Et si on regardait nos assiettes depuis le ciel... Salade de pâtes au saumon à l'italienne !

Photographier un plat n'est finalement pas quelque chose de naturel, ce qui l'est c'est de le manger !

Habitué que nous sommes aujourd'hui à défourailler nos appareils photos ou nos téléphones dès que la moindre assiette arrive sur nos tables, nous avons un peu oublié ce principe, un plat c'est d'abord et surtout fait pour être dévoré et pas forcément pour devenir une diva sous nos objectifs...

Du coup face à lui nous cherchons l'angle, le côté, pour le mettre à son avantage et nous tournons et retournons les plats avant de mes les mitrailler et au final ceux qui nous entourent râlent comme des putois affamés parce qu'ils savent qu'ils vont, une fois de plus, manger froid !

Je n'échappe bien sûr pas à cette foutue habitude, bien plus que d'autres encore, puisque j'en ai aussi fait ce qui me nourrit, j'ai fait de la photo une partie de mon travail quotidien. Autant vous dire que manger froid chez moi, c'est souvent manger très très froid !

On peut photographier les plats de bien des manières, posées par-ci par-là, sur un coin de table, sur une veille planche, entre les mains, plus ou moins de côté ou du dessus...

Et c'est ce que m'a proposé de faire Labeyrie avec quelques blogueuses lors d'un petit atelier amical en prenant pour modèle une jolie salade de pâte au saumon à l'italienne, réalisée avec le saumon fumé en émincés de la marque.

Et je dois dire que j'ai été surpris par la créativité et l'inventivité de mes camarades blogueuses face au défi qui leur était proposé. Parce qu'il faut dire que photographier un plat « vu du ciel » et ben ce n'est pas toujours évident évident ! Parce que forcément dans ce cas pas moyen de cacher tel ou tel élément en le mettant à l'autre bout du plat ou en utilisant un joli flou qui va le faire oublier, et pas moyen non plus de s'arranger avec la lumière... enfin sans quelques petits artifices...

Du coup je me suis moi aussi prêté à l'exercice en deux photos, l'une avec la lumière « comme d'hab » venant de ma fenêtre, je vous laisse deviner laquelle et où ma fenêtre se trouve par rapport à l'assiette, et une deuxième avec la lumière légèrement bouchée devant avec un calque et légèrement poussée derrière avec un simple réflecteur...

Je vous laisse choisir celle qui vous attire plus l'appétit !

Salade de pâte au saumon à l'italienne

Ingrédients : 1 paquet de saumon fumé en émincés Labeyrie – 240g de conchiglie – 1 douzaine de tomates cerises (les miennes sont oranges mais elles peuvent être rouges) - 1 douzaine de capron (ce sont des grosses câpres) – 2 tiges de basilic effeuillé – 2 tiges d'origan effeuillé - 2càs de parmesan en copeaux –1càc de pignons légèrement dorés 2càs d'huile d'olive – 1càs de jus de citron - sel et poivre

Commencez en faisant cuire les pâtes selon les indications portées sur l'emballage, puis passez-les sous l'eau froide et égouttez-les bien.

Coupez les émincés de saumon en deux dans la longueur puis roulez-les.

Versez l'huile et le jus de citron dans un bol, salez et poivrez et mélangez le tout.

Arrangez vos pâtes et les petits roulés de saumon sur les assiettes. Déposez les tomates coupées en deux et les caprons. Arrosez le tout avec la sauce. Terminez en parsemant sur les assiettes le basilic, l'origan, le parmesan et les pignons grossièrement hachés.

Vous n'avez plus qu'à photographier, de toute manière ça se mange froid !
Italian inspired salmon and pasta salad
Ingredients: 115g smoked salmon - 240g conchiglie pasta - a dozen cherry tomatoes (mine are orange but they can obviously be red!) - a dozen large capers - 2 sprigs basil, leaves picked - 2 sprigs oregano, leaves picked - 2 Tbsp Parmesan shavings - 1 tsp pine nuts, slightly toasted - 2 Tbsp olive oil - 1 Tbsp lemon juice - salt & pepper
First, cook the pasta, following the instructions on the packet, rinse them under cold water and drain well.
Cut the smoked salmon into ribbons (not too narrow!) and roll them.
Pour the oil and lemon juice in a bowl with salt & pepper and mix.
Nicely place the pasta and salmon in the plates. Add the tomatoes, halved, and the capers. Pour some sauce and top with basil, oregano, Parmesan and pine nuts, roughly chopped.
And for once, you can take as long as you want to take a picture of it since it is eaten cold!

Article sponsorisé 

Mais pourquoi, et si on les regardait vraiment du ciel... est-ce que je vous raconte ça...

Ça se bouffe mais seulement en images…chioggia et trévise, les belles amères !

Ceux qui passent par ici de temps en temps l'ont sans doute remarqué, Arnaud celui qui parle à l'oreille des fruits et des légumes, je ne sais d'ailleurs pas ce qu'il peut bien leur susurrer à l'oreille pour les faire pousser de si belle manière, Arnaud donc m'a changé mon marché du samedi matin.

Il faut dire que le garçon ne se lasse pas de me surprendre avec ses productions et son goût prononcé pour l'aventure végétale... Et souvent le samedi quand je reviens à la maison la première chose que je demande à Marie c'est tu d'vineras jamais ce que je rapporte de chez Arnaud ! Et Marie forcément elle peut pas deviner... 

Sauf que là, c'est elle qui passe voir Arnaud ces derniers temps et qui forcément en rentrant n'a pas manqué de me rendre mon tu d'vineras jamais...

Et l'autre jour j'ai pas deviné qu'elle était rentrée avec des belles amères dans l'cabas, des salades comme je les aime, des chioggias et des trévises, colorées, craquantes et croquantes, rafraîchissantes et donc amères à souhait, juste ce qu'il faut.

Des salades à qui sont aussi si belles que je n'ai pas pu m'empêcher de leur tirer le portrait pour vous les présenter dans cette série juste en image et sans recette... Ça se bouffe mais seulement en images…

Mais pourquoi, bon et demain on offre des bouquets de salades pour la Saint-Valentin... est-ce que je vous raconte ça...

Le NXmini de Samsung un petit qui a des arguments de grand ??? Une réponse en quelques photos…

Je ne suis pas un grand technicien de la photo et quand je ne sais pas comment faire quelque chose avec mon appareil j'avance souvent à petits pas dans la direction de mon but avec autant d'assurance qu'un pingouin devant traverser un fleuve de lave sur un pont de singe…

Mais comme je forme un vieux couple avec mon appareil, je sais maintenant un peu mieux quel type de digestion il va avoir et mes recherches de la photo comme je veux aboutissent de plus en plus régulièrement.

Par contre, quand on me prête un nouvel appareil pendant quelques temps, pour le tester un peu, il en va tout autrement. Là, ma première attente est que ce nouveau venu entre mes mains se montre le plus facile à découvrir et m'apprenne le plus simplement à faire les photos que j'espère.

Du coup quand je commence à faire clic clic clic, c'est après avoir tripoté un bouton ou deux, tourné une molette ou deux et bougé l'appareil dans tous les sens du plus près au plus loin, du cœur coulant de l'action au plus lointain de l'assiette perché sur une chaise et sur la pointe des pieds. 

Et si à ce moment-là quand je regarde enfin le résultat de mes tentatives je me retrouve avec une collection de flous surexposés, c'est que l'affaire est mal engagée…

Ce n'est pas ce qui est arrivé avec le Nxmini que Samsung m'a donc confié en pension pendant quelque temps avec pour but de tester sa digestion. 

Dès nos premières rencontres mes attentes ont commencé à être comblées, pas toutes, pas totalement mais suffisamment pour que je me dise que tout cela était fort bien parti. Il faut dire que ce petit-là ne manque pas de possibilités à découvrir qui vont permettre aux débutants de le prendre en main facilement et aux plus exigeants d'aller plus loin pour peu qu'on lui tripote un peu le ventre !

En effet le NxMini ne manque d'arguments ni en terme de réglages ni en terme de possibilités, notamment grâce à ses zooms interchangeables aussi efficaces qu'étonnants et de possibilités de partage tout à fait étonnantes.

Si vous voulez en savoir plus sur ses possibilités et sur ce qu'il a dans le ventre notamment en terme de partage c'est par là que ça se passe : NxMini

Et comme dans le domaine de la photo quelques images valent souvent mieux que de grands discours… j'ai profité de sa présence pour réaliser toutes les photos qui illustrent cet article.

Mais pourquoi, bon reste à choisir la couleur… noir ou rose… ou blanc ou… est-ce que je vous raconte ça…

Ça se bouffe mais seulement en images… L'asperge sauvage !

Après la bourrache voilà l'asperge sauvage une nouvelle venue dans cette série Ça se bouffe mais seulement en images… consacrée à mes petites rencontres dans le domaine de ce qui se bouffe, illustrée juste par une image, pour vous permettre, à vous aussi, de voir vraiment de quoi il s'agit !

Quand j'attrape un bouquet de ces jolies petites choses je me pose toujours deux questions presque existentielles avant de les passer à la casserole…

L'asperge sauvage est-elle vraiment sauvage ? Et je parle là de celles qu'on achète sur les étals, pas celles que l'on la chance de trouver parfois du côté du sud du sud dans les garrigues parfumées… Et puis d'abord c'est vraiment une asperge ? Des fois je me demande si je ne me pose pas trop de questions…

Quoi qu'il en soit mes chers vendeurs à part me regarder d'un drôle d'air, un peu avec dans les yeux un j'vous jure si on pouvait l'attacher sur un iceberg et te le mettre à dériver celui-là ça nous f'rait quand même des vacances ! à part ça je n'ai donc pas vraiment de réponse.

Tant pis que je me dis alors parce que j'aime le goût délicat de ces asperges sauvages et qu'elles prennent souvent une jolie place dans mes salades composées.

Enfin voilà donc ces asperges sauvages, qui me posent quelques questions et me donnent aussi bien du plaisir dans l'assiette en image et si vous la rencontrez n'hésitez pas à la découvrir ! Et surtout surtout n'oubliez pas que l'asperge qu'elle soit sauvage ou pas d'ailleurs, n'aime pas les longues cuissons, deux ou trois minutes à peine pour ces sauvages-là, et qu'elle n'est jamais, en tout cas à mon goût, meilleure qu'encore croquante.

Mais pourquoi, bon et maintenant si je leur demandais si la roquette s'envoie vraiment en l'air… ou peut-être pas d'ailleurs… est-ce que je vous raconte ça…

Ça se bouffe mais seulement en images… les fraises blanches !

Décidément j'ai de biens drôles de commerçants… Qui me permettent de nourrir aussi cette rubrique consacrée aux images de ce qui se bouffe et qui ne court pas forcément les étals.

Cet après-midi je suis allé faire mes petites courses chez ma petite marchande de quatre saisons et comme d'hab' j'achetais un peu de ça, un peu de ci… Et je sentais bien qu'il y avait quelque chose de pas comme d'habitude, qu'elle avait comme une petite taquinerie dans les yeux, comme l'air d'attendre quelque chose.

Mais moi qui pourrais faire la queue au milieu d'un troupeau de pingouins sans m'étonner, je n'ai pas vraiment remarqué sa drôle de… Jusqu'à ce moment où j'allais lui demander quelques petites fraises bien rouges et juteuses comme celles que j'achète chez elle maintenant presque tous les jours et qu'en tendant le doigt vers l'endroit où elles se tiennent habituellement je me suis surpris à demander des fraises… blanches ???

Ah ben quand même ! qu'elle a dit alors un peu comme si ces fraises-là m'étaient particulièrement destinées, la connaissant c'est d'ailleurs un peu le cas, et voilà comment je suis rentré à la maison une nouvelle fois avec un curieux produit, des fraises toutes blanches !

Et comme j'ai presque autant le sens de l'observation que de mémoire, je suis rentré à la maison en oubliant leur nom à peine le coin de la rue franchi, me souvenant juste que ce n'est pas une nouvelle variété mais une vieille connaissance des jardiniers.

Par contre ce dont je me souviens bien, c'est qu'elles n'ont pas survécu à l'heure du goûter, c'est de leur goût très parfumé doux et sucré rappelant la fraise des bois et si le prix n'était pas un peu… elles seraient souvent sur ma table.

Mais pourquoi, je me demande de quelle couleur vont être les bananes demain… est-ce que je vous raconte ça…

Ça se bouffe mais seulement en images… Les salsifis !

Après le kale et les pousses de kale voilà donc le salsifis, un nouveau venu dans cette série Ça se bouffe mais seulement en images… consacrée à mes petites rencontres dans le domaine de ce qui se bouffe, illustrée juste par une image, pour vous permettre à vous aussi de voir vraiment de quoi il s'agit !

Drôle de truc que ce salsifis, cette étrange racine de la famille des scorsonères, toute noire dehors qui va se révéler d'un blanc nacré dès lors qu'on va lui retirer sa peau.

Trop souvent attaché à de bien mauvais souvenirs de cantines approximatives, le salsifis est pourtant pour qui accepte de les cuisiner une vrai petite délicatesse pleine de finesse, encore faut-il le cuisiner ! Et surtout l'éplucher…

Dans ce domaine juste une petite astuce, personnellement j'utilise une paille de fer, un truc pour lavez le cul des casseroles quoi, pour le déshabiller. Je pose mon salsifis à plat sur le côté de mon évier et je frotte, je frotte jusqu'à atteindre la chair blanche et délicate. Après vite dans l'eau citronnée sinon les salsifis virent vite au maronnasse… Comme celui que j'ai volontairement épluché et laissé sans le tremper au milieu de la photo. Et juste un autre truc faites-le vraiment sur votre évier parce que vous allez vite comprendre que le salsifis ne se laisse pas mettre à nu sans vous ruiner l'évier… Je vous laisse imaginer sur une planche !

Une fois vos salsifis beaux et blancs toutes les recettes sont permises ! A l'eau, à la vapeur, au beurre ou même en tempura… vraiment ne vous privez pas de lui, il vaut quelques efforts !

P.S.: Et si jamais vous avez cinq minutes passez lire l'incontournable, Ce week-end, c’est salsifis ( fais pas la gueule) de G. Long, un article à mourir de bonheur !

Mais pourquoi, je suis sûr que je vais bien trouver quelques recettes avec du salsifis chez Philou… est-ce que je vous raconte ça…

Traitement ou pas traitement de la photo et de l'image ??? Photo & Graphic Designer 9 et Vidéo Deluxe 2014 à gagner !

Il y a quelques temps l'équipe Magix me proposait de tester deux logiciels l'un permettant de travailler les photos, Photo & Graphic Designer 9 et l'autre les vidéos, Vidéo Deluxe 2014.

Bon, dans un premier temps je me suis dit que tester une poêle à frire, un poivre long ou un couteau qui coupe, un livre ou une boîte de soupe ou n'importe quoi d'autre qui a à voir avec ce qui se mange c'est à peu près dans mes cordes mais des logiciels de traitement de l'image… Là, j'me suis demandé si…

Et puis l'équipe de Magix m'a demandé si je travaillais mes photos…

Travailler les photos ça veut dire pour moi remettre un chouille de lumière ou ajouter un peu de contraste ou de couleur ça et là parce que finalement il s'agit juste de redonner l'aspect de la réalité à ce qui est passé par le filtre de l'appareil. Parce que de toute manière un gloubiboulga fadasse ne deviendra jamais une petite salade pleine de couleurs, de fraîcheur et de relief, n'y pensez même pas, tous les logiciels du monde n'y feront rien. Une mauvaise photo reste toujours une mauvaise photo.

Pour retravailler mes photos il me faut donc du rapide, du simple et surtout de l'intuitif ! Et en pensant ça, je me suis dit que je pourrais effectivement peut-être tester ces logiciels que je ne connaissais pas encore et voir s'ils répondaient à ces critères.

Et au final après quelques minutes de prise en main les deux logiciels ont parfaitement répondu à mes attentes et se sont révélés simples, intuitifs et surtout efficaces ! De plus ils m'ont donné envie d'aller plus loin et d'apprendre à maîtriser plus avant leurs possibilités qui apparaissent comme beaucoup beaucoup plus complètes que mes simples attentes… mais ça je vous en parlerai peut-être quand j'aurai fait le tour complet de ces deux logiciels.

En attendant comme c'est toujours mieux de se faire sa propre idée je vous propose de gagner deux licences et donc les deux logiciels, Photo & Graphic Designer 9  et Vidéo Deluxe 2014 des logiciel que vous pouvez découvrir chez Magix là : logiciel graphique et créer une vidéo

Pour cela rien de plus simple, dites-moi en quelques mots dans les commentaires ce que vous attendez de votre côté d'un tel logiciel, pas plus que moi ou… et bien sûr le logiciel que vous aimeriez gagner, parmi les deux en jeu. 

Après c'est comme d'habitude la main innocente de mon hamster (qui est toujours mon fils et pas une bestiole à poils longs, quoi que !) tirera au sort deux d'entre vous et vous fera donc gagner un logiciel à chacun. Vous avez jusqu'à dimanche soir, le 2, à minuit pour participer ! A vous de jouer !

Et n'oubliez pas de me laisser un mail pour vous contacter ou si vous ne voulez pas laisser votre mail visible envoyez-moi une copie de votre message là : doriancuisine@free.fr et j'aurais votre mail !

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Mais pourquoi, ça reste innocent jusqu'à quel âge un hamster d'ailleurs ??? est-ce que je vous raconte ça…

Mon Samsug Galaxy S4Zoom et moi… Et si mon appareil photo se trouvait maintenant dans ma poche…

J'ai toujours été étonné par la facilité de beaucoup à faire des photos partout et tout l'temps, moi qui  suis plutôt un inquiet de la photo. Il faut dire que je suis de ces dinosaures qui emmenaient il y a juste quelques années… enfin quelques-unes quoi, ses précieux rouleaux chez le photographe du coin pour les faire développer.

Et puis le numérique est arrivé et la photo a commencé à être partout, à tous les coins de rue, dans les restaurants, le soir chez soi… partout, partout des appareils que l'on tient à bout de main pour immortaliser tout et quelques fois n'importe quoi.

Et comme presque tout le monde je suis passé au numérique… mais je suis resté un inquiet de la photo. Et puis voilà qu'on me propose d'essayer ce que j'appellerais bien un téléphotographe de poche dans mon langage d'avant, le Samsung Galaxy S4Zoom.

J'ai d'abord regardé la chose avec curiosité et forcément inquiétude, est-ce que cet appareil qui a commencé par prendre souvent des photos de mes poches et du dedans de mes oreilles pouvait me procurer du plaisir, de l'étonnement, de la gourmandise et tant d'autres choses que peut procurer une photo …

Et comme le plus facile pour juger des capacités d'un appareil photo c'est justement… d'en faire ! Je m'y suis collé et petit à petit et je dois dire que l'animal m'a surpris par ses possibilités et les capacités de son zoom X10 auxquels rapidement aucune gourmandise n'a plus résisté.

Mais plutôt que de grands discours regardez ce que j'ai, entre autres, fait avec lui… 

 

Et maintenant faites attention parce que si vous me voyez lever la main en l'air il se pourrait bien que vous vous retrouviez dans mon Galaxy S4Zoom !

L'ensemble de ces photographies ont été prises avec le Samsung Galaxy S4Zoom par un Samsung Imagelogger.

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Mais pourquoi, bon ça surprend quand même ma main qui fait clic-clac... est-ce que je vous raconte ça...

J'aime quand les photos racontent les recettes... Surtout quand je prépare un bordel au chocolat qui n'a pas vraiment de nom !!!

Des fois j'aime parler, parler, parler... et puis des fois j'aime bien quand ce sont les photos qui racontent la recette du bordel au chocolat qui n'a pas vraiment de nom... Enfin les photos et un peu moi...

Pour faire ça tu commences par émietter des boudoirs, une dizaine c'est bien...

Après tu fais revenir deux pêches ou deux brugnons ou un chaque c'est comme tu veux avec un peu de beurre et de sucre, juste le temps que ça commence à fondre.Et là tu verses sur les boudoirs.

En même temps tu mets dans une casserole deux fruits de la passion, tu mets ce qu'il y a dedans ! Et un beau trait de citron vert et deux ou trois cuillères à soupe de sucre en poudre et autant d'eau.

Tu remues, tu remues et quand ça commence à siruper tu filtres et tu verses la moitié du sirop sur les boudoirs, une bonne moitié... l'autre on garde pour plus tard.

Après tu fais fondre du chocolat blanc et tu bats de la crème presque en chantilly, moite moite, 150g de chaque c'est bien. Tu laisses un peu refroidir le chocolat, pas trop sinon il va redurcir et tu incorpores la crème, doucement tout doucement... et forcément tu verses sur le reste...

Après c'est tout simple, le sirop qu'il reste sur le... reste et des amandes effilées tu rajoutes... parce que c'est bon et que ça croque..

Après c'est encore plus simple une cuillère et...

Crumble about 10 ladyfinger 
In a frying pan, brown 2 peaches (or 2 nectarines, or 1 of each) with a little butter and sugar. Just enough time for everything to come to melting. Then pour that mixture over the ladyfingers.

In the meantime, in a saucepan, put 2 passion fruits, a dash of lime juice, about 2 Tbsp sugar and the same of water.

Keep stirring. When it’s getting thick, filter that. Pour a good half of that syrup over the ladyfingers.

Melt 150g white chocolate and whisk 150g cream to make whipped cream.

When the chocolate is melted, let it cool down a bit. Not to much or it will get hard again, but enough so that it doesn’t make the cream go off. Gently blend the cream in the chocolate. Pour over the ladyfinger-fruit-syrupy-thingy.

You just need to add on top of that, the remaining syrup and some sliced almonds.

Go grab a spoon!

Mais pourquoi, et dire que je n'ai même pas eu le temps de goûter... est-ce que je vous raconte ça...

Epingler c'est partager ! Pinterest et moi !

Pinterest… La première fois que je suis arrivé sur Pinterest je me suis demandé bien des choses et d'abord à quoi servaient ces drôles de tableaux composés de photos, de photos, de photos…

Et puis j'ai commencé moi aussi à épingler. D'abord les images des autres parce qu'au fil de mes voyages sur la toile j'avais envie de me souvenir, que ces images me restent en mémoire, et peut-être aussi de les partager. Et puis j'ai commencé à ajouter mes propres images et à mélanger tout ça, toujours avec cette envie de partager.

Et maintenant vous pouvez me retrouversur Pinterest et découvrir mes goûts pour ce qui se mange, par exemple en découvrant toute ma cuisine sur ce tableau…

Mais aussi bien d'autres choses, le thé que je prends avec bien d'autres, mes chats, les couleurs que j'aime particulièrement, des tatouages et des regards… plein de choses en fait, plein de ces choses qui me ressemblent.

Du coup quand je suis derrière ma machine avec un air inspiré ceux qui vivent avec moi savent que je ne suis plus complètement là, je voyage dans les assiettes mais pas seulement, je découvre des lieux et des gens, des yeux et des chats, des couleurs, une vie en rose ou une autre en bleu que me permet de découvrir Pinterest.

Et aujourd'hui Pinterest est en France et lance sa campagne #epinglercpartager, une campagne à laquelle je participe aujourd'hui et à laquelle bien d'autres vont participer, pour vous raconter leurs passions, et vous verrez, elles sont variées, et leur relation avec Pinterest.

Demain par exemple Anne-Laure va vous parler de Pinterest et d'elle sur son blog Bonjour Darling,   vous pouvez aussi retrouver sur Pinterest là Bonjour Darling. Quant à moi je retourne chez elle épingler deux ou trois choses, son Bon Bun, son burger, ses fleurs… Bon, sans doute plus de deux ou trois choses que je vais partager avec vous. Parce qu'épingler, c'est partager !

Et surtout n'hésitez pas à votre tour à partager vos expériences avec Pinterest et vos tableaux ici, ou peut-être si vous ne vous êtes pas encore lancé, à épingler votre première image. Mais attention ensuite vous risquez de ne plus jamais vous arrêter !

Mais pourquoi, d'ailleurs ça fait un moment que je n'ai pas épinglé mes chats… est-ce que je vous raconte ça…

Et si la Thaïlande était le paradis de la street food dont je rêve depuis… longtemps ! La preuve en quelques images…

Et voilà depuis ce matin je suis en Thaïlande, dans ce drôle de pays où on a l'impression que quelqu'un a joué avec le bouton de la température en la laissant bloquée à fond du fond !

Mais aussi dans un pays où on mange partout partout partout et du coup aussi dans la rue, qu'on soit debout, assis ou couché ! Ici j'aurais enfin trouvé le pays de la street food, ce pays dont je rêve à chacun de mes voyages ? Il semblerait bien que oui…

Mais plus que mes grands discours habituels je vais laisser parler quelques images glanées au passage des rues…

 

 

 

Mais pourquoi, et en plus il parait qu'il est parti avec le bouton pour régler le chauffage extérieur ! est-ce que je vous raconte ça…

Faire des biscuits juste pour le plaisir d'une photo sous la neige des fois j'me demande... j'me demande !!!

Des fois j'me demande vraiment si la bouffe n'aurait pas tendance à prendre un chouillat trop de place dans mes préoccupations, un chouillat…

En tout cas ce matin en voyant la neige et en voyant une recette de biscuits craquelés toute droite sortie d'un petit ouvrage Nestlé sur le lait concentré, je me suis dis que les biscuits sur la neige… des fois j'me demande !

Mais je vous raconte tout ça demain et la recette avec bien sûr… en attendant la voilà…

Mais pourquoi, j'me demande si sur la neige des pâtes de canard… est-ce que je vous raconte ça…

Petite balade au pays de la Street Food, Londres Covent Garden !

Ce jour-là Birgit, avec qui je traînais à Londres, a eu la bonne idée de m'entraîner dans les rue londoniennes au lieu de me laisser végéter devant un café en attendant notre train du retour… Et nos pas sont passés par Covent Garden où se trouve un des plus réjouissants marchés de Street Food !
La preuve en quelques images…
Et si jamais vous aimez vous aussi la Street Food et que vous avez une petite faim je ne saurai que trop vous conseiller d'aller vous perdre par là-bas !

Mais pourquoi, et si j'allais m'intéresser à la Street Food belge maintenant... est-ce que je vous raconte ça...