dimanche 28 février 2010

Quand la tempête gronde, derrière la vitre je la regarde passer avec le plus gourmand des crumbles à la main…

J’ai toujours aimé les mélanges de textures, quand le fondant le plus rassurant rencontre le craquant le plus féroce, et dans ce domaine-là le crumble peut être roi ! Il faut dire que cette petite merveille de la cuisine anglaise peut entraîner la cuillère à travers les plus croquants des mélanges à crumble avant d’aller ramasser des fruits fondants à souhait, et quand en plus dans cette histoire on rencontre un brin de crème et un fond de sirop… j’en ai le poil du dos qui se hérisse sauvagement rien que d’y penser !
J’ai toujours aussi aimé la tempête… enfin la tempête pour moi c’est un peu comme le sport, le sport c’est dans le canap’à’couette, la tempête c’est derrière la fenêtre avec plaid’à’chat intégré… La tempête je l’aime en cinémascope et au sec.
Du coup tempête et crumble m’ont paru aller de soi, il fallait au moins ça pour rassurer l’hypocondriaque climatique que je suis. Parce que moi à la moindre goutte d’eau j’imagine tout de suite les torrents qui finissent pas envahir les rues de mon petit village, et moi et les miens sur notre radeau de la méduse dévalant les torrents… et quand le vent apparait je vérifie les attaches de la maison, même si je sais que ça ne sera pas suffisant…
Alors pour me rassurer, sur ma chaise presque tremblant, je serre mon crumble bien fort et je profite d’une accalmie pour plonger ma cuillère dedans, vite vite avant la prochaine rafale…
Crumble pomme-poire et vanille et gingembre
Ingrédients :
Pour le fond : 2pommes relativement acidulées – 2poires pas trop mûres – 3càs de sucre roux en poudre – 1 gousse de vanille – du jus de citron
Pour le crumble : 3biscuits du type digestive (Mc Vities) – 2càs de sucre roux en poudre – 10g de gingembre confit râpé – 3càs de céréales aux noix mélangées
Pour finir : de la crème fraîche battue
Commencez par gratter la gousse de vanille au dessus du sucre roux, puis mélangez.
Pelez puis coupez en tranches bien fines les pommes et les poires, citronnez-les légèrement au fur et à mesure. Quand elles sont toutes coupées, mettez-les dans le moule, choisissez-le assez petit pour monter les fruits en hauteur.
En même temps que vous mettez les fruits dans le moule répartissez le sucre roux à la vanille sur les couches.
Versez 30cl d’eau dans le plat contenant l’eau, posez dessus l’assiette vapeur puis le moule puis couvrez avec la cloche vapeur. Mettez en position Cuisson vapeur SC 2 poids 0,6kg.
Vous pouvez aussi réaliser cette partie en posant le moule dans un plat contenant un fond d’eau et en couvrant le tout avec un papier d’aluminium, comme pour une papillote. Laissez alors cuire jusqu’à ce que les fruits soient bien fondants.
Pendant ce temps, émiettez bien les biscuits puis mélangez-les avec les autres ingrédients du crumble.
Recueillez ensuite le jus contenu dans le moule en laissant les fruits.
Versez le jus recueilli dans une petite casserole et faites-le réduire en sirop pas trop épais.
Saupoudrez les fruits avec le crumble puis enfournez le moule posé sur le plat Crousty et réglez le four en position Crousty cc2 réglée sur le poids 0,6kg.
Dans un four traditionnel, utilisez la chaleur tournante et faites cuire pendant une vingtaine de minutes à 180°.
Quand tout cela est prêt, il ne reste plus qu’à déguster le tout en versant dessus quelques jolies cuillerées de crème et le petit sirop.
Cette recette a été réalisée avec le four Duo Chef LG et permet d’utiliser deux fonctions particulièrement intéressantes la Cuisson vapeur sous cloche et la Cuisson Crousty.
Produit offert

Mais pourquoi, je me demande si Rantanplan aimerait voler… va savoir avec cette drôle de bête... est-ce que je vous raconte ça…

mercredi 24 février 2010

Cuisini… culiniste… culinistologue… et voilà que je ne sais même plus ce que je suis… Et chocolat et gingembre pour aider à y réfléchir !

Je suis un catalogue de métiers à moi tout seul, j’ai l’impression d’avoir eu plusieurs vies tellement je ne me suis jamais arrêté d’être des choses et des choses encore, des choses qui ont toujours été différentes...
J’ai été vendeur de billets de bateau et rangeur de tonnes de cartons de papier et resserreur de joints de lavabo et sociologue et imprimeur de papiers que personne ne lisait et vendeur de bijoux en toc sur les marchés et formateur en espagnol et marchand de légumes, j’ai même vendu des saucisses corses et quelques autres charcutailles et j’ai été animateur de messagerie et manager d’un groupe de musique qui faisait du bruit et documentaliste et serveur dans une créperie enfin pour les crèpes que je ne mangeais pas et j’ai été pas mal d’autres choses encore…
Et un jour je suis même devenu ménager de moins de 50ans… et maintenant… maintenant je fais de la bouffe !!!
En tout cas, c’est ce que j’essaye de dire quand on me demande et il fait quoi le monsieur dans la vie ? Bouffistologiste que je répondrais bien ! Mais pour me donner un peu de contenance et me laisser le temps d’expliquer, je réponds que je fais de la bouffe… parce que je ne sais pas vraiment dire ce que je suis.
Aujourd’hui le problème c’est que je suis en train de devenir ce que j’espérais depuis longtemps, je gagne ma vie en faisant, en écrivant, en parlant de ma passion, de la bouffe, enfin ça commence à venir en tout cas… et que je ne sais pas comment le dire.
Je ne sais pas comment dire que je trempe dans cette foutue bouffe qui me fait me coucher bien des jours à l’heure où Paris s'éveille, parce qu’il me restait encore une recette à écrire ou la mousse de demain à mettre en route ou… Cette foutue bouffe qui me fait me réveiller en pleine nuit parce que dans un demi sommeil j’ai enfin trouvé le fruit qui manquait à mon petit velouté… et que je crie d’la poire j’vais y coller de la poire dans l’céleri !!! Et le pire c’est que mes révélations nocturnes n’étonnent plus personne chez moi… Même Rantanplan ne bouge pas une oreille, blasée, il me semble l’entendre souffler de dépit…
Mes enfants ne me demandent même plus pourquoi je m’attaque un travers de porc à la scie à métaux ou pourquoi je frappe une tablette de chocolat furieusement par terre pendant qu’ils goûtent avec quelques copains de passages, et même eux se sont habitués…
Tous savent que j’ai choisi mon camp, à force de chercher, j’ai enfin trouvé ce que je veux faire quand je serai grand, je veux être cui… cunilistique… cuistonome… Et pourtant ce n’est pas compliqué, je veux juste continuer à me chauffer les doigts au dessus des feux, à faire sauter, griller, mijoter, bloblotter et… recommencer encore et encore et aussi m’échauffer la tête avec les histoires et les recettes… Je veux juste CUISINER et en vivre et c’est en train de m’arriver…
Et si jamais vous trouvez le mot qui rentrerait bien dans les cases, mon burelier à moi, dites-le moi. Sinon ce n’est pas grave de toute manière ceux qui veulent me trouver savent bien où chercher, je suis là-bas au fond de la cuisine là où la flamme de la gazinière brûle pour moi… Et où naissent aujourd’hui les recettes très chocolat et gingembre.
Truffes au chocolat au sucre et gingembre
Ingrédients : 200g de chocolat à cuisiner au lait (vous pouvez aussi choisir du chocolat noir) – 20g de beurre – 10cl de crème fleurette entière – 2fruits de la passion – 2càs de sucre en poudre – 2càs de sucre en poudre roux – 25g de gingembre confit
Commencez en faisant coupant en fines tranches le gingembre, posez-les au fur et à mesure sur une plaque couverte de papier sulfurisé. Quand tout le gingembre est tranché faites-le sécher une quinzaine de minutes dans un four à 120°. Quand il est bien sec laissez refroidir puis mixez avec le sucre jusqu’à obtenir un sable assez fin.
Faites fondre doucement le chocolat au bain marie. Mélangez dans une petite casserole le beurre coupé en morceaux et la crème fleurette. Mettez sur feu moyen et portez à ébullition. Quand le chocolat est bien fondu ajoutez-y la crème au beurre pett à petit en fouettant bien comme pour obtenir une mayonnaise.
Laissez tiédir, puis glissez au frigo deux bonnes heures.
Quand le chocolat est bien ferme, formez ensuite des petites boules avec une cuillère, puis roulez-les entre vos mains jusqu'à les rendre bien rondes.
Versez le sucre au gingembre sur une planche et roulez les petites boules de chocolat dedans, recommencez jusqu'à épuisement du chocolat.
Cupcakes truffes et gingembre
Pour les cupcakes : 120g de beurre – 90g de sucre en poudre – 2 œufs – 60g de farine à poudre levante incorporée (ce qu'on appelle aussi farine à gâteau) - 60g de farine – 15g de gingembre confit
Pour coller dessus : Une portion de pâte à truffes selon la recette précédente – des tranches très fines de gingembre confit
Commencez par mixer le sucre avec le gingembre jusqu’à ce qu’il soit réduit en poudre fine.
Mettez ensuite dans la cuve d’un batteur (vous pouvez aussi utiliser un batteur à main) le sucre et le beurre et laissez tourner jusqu’à obtenir un mélange bien homogène. Ajoutez alors les œufs, un par un et incorporez-les bien à chaque fois.
Ajoutez les farines (vous pouvez aussi utiliser de la farine classique mélangée à ½ càc de levure chimique) petit à petit, finissez en ajoutant les noix de pécan et la confiture de lait, mélangez encore.
Tapissez les cagettes à cupcakes d’un peu de ce mélange, puis ajoutez une petites noix de pâte à truffe, comme sur la photo. Finissez ensuite de remplir les caissettes à cupcake’s, pas trop, et enfournez dans un four préchauffé à 170° pendant 15 à 20minutes selon la taille des caissettes.
Quand les cupcakes sont prêts, laissez-les refroidir.
Formez ensuite des petites boules de pâte à truffes, posez-en une sur chaque cupcake, puis écrasez d’un côté avec le dos d’une cuillère pour les faire adhérer au cupcake. Décorer enfin avec une fine tranche de gingembre.

Mais pourquoi, cuicui… non j’peux quand même pas dire que je fais cuicui dans la vie… est-ce que je vous raconte ça…

lundi 22 février 2010

Rencontre avec le restaurant d’Hélène Darroze et toute la vie qui s’y déroule - Tome 2 ! Et au menu le plus goûtu des risottos…

Le début de cette rencontre au restaurant d’Hélène Darroze se trouve là : Le premier Tome.
J’ai toujours eu un petit faible pour les noms de plat à rallonge tant qu’ils ne sont pas gonflés de prétention, tant qu’ils ne s’obligent pas à se trouver unique ou merveilleux, quand ils racontent juste la composition mystérieuse d’une assiette. Et là rien que d’entendre l’énoncé du premier plat j’étais déjà dans une sorte de pays des merveilles… Et je m’attendais à chaque moment que Céline notre guide, entre deux mots, nous sorte de ses poches, bar de ligne et bulbe de fenouil, qu’un tambour apparaisse pour qu’elle puisse annoncer des bouquets d’aneth et des pluies de caviar…
J’ai toujours eu l’imagination un peu dérapante et les plats qui s’avançaient vers nous étaient de véritables provocations à l’imagination ! Et chaque coup de fourchette n’arrangeait rien, à chaque fois elle ajoutait en bouche de l’embrun et de l’iode, des parfums de champs fleuris, et tellement d’autres choses … qu’il était difficile de seulement s’imaginer assis à la table à manger.
Et après le voyage en mer retour sur terre où la poularde arrive accompagnée de ses petits légumes.
Je crois que ne suis plus vraiment dans le même restaurant que les autres à force de me laisser aller à suivre les influences des plats. Dans le mien j’entends crier depuis les cuisines, et qu’on lui fouette le foie gras ! et qu’on lui dore la poularde… j’adore me laisser prendre dans ces tourbillons d’imagination.
Et dans la cuisine d’Hélène Darroze bien des choses, les écumes, les craquants, les pousses que l’on découvre au détour de l’assiette et la variété des parfums… tout entraine l’esprit aux détours… Une petite crème versée doucement tout doucement transforme les ormeaux en île sauvage à découvrir. Et il en sera de même au fil du repas, coquilles et veau, fromages et desserts tous les plats seront autant de petites aventures dans lesquelles je me suis perdu avec plaisir.
La technique parfaitement maîtrisée de chaque préparation permet à Hélène Darroze et ses équipes de s’attacher à créer ce petit supplément d’âme qui transforme une simple assiette en un voyage qui dépasse les goûts et les saveurs pour atteindre un monde beaucoup plus personnel, plus intime, celui des impressions et des sensations… Dès lors, c’est une discussion qui se déroule entre le mangeur et l’assiette, une conversation unique que le cuisinier a provoquée et rendue possible.
A la table d’Hélène Darroze le mangeur ne doit pas s’attendre aux bruits et aux fracas des vociférations que certains chefs mettent en scène dans leurs assiettes, mais à des chuchotements complices tels ceux que l’on échange allongé dans l’herbe, l’été, simplement pour partager un instant de plaisir… Juste cet instant où plus rien n’importe… Un moment suspendu hors du temps qui dans le restaurant d’Hélène Darroze dure le temps d’un repas.
Repas offert
Risotto crémeux au jambon croustillant et parfum de cèpes (une recette très librement inspirée de celle réalisé par Hélène Darroze pour une émission de Vivolta)
Ingrédients : 250 g de riz rond à risotto - 2 échalotes hachées bien fin - 25 g de moelle de bœuf coupée en petit cubes - 100 g de jambon de pays en très fines tranches - 25 g de mimolette vieille râpée - 10 cl de vin blanc sec – 75cl de bouillon de volaille - 10cl de crème liquide - ½ càs d’huile d’olive de cuisson - 1càs de sauce de viande – Sel - 5 morceaux de cèpes séchés
Commencez en mettant les cèpes séchés dans 15cl d’eau tiède pendant une quinzaine de minutes.
Etalez ensuite la moitié du jambon sur une feuille de papier sulfurisé et faites-le dorer dans un four préchauffé à 140°, il faut que le jambon commence à peine à dorer et soit devenu bien croustillant.
Versez l’huile d’olive dans une sauteuse et faites-la chauffer à feu moyen. Quand elle est chaude ajoutez l’échalote et les cubes de moelle, laissez sur le feu jusqu’à ce que l’échalote soit presque transparente. Ajoutez alors l’autre moitié de jambon et poursuivez la cuisson 3 minutes de plus.
Ajoutez le riz et mélangez le tout, laissez de nouveau 3 minutes de plus en remuant régulièrement.
Ajoutez alors 10cl de bouillon et l’eau de trempage des champignons et poursuivez la cuisson en remuant régulièrement jusqu’à ce que le bouillon soit complètement absorbé par le riz. Recommencez l’opération autant de fois que nécessaire en versant à chaque fois 10cl de bouillon, jusqu’à ce que le riz soit à point. Quand le riz est presque cuit ajoutez les cèpes et poursuivez la cuisson.
Une fois cuit, juste avant de servir, ajoutez le fromage râpé et mélangez le tout. Au moment de servir répartissez la sauce de viande et la crème fraîche, mélangez très rapidement, déposez par-dessus le jambon croustillant et mangez sans attendre.
Et après le repas pour le prochain épisode direction la découverte des gens, ceux qui cuisinent, ceux qui servent et ceux qui font bien d’autres choses… à suivre dimanche prochain !

Mais pourquoi, j’me demande si je vais oser tâter de la fesse de bœuf moi… est-ce que je vous raconte ça…

dimanche 21 février 2010

Vite vite il est encore temps de faire un agneau presto presto ! Agneau nuit de chine et vite en plus !

Depuis quelques jours, va savoir pourquoi, je suis pris d’une prestite galopant e à l’agneau ! Enfin j’ai quand même peut-être comme une petite idée vu que je vais très bientôt me retrouver au salon de l’agriculture avec Adèle et Damien pour fêter la fin du concours de l’agneau presto organisé par les 750g ! Et vous savez quoi ? Vous avez, vous aussi, encore le temps de participer, presto presto l’agneau, et direction par là : L’agneau en deux temps trois mouvements…
Agneau nuit de Chine et presto !
Ingrédients : 450g de gigot d’agneau coupé en fines lamelles – 4 gousses d’ail – 1càs d’huile d’arachide - 3càs de sauce soja – 2càs de miel liquide assez neutre – 1càs de cacahuètes grillées à sec (facultatif) – ½ càc de sésame doré (facultatif) – 3 ou 4 petits choux pok choy – 5cl de bouillon de volaille – quelques tiges d'ail vert (facultatif) - sel et poivre
Commencez en écrasant l’ail non épluché d’un coup sec, un bon coup de rouleau et il fait moins le fier l’ail !
Mettez l’huile dans un wok bien chaud à feu vif, ajoutez la viande et l’ail et laissez sur le feu en remuant de temps en temps jusqu’à ce que la viande commence à bien colorer. Ajoutez alors le soja et le miel, remuez bien et laissez sur le feu jusqu’à ce que la sauce couvre bien la viande, comptez 3 à 5 minutes.
Dès que c’est à point versez le contenu dans un saladier.
Coupez les choux en deux, puis posez-les au fond du wok, ajoutez le bouillon. Toujours à feu assez vif laissez le wok sur le feu jusqu’à ce que la sauce soit bien réduite et que les choux soient cuits, il faut les retourner régulièrement et ne pas hésiter à ajouter un peu de bouillon.
Versez ensuite le contenu du saladier sur les choux et sans remuer laissez réchauffer et la sauce bien réduire.
Servez de suite avec à votre choix des cacahuètes légèrement écrasées, des graines de sésame et de l'ail vert.
Et si vous voulez une petite recette de brochettes slurpantes pour un apéro tardif, direction chez Adèle : Petites brochettes d'agneau sauce satay

Mais pourquoi, et après l’agneau presto les cupcakes allegro… est-ce que je vous raconte ça…
PS : la petite série consacrée à mon voyage au pays d’Hélène Darroze reprend son cour exceptionnellement demain matin pour cause d’agneau vite vite… à demain !

vendredi 19 février 2010

Mais oui, mais oui je vois vraiment des cupcakes partout, partout, partout !!!

La première fois je me suis dit ça va passer ce sont les premiers qui arrivent, et puis là ça ne s’arrête plus ça arrive de partout. Et je ne vais surtout pas me plaindre bien au contraire, je baigne dans les cupcakes avec bonheur ! Et voilà donc une nouvelle sélection parmi tout ceux qui sont déjà arrivé… en attendant les suivants !
Et pour retrouver les recettes cliquez sur les photos...


Mais pourquoi, presto ! presto !!! un agneau... c'est curieux cette envie d'agneau qui ne me lâche pas... est-ce que je vous racontre ça...

jeudi 18 février 2010

Presto presto l’agneau ! Quand l’agneau devient presto, moi je suis allegro !!! et devinez quoi… agneau au menu !

Pour moi la cuisine du frigo, cette cuisine faite comme ça à l’inspiration, c’est un peu comme si on me proposait de partir passer un mois d’août sous la tente dans un camping de la côte d’Azur… Comme dirait Adèle quand je lui propose de sortir du périf’ sans passeport ni vaccination, ça va pas être possible !
Et pourtant j’aimerai bien pouvoir cocher la case spontanéïté culinaire. Mais si je fais ça Marie risque de partir dans un de ses rires hoquetant qui me fera comprendre que je suis à peu près aussi crédible que si Rantanplan notre chat mononeuronique comprenait subitement que ça ne sert à rien de miauler furieusement sur ses croquettes ! Parce que les croquettes même sous la menace ne se reproduisent pas entre elles ! Et pourtant Rantanplan miaule et miaule sans fin…
Ce chat a toujours été un mystère pour moi, il faut dire que j’ai toujours eu des chats à l’intelligence fulgurante. Ma vieille d’avant savait, par exemple, calculer au millimètre près où se mettre sur l’oreiller pour que ces griffes tombent par « hasard » sur l’œil de mes copines de passage quand elles se retournaient. Les inconscientes pensaient peut-être qu’un lit ça peut se partager à trois… Même Marie y a eu droit, heureusement elle a été un peu plus résistante que les autres.
Et puis il y a eu Einstein, la chatte qui n’en était pas une dans sa tête… Einstein pensait qu’elle était humaine, une humaine entouré de pas très doués qui parlaient une drôle de langue très limité et qui s’obstinaient à ne pas comprendre ce qu’elle énonçait pourtant clairement ! Mais elle nous pardonnait, parce qu’en plus d’être Einstein et elle aussi une sorte de sœur Térésa à quatre pattes, toujours prête à pardonner nos erreurs… Et après Rantanplan est arrivée.
Rantanplan qui peut subitement se mettre à faire des roulades avant pour avancer, parce que sa tête est devenue d’un coup plus lourde que ses fesses, ou tenir de grands discours à tous les objets de la maison, à ces grossiers malfaisants qui ne lui répondent même pas et qu’elle quitte finalement avec un air de dedain, ou attaquer basketor le terrible monstre qui rode dans le placard à chaussures, et s’acharner sur lui jusqu’à lui ébouriffer le lacet,le signe manifeste que le monstre a rendu l’âme. Et moi après je sors dans la rue avec deux basketors morts aux pieds et avec des lacets en forme de cactus… et je me lasse ! Rantanplan est le seul chat que j’ai jamais connu équipé d’un neurone aléatoire dont l’œil exprime constamment la même chose… l’incompréhension !
Et là pendant que je me tiens devant mon frigo, j’ai l’œil de Rantanplan. Et tout ça parce que Damien m’a demandé si je ne voulais pas lui faire une petite recette d’agneau presto et venir la présenter au salon de l’agriculture dimanche 28 entre 14h et 17h avec lui et Adèle. Enfin jusque là ça allait, c’est quand je lui ai demandé pour quand que je me suis attrapé l’incompréhension dans le regard, pour hier tu peux ? qu’il m’a dit…
Agneau presto presto sauté comme un curry
Ingrédients : 450g de gigot d’agneau coupé en fines lamelles – 1càs de pâte de curry orange – 1càc de sucre roux en poudre – 1 ou 2càc de ghee ou beurre clarifié - 1oignon émincé assez finement – ½ poivron jaune coupé en petits cubes – ½ poivron rouge coupé en petits cubes –1 dizaine de tomates cerises variées – 20cl de lait de coco - sel – basilic thaï – ciboule – coriandre
Mettez le ghee dans un wok bien chaud à feu bien vif, ajoutez tout de suite la viande et laissez sur le feu en remuant de temps en temps jusqu’à ce que la viande commence à bien colorer. Ajoutez la pâte de curry, salez, remuez et laissez sur le feu 3 minutes. Ajoutez alors l’oignon et les poivrons, remuez bien et laissez sur le feu 5 petites minutes en remuant souvent.
Ajoutez les feuilles de citron kaffir et les tomates remuez bien puis ajoutez le lait de coco et laissez sur le feu 5 nouvelles minutes, juste le temps que la sauce réduise bien.
Ensuite il n’y a plus qu’à servir en ajoutant les herbes à votre goût.
Et vous comment êtes-vous quand il s’agit de cuisiner vite et bien ? En tout cas n’hésitez pas, presto l’agneau dépêchez-vous de participer, il ne reste plus que quelques jours pour recevoir des places pour nous retrouver au salon et surtout pour gagner un dîner chez Pierre Gagnaire !
Mais pourquoi, finalement je me demande si elle a vraiment un neurone entier… est-ce que je vous raconte ça…

mardi 16 février 2010

Quand je rencontre Chloé je sais que je ne vais pas tarder à voir ces cupcakes partout, partout, partout !!! Et la très chocolat Scarlett au menu !

La première fois que j’ai rencontré Chloé, elle m’a pratiquement proposé tout de suite de goûter un de ses cupcakes, déjà… Et je m’en souviens encore, il était au Nutella, comme je me souviens aussi que ma main a glissé discrètement pour en attraper un autre... C’est que la maline sait parler à mon estomac, elle sait bien que si les filles naissent dans les roses, les garçons eux ont le cœur en Nutella… Et puis ça ne s’est pas arrangé parce qu’après j’ai commencé à préparer des cupcakes avec Chloé et forcément j’ai aussi continué à manger ses cupcakes, ils ont même fini chez moi où leur sort a été réglé en quelques minutes… et de cupcakes en rencontres voilà comme je me retrouve avec une de ses recettes !
Scarlett le cupcake chocolat noir cœur de chocolat blanc
Ingrédients : 140g de farine – 1 sachet de levure chimique – 6 œufs – 160g de sucre en poudre – 400g de chocolat noir amer – 240g de beurre salé – du chocolat blanc
Mélangez la farine avec le sachet de levure. Battez ensemble les œufs et le sucre puis ajoutez le chocolat noir amer que vous aurez fait fondre, le beurre salé en pommade, et la farine et battez le tout de nouveau.
Versez un fond de pâte dans vos cupcakes, puis faites précuire cette pâte 5 min à 150°, ajoutez au centre du chocolat blanc puis le reste de la pâte et cuire encore pendant 15 min.
Laissez refroidir avant de vous occuper du topping.
Pour le topping : pâtes à tartiner choco noisettes (du Nutella !) et chocolat blanc dans une poche à douille, décorer à votre guise de sucres colorés, oursons en guimauve ou autres bonbons !
Si vous voulez découvrir les cupcakes de Chloé en les dévorants furieusement c’est simple la boutique virtuelle de Chloé est par là : Les cupcakes de Chloé S.
Et si vous voulez vous pouvez aussi apprendre à les faire avec elle lors d’un petit stage cupcake terriblement gourmand. Pour les renseignements sur les stages c’est pas là : Chloé S.
Vous trouverez d’ailleurs là aussi toutes les adresses où vous pouvez trouver les cupcakes de Chloé.
Et prenez date, très très bientôt l’ouverture d’un temple du cupcake du côté du 40 de la rue Jean-Baptiste Pigalle… mais ça je vous en reparle très vite.
Les cupcakes en photo sont dans l'ordre : Gina, Bertille, Scarlett, Simba et Cherry et toutes les photos sont de Chloé.

Mais pourquoi, il m’arrive même de rêver cupcakes, il était gros gros et me courrait après pour me… manger ! est-ce que je vous raconte ça…

lundi 15 février 2010

Le cupcake peut-il rendre télépathe ? Drôle de question et cupcakes à la confiture de lait pour y répondre...

La veille de cette drôle d’aventure, après avoir perdu quelques neurones à rechercher le parfum que je pourrais bien donner à ma nouvelle fournée de cupcakes, je m’étais souvenu que j’ai toujours rêvé de traverser la pampa à cheval et sombrero ! C’est pas de ma faute si j’ai toujours eu des rêves d’aventurier moi qui pourtant m’attrape une forêt d’ampoules si je dois aller chercher le pain à pied et qui suis au bord d’ameuter police secours à la moindre attaque d’une écharde rétive…
Mais ce n’est pas grave, les rêves sont les rêves et quand je regarde l’horizon depuis ma fenêtre, un chapeau digne d’Indi vissé sur la tête, ce sont bien les plaines Argentines que je vois au loin derrière le pavillon de la voisine... Et puis après tout tant qu’on a le chapeau et l’ivresse…
Et ça tombait bien, puisqu’il y a peu j’avais fait le plein en produit pour gaucho et que du coup j’avais un joli pot de confiture de lait qui n’attendait plus que mes envies… et oui le gaucho il aime la confiture de lait parce que c’est avant tout un grand doux qui s’ignore… Confiture de lait et viva la pampa !!! Il n’en fallait pas plus pour que je me lance dans le plus Evita des cupcakes !
Evita’s cupcake’s confiture de lait et noix de pécan
Ingrédients :
Pour les cupcakes : 120g de beurre – 80g de sucre roux en poudre – 2 œufs – 70g de farine à poudre levante incorporée (ce qu'on appelle aussi farine à gâteau) - 50g de farine –2càs de confiture de lait - 40g de noix de pécan – 2càc de sucre en poudre
Pour la crème : 20cl de crème fraîche – 4belles càs de mascarpone – 20g de noix de pécan –1càc de sucre en poudre
Commencez en concassant grossièrement toutes les noix de pécan. Mettez ensuite tout le sucre en poudre dans une poêle et faites-le fondre à feu assez vif. Une fois qu’il a caramélisé, ajoutez les noix de pécan concassées et mélangez rapidement, retirez du feu. Laissez tiédir puis hachez finement le tout. Séparez ensuite en 2/3 pour les cupcakes et 1/3 pour le nappage.
Mettez ensuite dans la cuve d’un batteur (vous pouvez aussi utiliser un batteur à main) le sucre et le beurre et laissez tourner jusqu’à obtenir un mélange bien homogène. Ajoutez alors les œufs, un par un et incorporez-les bien à chaque fois.
Ajoutez les farines (vous pouvez aussi utiliser de la farine classique mélangée à ½ càc de levure chimique) petit à petit, finissez en ajoutant les noix de pécan et la confiture de lait, mélangez encore.
Remplissez les caissettes à cupcake’s, pas trop, et enfournez dans un four préchauffé à 180° pendant 15 à 20minutes selon la taille des caissettes.
Pendant que les cupcakes refroidissent, préparez la crème.
Montez en chantilly la crème liquide, puis ajoutez le mascarpone et mélangez rapidement à la cuillère, le mélange va se serrer de plus en plus, n’insistez pas trop. Mettez au frais.
Quand les cupcakes sont prêts, laissez-les refroidir.
Mélangez alors la crème et la confiture de lait. Déposez ensuite une quantité de crème à votre goût et donnez-lui la forme que vous souhaitez. Finissez en répartissant dessus le 1/3 de noix caramélisées restantes. Mangez sans attendre !
Et alors que j’étais prêt à passer au cupcake suivant, le lendemain en ouvrant un mail de Stéphanie, je me suis retrouvé nez à nez avec cette redoutable gourmandise (cliquez sur la photo pour la recette)…
Là, je me suis tout de suite touché le front, me demandant si un troisième œil n’était pas en train de s’ouvrir là ou un truc du même genre et depuis je ne prends plus aucun risque j’ai décidé d’éviter de penser, j’évite… en espérant que ce n’était que le hasard et pas que je m’étais attrapé la télépathie ! Moi qui suis à la limite de la méningite rien qu’à me demander où j’ai mis ma carte bleue… manquerait plus que ça…
Et puis toujours à mes questions métapathique je suis passé chez Stéphanie pour avoir la recette de sa gourmandise et je suis tombé nez à nez avec son étonnant mode d’emploi et il n’y pas de doute Stéphanie a trouvé la meilleure manière de déguster les cupcakes…
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez me convoiter, me désirer, me captiver
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Mais ne soyez pas comme, tous les hommes, trop pressés.
Et d'abord, le regard
Tout le temps de prélude
Ne doit pas être rude, ni hagard
Dévorez-moi des yeux
Mais avec retenue
Pour que je m'habitue, peu à peu...
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Avec délicatesse, en souplesse, et doigté
Choisissez bien les mots
Dirigez bien vos gestes
Ni trop lents, ni trop lestes, sur ma peau
Voilà ça y'est, je suis
Frémissante et offerte
De votre main experte, allez-y...
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Maintenant tout de suite, allez vite
Sachez me posséder, me consommer, me consumer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Conduisez-vous en homme
Soyez l'homme... Agissez !
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Et vous... déshabillez-vous !

Merci Stéphanie pour tout ça et tout le reste… et à très vite pour de nouvelles aventures culinaires… très très vite !

Mais pourquoi, j’adore le suspens… mon côté aventurier encore, enfin tant que je n’ai pas mes palpitations qui me prennent… est-ce que je vous raconte ça…

dimanche 14 février 2010

Rencontre avec le restaurant d’Hélène Darroze et toute la vie qui s’y déroule - Tome 1 ! Et au menu, velouté étonnant au potiron …

Je n’ai pas l’habitude de fréquenter certains restaurants, ceux dont on parle, ceux qu’il faut goûter, LES restaurants quoi ! Bien sûr, Adèle me sort de temps en temps, seulement de temps en temps parce que curieusement à chaque fois que je sors ma blagounette de restau et que je lance à celui qui nous sert, pour moi vu l’prix ça sera la carafe d’eau et un supplément pain… ah et je prendrais un sucre mais sans l’café alors ! Curieusement là, elle tord le museau d’une drôle de manière, d’une bien drôle de manière qui me dit que la prochaine fois ne sera pas pour tout de suite...
Il faut dire que pour moi le restaurant reste attaché à mes souvenirs de ces menus à pas cher qui me nourrissaient souvent, et à des lieux bruyants et enfumés et aux blagues carambar que nous étions capables de nous lancer d’un bout à l’autre de l’établissement… Ces souvenirs de restau me ramènent toujours à mon QG de jeunesse, à ce petit routier du centre de Boulogne que la devanture annonçait comme breton et qui servait surtout le couscous le plus copieux que j’ai jamais croisé.
C’était un bistrot à menu qui nous permettait de survivre en nous servant des portions de camionneur quand nous y mangions… un jour sur deux ou trois. Il y avait tellement dans l’assiette qu’il arrivait que l’on suive le jus en pointillé sur le sol depuis la cuisine jusqu’à notre table. Et pourtant quand nous taquinions Kamel, d’un c’est tout ? provocateur, il marchait à chaque fois et retournait les plats en cuisine histoire d’en remettre un peu… encore un peu plus… et il revenait avec un sourire comme un soleil, et nous demandait ça va comme ça ?
Du coup quand j’ai appris que j’étais invité à découvrir la table d’Hélène Darroze avec quelques blogueuses et Damien, je me suis gratté la tête en me demandant ce que j’attendais aujourd’hui d’un restaurant, maintenant que j’y vais sans forcément mourir de faim. Et je me suis dit que décidément manger était bien compliqué si on commence à se poser des questions… Alors j’ai choisi de ne plus penser, de ne plus me questionner et d’aller voir avant que je ne m’attrape une méningite réflexive à force de me creuser le neurone, et de surtout me laisser guider par mes sensations...
En entrant dans le restaurant d’Hélène Darroze, j’ai tout de suite été pris par la sorte de chaleur rassurante qui accueille l’arrivant, elle nous entoure en douceur sans que l’on sache si ça tient au bois très présent, aux tons et aux couleurs chaleureuses ou aux personnes accueillantes et disponibles… ou finalement aux trois et quelques autres choses… Quoi qu’il en soit, on se sent dès l’arrivée comme dans un bain quand on arrive enfin après quelques heures de réglages à trouver la bonne température, LA température celle qui permet de tout oublier, le regard vide et le filet de bave prêt à s’écouler.
Et puis on monte dans la salle, on croise une armée de bouteilles où dorment tranquilles quelques alcools avec qui j’aimerai bien passer quelques après-midi, et enfin on arrive au but de notre voyage, la table est là, elle nous attend. On s’y glisse, curieux de ce qui va arriver.
Et la machine à jambon arrive, cette vieille dame aux rouages rutilants, prête à nous faire tomber des dentelles de jambon… En la regardant c’est une autre machine qui m’est revenue à l’esprit, celle de mon père, curieux rapprochement, la sienne cousait mais ne coupait pas. Et en regardant les gestes de Céline, sa délicatesse à poser les dentelles de jambon les unes après les autres, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à d’autres gestes, à ceux avec lesquels il faisait glisser les tissus en créant les mêmes vagues…
Et quand j’ai ensuite goûté ce jambon, son gras et sa chair sont venus me fondre sur la langue, et là j’étais devant mon frigo d’alors, en train de chaparder juste une lichette d’un autre jambon, parce que déjà j’aimais le laisser fondre comme ça… et à ce moment-là je ne savais plus de quelle machine venait le bruit, de celle de mes souvenirs ou de celle du bout de la table… A suivre dimanche prochain…
Velouté mousseux de courge aux agrumes confits
Ingrédients : 1kg de courge – 4gousses d’ail – 4feuilles de laurier - 90g de foie gras frais – 60g de beurre - sel et poivre -1 kumkuat confit – ½ mandarine confite – 1càs d’écorce de citron confit
Pelez, coupez en gros cubes la courge puis mettez-la dans un pot allant au four. Ajoutez le foie gras, les gousses d’ail et les feuilles de laurier. Salez et poivrez.
Faites cuire pendant environ 1h30 à 150° en mélangeant de temps en temps, la chair de la courge doit s’écraser facilement à la fourchette.
Pendant la cuisson taillez en très fines lamelles les agrumes.
Placez la courge avec un peu du liquide de cuisson dans un saladier, il faut seulement mettre la courge, enlever tous les autres éléments solides, les feuilles de laurier, l’ail et le foie gras.
Mixer la courge avec un mixeur plongeant jusqu’à obtenir une purée aérienne. Ajoutez alors le beurre à température et mixez de nouveau le tout.
Servez ce velouté mousseux avec des fruits confits à votre goût et le foie gras que vous aurez détaillé en très fines lamelles.

Mais pourquoi, je crois que ce feuilleton va durer, durer, durer… et j’aime ça… est-ce que je vous raconte ça…

samedi 13 février 2010

Ça y est cette fois je vois vraiment des cupcakes partout, partout, partout !!!

Ça y est cette fois je vois vraiment des cupcakes partout, partout, partout !!! J'en vois de toutes les couleurs, de tous les goûts et pas deux qui se ressemblent !
Je vois des cupcakes partout... partout... partout... et en voilà quelques uns parmi les dizaines qui sont déjà arrivés chez moi... et vous au fait ?



Et bien sûr vous pouvez cliquer sur les photos pour rejoindre les recettes de toutes ces petites merveilles.
Mais pourquoi, mais oui mais oui j'ai bien vu un cupcake... c'est pas un gros minet d'ailleurs... est-ce que je vous raconte ça...

PS : Chaque dimanche ce drôle de Coucou propose un rébus qui m'échappe à chaque fois... Peut-être que vous... et en plus ce qu'il dit vaut souvent la peine d'être lu... C'est là : Le coucou des Claviers