idée d'allumer un four, une gazinière ou même frotter une allumette à l'intérieur de la maison me met à peu près dans l'état d'un pingouin à qui on annoncerait son transfert au Kalahari afin d'y chasser l'esquimau sauvage... celui qui mord quand on s'approche de ses noisettes...
Du coup le seul endroit où je conçois la cuisine pendant ces périodes, c'est loin loin de la maison... dans le jardin quoi et au-dessus d'un BBQ qui lui ne risque pas de faire remonter ma température mais qui peut par contre me procurer bien du plaisir.
En bon carnassier que je suis, forcément la viande grillée et le steak haché me permettent de mettre tout le monde d'accord entre celle qui veut de l'archi cuit et moi qui ne jure que par le bleu. Du coup quand la Socopa m'a proposé d'utiliser leurs produits j'ai forcément pensé BBQ et à un petit voyage culinaire en direction de l'Asie pour ces brochettes de viande haché de boeuf.
Brochettes de viande hachée à l'asiatique...
Ingrédients : 4 Brochettes Plein grill Nature de bœuf (400g de viande hachée) – 4càs de sauce soja – 2 gousses d'ail – 1càs de gingembre râpé finement – 2càs de miel liquide – ½ piment oiseau (plus ou moins selon votre goût) - 1càc de graines de sésame doré – ½ de graines de coriandre – sel et poivre
Temps de préparation : 5 minutes
Temps de cuisson : 15 minutes
Temps d'attente : 15 minutes
Commencez en réalisant la sauce. Ecrasez les gousses d'ail sans les éplucher puis mettez-les dans une casserole. Ajoutez la sauce soja, le gingembre, le miel liquide et le piment. Portez le tout à ébullition puis baissez à petit feu et laissez blobloter doucement pendant une dizaine de minutes en surveillant bien, il faut que la sauce devienne sirupeuse.
Badigeonnez les brochettes avec cette sauce et laissez mariner juste le temps d'allumer votre BBQ soit une quinzaine de minutes.
Faites cuire vos brochettes plus ou moins près de la braise selon votre cuisson préféré, plus vous aimez bleu plus vous déposez la viande proche des braises et plus vous aimez bien cuit plus vous l'éloignez pour qu'elle ait le temps de cuire à point sans brûler.
Pendant la cuisson badigeonnez vos brochettes avec de la sauce au pinceau pour la parfumer et les rendre bien moelleuses.
Quand les brochettes sont cuites parsemez-les avec du sésame et de la coriandre grossièrement concassée et dégustez sans attendre.
Et si vous voulez faire comme moi, les servir avec du riz et quelques légumes, faites cuire un petit verre de riz par personne avec un bouillon de volaille et ajoutez à votre riz quelques légumes vapeur, des carottes en petits cubes, des fèves et des haricots coupés en tout petits tronçons... n'hésitez pas à varier les plaisirs en terme de légumes ! Et surtout juste avant de déguster arrosez le tout avec un peu ou beaucoup de sauce !
Vous pouvez retrouver de nombreuses autres recettes consacrées au BBQ sur l'application I love barbecue ! et sur la page facebook Socopa, Les mordus de la viande.
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Mais pourquoi, bon et maintenant on fait griller quoi... est-ce que je vous raconte ça...

mercredi 8 juillet 2015

C'est la saison du melon, du melon à point juste comme il faut… Melon grillé à l'asiatique !

Je suis toujours étonné quand je suis devant les étals de mon petit quatre saisons du coin de la rue de voir comment ceux qui sont devant moi choisissent leurs fruits. Souvent ils ne prêtent pas grande attention au mûrissement des fruits qui remplissent leur panier, souvent jusqu'au moment du... melon.
Là, subitement ils se rappellent, à juste titre, que rien ne remplace un melon juteux mûr à point, couvé par le soleil, gorgé du sucre et de goût ! Et là ils cherchent ce melon en tâtant, soupesant, reniflant... alors qu'une seule chose suffit pour avoir un bon melon, qu'il ait été cueilli à point, juste au bon moment, comme le font ceux qui élèvent les melons Le Rouge Gorge...
Du coup quand mon tour arrive, je prends tout mon temps pour vérifier que pêches, fraises et tous les autres fruits qui remplissent mon panier sont bien juste comme il faut et quand j'arrive à mon melon, je tends juste la main vers un melon Le Rouge Gorge...
Aujourd'hui j'ai choisi de mettre ce melon choisi sans mal à la mode asiatique parce qu'il y a bien des façons de les préparer, et si vous voulez retrouver cette recette de melon grillé à l'asiatique, c'est tout simple il vous suffit de cliquer sur la photo pour la retrouver sur le site des melons Le Rouge Gorge.
Et comme il est question de miel dans cette recette je vous propose de me suivre lors d'une petite balade du côté de Savennières visiter les abeilles qui ont fait naître le miel de cette recette.
Vous pouvez également retrouver l'actualité des melons Le Rouge Gorge sur leur page Facebook : Le Rouge Gorge 
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Mais pourquoi, et dire que ce ne sont pas les abeilles qui remplissent les pots de miel... est-ce que je vous raconte ça...

samedi 27 juin 2015

Petites considérations cochonesques et chipoboulettes à l'asiatique à la sauce de queue de dragon passionnée !

Le cochon en cuisine est porteur d'un grand malheur, d'un grand malheur pour lui... puisque tout est bon dans le cochon ! Et le pire pour lui, c'est que si les morceaux du cochon sont nombreux, les manières de le préparer sont innombrables, presque infinies !

Je le savais déjà à force de croiser le cochon dans les nombreux livres de cuisine qui m'ont fait faire plusieurs fois le tour du monde, mais je ne pensais pas qu'il pourrait encore me surprendre. Et pourtant c'est ce qui est arrivé lors d'un atelier réjouissant en compagnie de la FédérationFrançaise des Industriels Charcutiers Traiteurs et d'une brigade de blogueurs et blogueuses Thierry, Annabelle, Lucie et Lois, à l'imagination culinaire débordante.
Généralement quand on me dit charcuterie et cuisine, je me vois plutôt tranquillement sur les marches de la maison à m'étaler la rillette sur une belle tranche de pain plutôt que devant mes fourneaux... et pourtant ce jour-là elle est bien passée à la casserole la charcuterie !
Et en voyant un joli plat de chipo il nous est presque paru naturel que les belles allongées allaient finir sous forme de boulettes ! Des boulettes toute parfumées à l'asiatique dont je vous propose une autre version aujourd'hui...
Chipoboulettes à l'asiatique à la sauce de queue de dragon passionnée !
Ingrédients :
Pour les boulettes : 600g de chipo nature (et n'oubliez pas que meilleures sont les chipo, meilleures seront les boulettes...) – 1càs de citronnelle coupée le plus finement possible – 1càs de gingembre râpé – 2 ou 3 oignons nouveaux – 1 ou 2 gousses d'ail – 1càc de 5 épices – 1 petit piment (plus ou moins selon votre goût) – 1 petit bouquet de coriandre - du panko (le panko est la chapelure japonaise et si vous n'avez pas, la mie d'une baguette rassie râpée avec une râpe à gros trou fera bien l'affaire) – de l'huile neutre
Pour la sauce : 1 fruit de la passion – 1càs de miel liquide (choisissez un miel clair) – 1 petit piment (encore une fois plus ou moins selon votre goût pour le dragon) – 5 tranches de gingembre frais – 5 tronçons de 2 ou 3cm de citronnelle - 1càs de jus de citron vert – 1 trait de sauce soja – 3cl d'eau
Commencez par vous défaire les chipo, tranchez la peau dans la longueur et enlevez-la. Mettez la chair dans un saladier.
Mettez dans le bol d'un mixer la citronnelle, le gingembre, l'oignon et l'ail coupé grossièrement, la coriandre et le piment coupé en petits morceaux. Hachez le tout bien finement.
Ajoutez ce hachis à la viande, ajoutez aussi le 5épices, salez, poivrez et mélangez bien le tout.
Je vous conseille à ce moment-là de laissez reposer votre viande une paire d'heures et si c'est possible d'attendre le lendemain.
Formez des boulettes d'environ 25g puis roulez-les dans le panko et faites–les ensuite dorer dans une poêle bien chaude avec un beau filet d'huile de tous les côtés. Il s'agit seulement de bien les dorer et de les faire bien croustillantes, ne vous inquiétez pas de la cuisson à cœur, elles vont finir de cuire au four !
Une fois vos boulettes bien dorées déposez-les sur une grille et passez-les dans un four préchauffé à 140° pendant une quinzaine de minutes. Vérifiez alors la cuisson et ajoutez un peu de temps si nécessaire.
Pendant ce temps préparez la sauce. Videz dans une casserole le fruit de la passion et ajoutez tous les autres ingrédients, le miel, le piment en petits morceaux, le gingembre, la citronnelle, le jus de citron, la sauce soja et l'eau. Portez à ébullition puis faites bloblotter pendant 2 ou 3 minutes en remuant de temps en temps. Si le mélange sèche trop n'hésitez pas à ajoutez un peu d'eau.
Filtrez le mélange et remettez-le dans la casserole, et faites alors réduire la sauce jusqu'à ce qu'elle devienne sirupeuse.
La sauce est prête, les boulettes doivent être cuites à cœur... y'a plus qu'à ! Servez avec du citron vert.

Mais pourquoi, je ne vais plus regarder mes rillettes de la même façon moi... est-ce que je vous raconte ça...

vendredi 28 novembre 2014

Le vendredi c'est retour vers le futur… Cochon d'Asie parce que le cochon et moi c'est quand même une vieille vieille histoire…

Le cochon et moi c'est donc une vieille vieille histoire… Il faut dire que mes premiers pas culinaires je les ai pratiqués dans le 13e arrondissement parisien, ce joli quartier qui fleure bon les parfums d'Asie et de travers de porc !
Je crois que c'est là où je me suis vraiment attrapé une passion pour le cochon, sans doute parce que la cuisine asiatique sait mettre en valeur la bestiole et tous ses morceaux de biens des façons. Rôti, bouilli, frits, en morceaux petits petits ou en larges bandes… pour peu que vous vous promeniez par là-bas, il est bien difficile d'avancer dans les rues sans croiser un morceau de cochon à un moment ou un autre.
Et c'est sans doute hanté par ces balades dans le 13e arrondissement que je suis parti dans mes archives à la recherche de la recette à remettre en avant aujourd'hui et forcément…
Cochon d'Asie
Ingrédients : 450g de travers de porc coupés en petits morceaux – 2 gousses d'ail – 2 oignons nouveaux – 2 étoiles de badiane – 2 tranches de gingembre – 2 clous de girofle – 2 bâtons de cannelle – ½ càc de graines de coriandre – 2càs de miel liquide – 2càc de sauce soja - 20cl de bouillon de volaille – sel et poivre
Faites chauffer l'huile à feu vif dans une poêle ou un wok. Dès qu'elle commence à fumer, jetez-y les morceaux de travers, que vous aurez salés et poivrés, et faites-les dorer de tous les côtés.
Quand les morceaux sont bien dorés, ajoutez la gousse d'ail écrasée avec le plat d'un couteau, les oignons nouveaux (gardez la partie verte pour la fin de la recette), la badiane, le gingembre, les clous, la cannelle et la coriandre et prolongez la cuisson de 2 ou 3 minutes en baissant légèrement le feu et en remuant régulièrement.
Versez alors le bouillon, mélangez bien en raclant le fond de la poêle, couvrez et laissez à feu moyen pendant une dizaine de minutes.
Ajoutez alors le miel et prolongez la cuisson à découvert jusqu'à obtenir un jus sirupeux.
Juste avant de servir hachez le vert des oignons nouveaux et parsemez le plat généreusement.
Asian pork
Ingredients: 450g pork belly cut into small chunks - 2 cloves garlic - 2 spring onions - 2 star anise - 2 large slices ginger - 2 cloves - 2 cinnamon sticks - 1/2 tsp coriander seeds - 2 Tbsp runny honey - 2 tsp soy sauce - 20cl chicken stock - salt & pepper
Heat up the oil on high heat in a frying pan or a wok. When it starts to be smoking hot, throw in the meat, previously seasoned with salt & pepper, and brown them on all sides.
When they’re nice and golden, add the garlic, barely crushed with the flat side of your knife blade, the spring onions (keep the green part for the end of the recipe), the star anise, ginger, cloves, cinnamon and coriander seeds and cook for another 2 to 3 minutes, lowering slightly the heat and stirring regularly.
Pour the stock and mix well, scraping the bottom of the pan. Cover and let cook on medium heat for 10 minutes.
Add the honey, and keep cooking, uncovered, until you get a syrupy gravy.
Just before serving, chop the green part of the onions and sprinkle generously on top of the dish.

Mais pourquoi, y'a pas aussi une histoire de cochon qui sommeillerait qui expliquerait ma passion pour le cochon… est-ce que je vous raconte ça…

vendredi 4 avril 2014

A la découverte du poivre… ou plutôt des poivres ! Tome 4 et fin Calamars au poivre vert

Dernier voyage en compagnie du poivre et cette fois en compagnie du poivre vert de Penja en saumure de l'Epicerie fine Terre Exotique.
Si le poivre, et maintenant les poivres font partie de ma cuisine, le poivre vert a longtemps été un inconnu pour moi. Il m'arrivait bien de le croiser de temps en temps dans un steak tartare joyeusement relevé par ses petites boules vertes, mais sorti de cette unique préparation pas grand-chose à l'horizon du côté de ma cuisine.
Et puis en voyageant un peu de cuisine en cuisine et en m'arrêtant dans les lointaines cuisines de l'Asie, je me suis rendu compte que ce poivre-là accompagnait par là-bas bien des plats et bien des préparations. C'est curieux comme on peut enfermer un produit dans une préparation, l'attacher à un seul plat, et subitement se rendre compte que pour d'autres c'est presque un ingrédient à tout faire ! Et s'ouvrir un nouvel univers culinaire, c'est peut-être ça que j'aime finalement dans la cuisine, au bout d'un chemin on en trouve souvent un autre, puis un autre, puis…
Et c'est donc en traînant dans ces cuisines relevées et parfumées, de la Thaïlande au Vietnam, que je me suis mis au poivre vert. Et aujourd'hui pour cette dernière recette très poivrée c'est par là-bas que je suis allé chercher l'inspiration pour préparer des jolies rondelles de calamars auxquelles le poivre vert va donner tout son goût et sa force.
Calamars au poivre vert
Ingrédients :  4 tiges de poivre vert de Penja en saumure  - 6 calamars de taille moyenne – 1càs d'huile de tournesol - 12 haricots verts – 1 tige de citronnelle – 1 gousse d'ail – 2càs de sauce soja – 2càs d'eau - 1càc de sucre roux – 1 petit bouquet de coriandre effeuillé – 1 citron vert
Coupez les tiges de poivre vert en petits bouquets, pour cela coupez chaque tige en trois ou quatre.
Lavez, séchez puis coupez les haricots en tronçons d'environ 2cm.
Ecrasez l'ail au presse ail et émincez finement la citronnelle.
Nettoyez les calamars de leur peau translucide, videz-les, puis coupez les tentacules sous les yeux, enlevez les becs s'ils sont restés avec les tentacules, puis coupez les corps en rondelles.
Faites chauffer une poêle à feu vif et jetez-y les calamars pour leur faire rendre leur eau, il faut les laisser à peine une minute, puis égouttez-les bien.
Faites chauffer une poêle ou un wok à feu vif et quand il est bien chaud ajoutez-y l'huile et les 2càs d'eau, les haricots et le poivre vert. Et faites revenir jusqu'à ce qu'il ne reste plus d'eau.
Ajoutez alors l'ail et la citronnelle, mélangez bien pendant 1 minute puis ajoutez les calamars.
Laissez-les colorer rapidement puis ajoutez la sauce soja et le sucre en poudre et mélangez de nouveau pendant une minute.
Retirez du feu, parsemez la coriandre, mélangez et servez sans attendre dans les assiettes et au tout dernier moment arrosez d'un filet de citron vert.
Produit offert


Mais pourquoi, bon et si finalement je continuais le voyage, parce qu'il en reste des poivres à découvrir… est-ce que je vous raconte ça…

mercredi 5 juin 2013

Le bánh mì, peut-être mon sandwich préféré ! 1ère étape et le cochon devint rouge !

Comme je le dis souvent mes avions sont des assiettes et mes voyages lointains souvent des plats exotiques… Je ne voyage jamais autant qu'avec ce que je mange.
Le bánh mì est une de ces choses qui me font voyager loin loin là-bas vers où coule le fleuve rouge et pourtant… Pourtant il n'y pas grand chose d'exotique dans ce casse-croûte là…
Si l'on prend les ingrédients un par un on se dit que le cochon pourrait bien faire l'affaire pour vous envoyer dans les pays lointain mais le reste… Concombre et carotte sont déjà diablement de par ici mais que dire de la mayonnaise et de la baguette ! Voilà des ingrédients qui vous font à peine prendre le métro ! Heureusement le cochon…
Le cochon devint rouge
Ingrédients : 1 beau filet mignon de cochon - 1 sachet de poudre char sieu (assaisonnement pour porc rôti rouge que l'on entrevoit à l'arrière sur la photo) – 10cl d'eau - 3càs de sauce Hoisin – 3càs de miel liquide – 1càc de gingembre râpé – 1 gousse d'ail écrasée - 1càc de sauce Sriracha (sauce pimentée)
Versez le sachet de char sieu dans un bol puis ajoutez l'eau et diluez la poudre. Ajoutez 2càs de sauce Hoisin et autant de miel, le gingembre, l'ail et la sauce Sriracha et mélangez le tout.
Mettez le filet dans un plat et arrosez avec la marinade. Laissez au moins trois heures en retournant de temps en temps.
Enlevez le filet mignon de la marinade, pas la peine d'essuyez la viande. Posez-le sur une grille posée sur un plat.
Mélangez la cuillère à soupe de sauce Hoisin et le miel restant et badigeonnez le filet au pinceau.
Enfournez pendant 25 à 30 minutes dans un four préchauffé à 190°.
Laissez refroidir.
Puis vous pourrez vous occuper du bánh mì. A suivre donc !
The pig’s gone red
Ingredients: 1 pork filet mignon - 1 packet of powdered char sieu (it’s a seasoning for roasted pork you can see in the back of the picture) - 10cl water - 3 Tbsp hoisin sauce - 3 Tbsp liquid honey - 1 tsp grated ginger - 1 crushed clove of garlic - 1 Tsp Sriracha sauce
Put the char sieu seasoning in a bowl and dilute in the water. Add 2 Tbsp of hoisin sauce and as much honey, the ginger, garlic ans Sriracha and mix everything together.
Put the filet mignon in a dish and add the marinade.Set aside for at least 3 hours. Turning it now and then.
Take the meat off the marinade. Don’t bother wiping the meat. Put it on a grill placed on top of a dripping pan.
Mix the remaining Tbsp of hoisin sauce and Tbsp of honey together and brush the meat with it.
Put in the oven, preheated at 190°C/375°F, for 25 to 30 minutes.
Let cool down.
Et si vous veniez trouver de nouvelles idées autour de l’apéritif aujourd'hui toute la journée se tient le salon AperoNweb.
Au programme : des ateliers cocktails, salades, marinade et sauces… (voir le détail sur ce lien)
C’est quand ?

Aujourd'hui, mercredi 5 Juin, de 10h 30 à 21 h
C’est où ?
MAS, 18 rue des Terres Curés, Paris 13
Comment s’inscrire ?
Il suffit de le faire sur ce lien. Passez donc nous voir !



Mais pourquoi, et dire que j'ai réussi à ne pas parler de cette espèce de drôlerie qu'on buvait dans une petite tôle de Biên Hoa pas très loin de Saigon… est-ce que je vous raconte ça…

jeudi 2 août 2012

Le plus dépaysant des travers pour votre barbecue ! Les recettes du Parisien et d'Aujourd'hui en France Tome 6 ! Barbecue de travers de porc à l'asiatique

Toute la semaine mes petites recettes sont aussi dans Le Parisien et Aujourd'hui en France et voilà donc la sixième de cette série ! 
Encore un voyage grâce aux assiettes avec un de mes morceaux de viande préférés, le travers ! Le travers c'est pour moi comme un surf que j'enfourcherai pour traverser les pays et les mers et attendre mon but lointain. Bon, du surf sur un travers de porc ça peut paraître un peu… un peu… mais avec un peu d'imagination ! 
Et donc si vous aimez comme moi voyager grâce à vos assiettes, n'hésitez pas, ce plat est un vol direct pour l'Asie. Fermez les yeux pendant la cuisson et vous verrez que les vagues au loin auront pris l'accent de la mer de Chine ! 
Barbecue de travers de porc à l'asiatique 
Temps de repos : 1 heure Temps de cuisson : 20 minutes Temps de préparation : 5 minutes 
Ingrédients : 1,2 kg de travers de porc coupé en 4 morceaux - 4 c. à soupe de miel - 4 c. à soupe de sauce de soja - ½ c. à café de coriandre moulue - 1 c. à soupe de jus de citron - 1 c. à soupe d'huile de tournesol - 2 gousses d'ail - 4 tranches d'½ cm de gingembre frais 
Ecrasez grossièrement l'ail et le gingembre dans un bol au pilon. Ajoutez tous les autres ingrédients de la marinade, la sauce soja, les épices, le citron et l'huile, mélangez le tout. Posez les morceaux de travers dans un plat métallique et versez la marinade par dessus. Laissez mariner pendant une heure au frais en remuant régulièrement la viande. 
Préparez le barbecue. 
Égouttez la viande et réservez la marinade. Grillez la viande au barbecue, ne la mettez pas trop près des braises, en l'arrosant de temps en temps avec la marinade. 
Une fois la viande cuite faites rapidement réduire la marinade restante et remettez le viande et la marinade dans le plat. 

Mais pourquoi, je me demande de quoi il aurait l'air le Surfer d'Argent sur un travers de porc… est-ce que je vous raconte ça…

dimanche 28 mars 2010

Le cochon du dimanche c’est du cochon 100% de fainéant et à l’asiatique !

Ça y est j’ai pris LA grande décision LE dimanche… enfin CE dimanche, c’est férié nada chaise longue et doigts de pieds en éventail à me regarder l’orteil qui en frémit de plaisir de ne plus toucher le sol ! Que même pour me gratter le dessus du nez je vais demander à quelqu’un de le faire pour moi…
Et le cochon, forcément, il n’avait pas intérêt être exigeant aujourd’hui, du coup cochon de fainéant au menu, parce que des fois il faut retrouver le pouvoir de dire NON ! Même si je sens que ça ne va pas durer...
Cochon 100% de fainéant à l’asiatique
Ingrédients : 750g de travers de porc coupé en bouchées – 1càs d’huile neutre – 3ou 4 gousses d’ail - 1càs de fond de volaille – 20cl d’eau – 3càs de sauce soja - 2càs de sirop de Miel épicé (Moulin de Valdonne) - ½ càs de sirop de Gingembre (Moulin de Valdonne) - poivre – 2 ou 3càs de noix mélangées salées hachées (facultatif) – 3 ciboules ou 2 oignons nouveaux – 6tiges de fleur d’ail émincées assez fin (facultatif)
Versez l’huile dans un wok et chauffez-la à feu vif. Quand elle commence à fumer, ajoutez le travers de porc et les gousses d’ail simplement écrasées avec le plat d’un couteau. Faites revenir le tout jusqu’à ce que le travers soit bien doré, attention l’ail ne doit pas trop colorer pendant ce temps.
Ajoutez alors l’eau et le fond de volaille, couvrez et laissez bloblotez à feu doux pendant une dizaine de minutes.
Découvrez et laissez réduire à feu doux. Quand le jus est bien réduit ajoutez les deux sirops et faites réduire de nouveau. Dès que la sauce couvre bien le cochon servez sans attendre.
Servez saupoudré avec les ciboules et éventuellement le mélange de noix et les fleurs d’ail.
Si vous voulez vous pouvez remplacer les sirops par un petit mélange maison. Mettez dans une casserole 2càs de miel dilué avec 2càs d’eau, 1 bâton de cannelle, 1étoile de badiane, 1 ½ gousse de vanille, 3clous de girofle, quelques graines de coriandre et quelques tranchettes de gingembre. Faites réduire le tout d’1 tiers et utilisez à la place des deux sirops.
Et si vous ne connaissez pas les sirops Moulin de Valdonne et que vous êtes libre le mardi 8 à partir de 18h j’ai deux places à vous proposer pour venir les découvrir avec moi. Ça se passe à Paris dans le 11e et il a dégustations, ateliers culinaires et de mixologie et performances artistiques au programme. Si vous voulez venir laissez simplement un petit commentaire…

Mais pourquoi, finalement j’ai me demande si c’est le cochon ou moi le fainéant… est-ce que je vous raconte ça…