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samedi 9 septembre 2017

Rencontre avec Stéphanie dans son Food Truck La Fabrik à pâtes ! Et la recette de sauce pollo e funghi de Stéphanie...

Les jolies rencontres commencent souvent par quelques mots... Et ma rencontre avec Stéphanie a commencé comme ça, par un petit mail où elle me parlait un peu d'elle et de son Food Truck La Fabrik à pâtes, un mail qui finissait en me proposant de passer la voir sur un de ses lieux de stationnement, histoire de papoter un peu et surtout de goûter ses pâtes.
J'ai toujours aimé plus les gens qui font ce que je mange que véritablement ce que je mange, peut-être parce que leurs histoires me nourrissent de quelque chose de plus que de simples aliments, d'histoires, d'envies et souvent de sourires et même d'affection... Alors j'ai dit oui à Stéphanie, je lui ai dit que je passerai la voir quelques jours plus tard juste avant ses vacances.
Et c'est comme ça que je l'ai rencontrée dans sa Fabrik à pâtes et que j'ai aussi croisé mari et enfants, qui eux aussi m'ont un peu raconté l'histoire du projet et de sa vie en compagnie des fameuses pâtes !
Stéphanie s'est donc lancée dans l'aventure après plusieurs vies professionnelles, comme certains d'entre nous, passées à se chercher avant qu'un jour l'idée... les pâtes ! Et pas n'importe lesquelles des pâtes fraîches maison, préparées chaque jour avec des jolies sauces que Stéphanie prépare aussi quotidiennement parce que la fraîcheur c'est quelque chose qui lui tient à cœur.
Ils m'ont raconté à plusieurs voix les débuts, la recherche du camion et son aménagement, les premiers emplacements, les quantités de pâtes, quelques fois un peu trop... et puis la vie, les enfants qui mangent souvent des pâtes, les journées souvent longues, mais aussi la joie d'avoir trouvé sa voie, la vie quoi ! Et j'aime ces histoires surtout que j'ai pu les écouter en goûtant les pâtes de Stéphanie...
Ces pâtes donc toujours maison, vraiment maison ! Des pâtes qu'elle sert al dente comme j'aime avec des sauces arrabbiata ou au pesto, podomoro ou carbonara, bolognese ou pollo e funghi et quelques autres... Des pâtes, mais pas seulement, puisque je suis reparti ce jour-là avec une jolie panna cotta préparée avec les cassis du jardin... toujours la fraîcheur à laquelle tient Stéphanie. Ce n'est d'ailleurs pas le seul dessert différent qu'elle propose au fil du temps, comme son tiramisu dont elle m'a dit ne pas donner la recette même sous la torture... et d'autres petits plaisirs toujours aussi frais et parfumés !
Et quand au moment de partir, avec regrets, je lui ai demandé s'il elle ne me confierai pas une de ces recettes, elle a souri en me redisant pas le tiramisu en tout cas ! Mais elle m'a confié celle de sa sauce pollo e funghi avec ce grand sourire qui lui va si bien !
La sauce pollo e funghi de Stéphani...
Ingrédients pour 4 bon mangeurs : 2càs d'huile de tournesol - gousses d'ail – 3 gros filets de poulet (fermiers de préférence) - 300g de champignons de Paris – 1 verre de vin blanc - 40cl crème liquide entière (de préférence spéciale cuisson) – 3càs de parmesan râpé – sel et poivre - persil
Commencez en coupant les filets de poulet en petits dés puis émincez assez finement les champignons de paris.
Hachez l'ail et faites-le revenir dans une grande poêle ou une grande sauteuse assez rapidement avec l'huile à feu assez vif, ajoutez le poulet et laisser cuire 2 minutes de plus en remuant régulièrement.
Ajoutez les champignons et faites revenir le tout assez rapidement.
Déglacez avec le vin blanc, baissez un peu le feu et prolongez la cuisson 5 ou 6 minutes, pas trop pour que le poulet ne soit pas trop sec.
Ajoutez la crème liquide et portez à ébullition de nouveau à feu vif et retirez tout de suite du feu.
Ajoutez le parmesan, salez (si nécessaire... le parmesan est déjà très salé ) et poivrez. Ajoutez le persil haché. Et voilà !
Et comme malheureusement je n'avais pas les délicieuses pâtes de Stéphanie j'ai fait quelques tagliatelles maison dont vous pourrez retrouver la recette en cliquant sur un des visuels ci-dessous... et voilà comme dit Stéphanie !
https://doriannn.blogspot.fr/2017/02/feu-vif-et-mes-pates-la-carbonara-parce.html
Vous pouvez retrouver Stéphanie et sa Fabrik à pâtes du côté du Vexin et de la Picardie, et vous l'avez compris, même si c'est un peu loin de chez moi, ce n'est sans doute pas la dernière fois que je passerai prendre des pâtes et d'autres petites choses à Stéphanie ! Vous trouverez tous les renseignements sur les lieux et les horaires, les plats et comment la contacter sur sa page Facebook, là : La Fabrik à pâtes !
Les deux autres photos celles des pâtes à l'arriabbiata et au pesto sont les plats de Stéphanie avec lesquels je suis rentré à la maison.

Mais pourquoi, bon maintenant il faut que j'essaie d'avoir sa recette de... pâtes ! est-ce que je vous raconte ça...

mardi 28 février 2017

20h01 mon salon de l'agriculture... deuxième jour !

Les pieds sont de bien drôles de choses, je croyais qu'il pourraient m'emmener sans mal au bout du monde et je découvre qu'après à peine un petit jour au salon de l'agriculture ils sont déjà bouillus foutus racornis gonflés et fumants... bons à changer quoi ! Du coup, c'est soirée bassine parce que n'empêche que demain ça recommence et il va bien falloir qu'ils avancent de nouveau !
Mais voilà mes rencontres du jour en quelques clins d'oeil... Un boulanger heureux, des okonomiyakis heureux à 1euro, des machines à glaces à perte de vue et d'envie, Stéphanie qui va se rendre compte trois secondes plus tard qu'elle est au bout de mon appareil pendant qu'elle dévore un pauvre petit coquelet... un bassin à cuire les nouilles et une drôle de petite brique pour les tout petits... et... à chaque jour suffit sa peine... alors à d'main !


Mais pourquoi, je vais peut-être commencer par tâter du cochon, c'est plus petit un cochon... est-ce que je vous raconte ça...

P.S. : Si vous voulez croiser Stéphanie et ses garçons, Stéphane et Pascal, derrière ses gamelles et l'Actifry c'est demain ou jamais, enfin les garçons eux restent toute la semaine... Vous la retrouverez là : Salon de l'agriculture Porte de Versailles Hall 7-1 - Allée G37 - à l'angle du stand de la Bourgogne

mercredi 26 décembre 2012

Mon p'tit cadeau de noël à moi, Stéphanie prend le pouvoir de mon Open Bar !!!

Il y a quelques temps j'ai ouvert sur mon blog l'Open Bar une rubrique consacrée au vin où chacun peut venir écrire et à l'époque j'avais demandé à Stéphanie de prendre le bar en main. Stéphanie écrit sur le vin avec sensibilité et talent et elle a bien voulu jouer le jeu... Et c'est pour moi un vrai cadeau qu'elle me fait là ! Alors je lui laisse la place...
Voilà quelques temps déjà – bien trop longtemps en fait, comme j’ai honte ! -, Dorian m’a proposé de parler de mon vin coup de cœur sur son blog. Après une année de découvertes viniques en tous genres, un vin m’a fait une impression très forte. Goûté le soir de mon anniversaire, un peu par hasard d’ailleurs, puis re-goûté à chaque fois avec des gens que j’aime, c’est un vin qui me colle un frisson d’émotion dès que j’approche mon nez du verre. Allez savoir pourquoi…
Ce Chablis 1er cru, Vaucoupin 2010, est l’œuvre d’Athénaïs de Béru. Une vigneronne à la crinière blonde comme les blés, avec un tempérament de feu comme j’aime, du moins de ce que j’ai pu en deviner la fois où je l’ai croisée, au Spring Wine, rue de l’Arbre-Sec. C’était une de ces journées grises de février, froides et humides comme Paris sait si bien les faire, et là, bien au chaud dans la boutique, mon cœur a fait un bond et mes yeux se sont arrondis de surprise.
Je n’ai pourtant pas beaucoup de références en Chablis, une caviste avec qui j’ai échangé récemment m’a d’ailleurs dit que son Chablis était différent des autres. Certes, on retrouve cette minéralité propre au terroir, ces notes d’agrumes qui mettent en appétit, mais il y a aussi une rondeur qui vient enrober le tout – me risquerais-je à parler d’une pointe beurrée ? - un joli gras en tout cas, doux, enveloppant, qui caresse le palais et les papilles, et puis wahou ! cette finale vive et saline à la fin, qui laisse la bouche fraiche, et qui fait qu’on a irrésistiblement envie d’y revenir. Un vin en tout cas d’une grande élégance, délicat et gracieux. Un peu comme ce petit pull fin en cachemire que vous enfileriez pour vous protéger des frimas lors d’une balade en bord de mer, l’hiver.
Ce premier soir où nous l’avons dégusté, nous avons tous eu des soupirs de ravissement. Et puis, dans la foulée, on a aussi ouvert son Monopole, aux arômes déjà marqués par l’évolution, champignonnés voire légèrement truffés. Qu’ils étaient divins ces Chablis-là !
Cette semaine, je viens de débusquer le petit Chablis d’Athénaïs chez une jeune caviste de Paris : une nouvelle facette du château de Béru à explorer ! Un rêve maintenant : découvrir son domaine, dormir une nuit dans ses sublimes chambres d’hôtes, et repartir avec un coffre plein de jolies choses à conserver dans ma cave… pour ressortir plus tard ces belles bouteilles et ce Vaucoupin qui n’en finit plus de m’émouvoir…
Et si vous aussi vous avez des choses à dire sur le vin, sur un lieu, sur un vin, que vous voulez raconter une soirée autour d'une bouteille ou donner votre avis sur un accord... L'Open Bar vous est complètement ouvert !
« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération. »

Mais pourquoi, comment a-t-elle su que le Chablis était un de mes préférés d'abord ! est-ce que je vous raconte ça...

mercredi 25 août 2010

Save the date ! Ma cuisine indienne au Cookcoon de Stéphanie les 4 et 5 Septembre ! Qu’on se le dise ! Et thé aux épices pour fêter ça…

Quand Stéphanie m’a proposé d’animer des ateliers de cuisine, le thème de la cuisine indienne est apparu comme une évidence.
La cuisine indienne m’est tombée dessus un soir, il y a bien bien longtemps, dans un restaurant du côté d’une lointaine banlieue londonienne. Depuis, de rencontres en rencontres, cette cuisine parfumée et inventive n’a pas arrêté de croiser la mienne à tel point que nous sommes maintenant presque un vieux couple… presque parce que, entre nous, c’est encore l’amour fou comme au début !
Aujourd’hui j’ai sorti les épices, la cuisine indienne commence souvent comme ça en sortant la boîte à épices, pour réviser mon thé aux épices. Ce thé que j’aime boire aux terrasses des cafés du coté de la gare du nord pendant que je remplis ma liste de courses de bien curieux ingrédients… tamarin, feuilles d’argent ou de curry , lentilles multicolores et autre sucre jaggery… tous ces ingrédients dont je vais remplir mes cabas dans les boutiques du quartier indien.
J’aime particulièrement ce thé parce qu’il ne fait pas que parfumer les verres, il parfume aussi la maison et il montre ainsi à ceux qui rentrent qu’on les attend avec cette petite attention.
Après il n’y a plus qu’à le faire mousser, à le servir brûlant dans de petits verres et à regarder les visages réjouis des buveurs soudain porteurs de petites moustaches de mousse et de larges sourires… j’aime le thé aux épices pour tout ça…
Et si vous voulez participer à mes ateliers et sentir cette odeur en rentrant chez Stéphanie, tous les renseignements sont juste là après la recette !
Thé indien aux épices
Ingrédients : 1càs de thé noir - 4capsules de cardamome – 2 clous de girofle – 2 graines de poivre – 1petit morceau de cannelle d’environ 2cm – 1tranche de gingembre frais - 1litre d’eau – 25cl de lait entier – 3 ou 4 càs de sucre brun
Ouvrez les capsules de cardamome et versez les petites graines dans un mortier, jetez les enveloppes. Ajoutez toutes les autres épices et écrasez-les grossièrement.
Mettez l’eau à bouillir dans une casserole et dès qu’elle commence à bouillir ajoutez les épices et laissez frémir pendant 5minutes.
Retirez du feu et ajoutez le thé, remuez et redonnez un bouillon rapide. Laissez éventuellement infuser une petite minute si vous voulez un thé fort, sinon filtrez sans attendre.
Faites bouillir le lait, puis quand il est monté ajoutez-le tout de suite au thé.
Avec deux casseroles versez alors le thé, de l'une à l'autre, jusqu’à le faire bien mousser, attention le thé est bouillant.
Servez de suite dans des petits verres ou des tasses et buvez sans attendre.

Au programme de mes ateliers il y aura donc Ma cuisine indienne, l’Inde à ma manière !
Epices, lassi, riz parfumé, curry, petits beignets, thé parfumé et chutney gourmand … et… bien d’autres choses au programme !
Si ça vous tente, ça se passera le samedi 4 septembre et le dimanche 5 de 10h à 13h ou de 15h à 18h les deux jours et il vous en coûtera 65euros pour participer à un cours.
Cours 1 samedi de 10 à 13h Cours 2 samedi de 15 à 18h Cours 3 dimanche de 10 à 13h Cours 4 dimanche de 15 à 18h
Attention chaque horaire est un cours différent !
Si vous voulez tout savoir et vous inscrire n’hésitez pas c’est là : La fiche d’inscription. Ou écrivez moi : doriancuisine@free.fr

Alors à très vite… j’espère !

Mais pourquoi, bon je me demande si je ne vais pas devoir me mettre à la danse du ventre moi... est-ce que je vous raconte ça...

mardi 27 juillet 2010

Save the date ! Je m’installe avec ma cuisine indienne au Cookcoon de Stéphanie les 4 et 5 Septembre ! Qu’on se le dise !

Quand on me demande les raisons de mon parcours et des quelques opportunités qui se sont présentées à moi, ces petites choses qui font que la cuisine est en train de devenir ma principale activité, ma première réponse c’est toujours la chance ! La chance m’sieur c’est d’abord de sa faute… et je vais justement vous raconter une de ces histoires de chance.
C’est l’histoire d’une drôle de rencontre avec une drôle de fille…
Tout n’a pas commencé par une nuit sombre, le long d'une route solitaire de campagne, tout n’a pas commencé comme ça, je ne suis pas David Vincent mais quand je l’ai rencontrée, je me suis quand même demandé si je n’étais pas tombé sur une extra-terrestre.
Tout a commencé parce que j’ai eu la chance d’écrire quelques articles dans Cuisine passion et qu’elle a eu la bonne idée de le prendre en main, de l’ouvrir, de le lire… et quelques temps plus tard d'en parler !
Après tout s’est enchainé très vite avec Stéphanie et en me retournant sur tout ce que j’ai eu la chance de faire avec elle, je me rends compte que la liste est déjà longue… De démonstrations en arrivée surprise de cuisiniers dans ma petite cuisine à moi, de plats préparés pour une tripotée de blogueuses à une ouverture inoubliable, de dégustation d’absinthe à une grande aventure entre elle, moi et deux homards… tout s’est enchainé… et plein de petits moments tout simples autour d’une tasse de café et de son sourire… La chance m’sieur, c’est d’abord de sa faute !
Et maintenant qu’elle m’a proposé de me prêter sa cuisine pour que j’y fasse mes petits ateliers de cuisine indienne, maintenant je sais que c’est une extra-terrestre, sinon pourquoi elle ferait ça ! Il faut dire que je suis à peu près aussi sûr de moi qu’une moule tombant dans un presse-purée... et je me suis attrapé une telle danse de castagnettes des genoux que j’ai cru que j’allais y laisser deux rotules et faire une attaque quand elle m’a invité dans sa cuisine, son Cookcoon ! N’empêche qu’elle a dit, je ne suis pas inquiète… et que du coup moi aussi, je le suis un peu moins…
Et quand il s’est agit de décrire ce que j’allais faire pendant mes ateliers voilà ce que j’ai répondu à Stéphanie.
La cuisine indienne m’est tombée dessus un soir, il y a bien bien longtemps, dans un restaurant du côté d’une lointaine banlieue londonienne. Depuis, de rencontres en rencontres, cette cuisine parfumée et inventive n’a pas arrêté de croiser la mienne à tel point que nous sommes maintenant presque un vieux couple… presque parce que, entre nous, c’est encore l’amour fou comme au
début !
Au programme de mes ateliers il y aura donc Ma cuisine indienne, l’Inde à ma manière !
Epices, lassi, riz parfumé, curry, petits beignets, thé parfumé et chutney gourmand … et… bien d’autres choses au programme !
Si ça vous tente, ça se passera le samedi 4 septembre et le dimanche 5 de 10h à 13h ou de 15h à 18h les deux jours et il vous en coutera 65euros pour participer à un cours.
Attention chaque horaire est un cours différent !
Ce n'était pas très claire...
Cours 1 samedi de 10 à 13h
Cours 2 samedi de 15 à 18h
Cours 3 dimanche de 10 à 13h
Cours 4 dimanche de 15 à 18h
Si vous voulez tout savoir et vous inscrire n’hésitez pas c’est là : La fiche d’inscription. Ou écrivez moi : doriancuisine@free.fr

Alors à très vite… j’espère !

Mais pourquoi, bon c’est pas tout ça j’ai mes chorégraphies de danse du ventre à réviser moi… est-ce que je vous raconte ça…

P.S.: Si vous aimez l'Inde qui cuisine allez donc jeter un oeil à mes adresses à moi du côté d'Irresistable ! c'est là : Mon voyage en Inde... à Paris

lundi 15 février 2010

Le cupcake peut-il rendre télépathe ? Drôle de question et cupcakes à la confiture de lait pour y répondre...

La veille de cette drôle d’aventure, après avoir perdu quelques neurones à rechercher le parfum que je pourrais bien donner à ma nouvelle fournée de cupcakes, je m’étais souvenu que j’ai toujours rêvé de traverser la pampa à cheval et sombrero ! C’est pas de ma faute si j’ai toujours eu des rêves d’aventurier moi qui pourtant m’attrape une forêt d’ampoules si je dois aller chercher le pain à pied et qui suis au bord d’ameuter police secours à la moindre attaque d’une écharde rétive…
Mais ce n’est pas grave, les rêves sont les rêves et quand je regarde l’horizon depuis ma fenêtre, un chapeau digne d’Indi vissé sur la tête, ce sont bien les plaines Argentines que je vois au loin derrière le pavillon de la voisine... Et puis après tout tant qu’on a le chapeau et l’ivresse…
Et ça tombait bien, puisqu’il y a peu j’avais fait le plein en produit pour gaucho et que du coup j’avais un joli pot de confiture de lait qui n’attendait plus que mes envies… et oui le gaucho il aime la confiture de lait parce que c’est avant tout un grand doux qui s’ignore… Confiture de lait et viva la pampa !!! Il n’en fallait pas plus pour que je me lance dans le plus Evita des cupcakes !
Evita’s cupcake’s confiture de lait et noix de pécan
Ingrédients :
Pour les cupcakes : 120g de beurre – 80g de sucre roux en poudre – 2 œufs – 70g de farine à poudre levante incorporée (ce qu'on appelle aussi farine à gâteau) - 50g de farine –2càs de confiture de lait - 40g de noix de pécan – 2càc de sucre en poudre
Pour la crème : 20cl de crème fraîche – 4belles càs de mascarpone – 20g de noix de pécan –1càc de sucre en poudre
Commencez en concassant grossièrement toutes les noix de pécan. Mettez ensuite tout le sucre en poudre dans une poêle et faites-le fondre à feu assez vif. Une fois qu’il a caramélisé, ajoutez les noix de pécan concassées et mélangez rapidement, retirez du feu. Laissez tiédir puis hachez finement le tout. Séparez ensuite en 2/3 pour les cupcakes et 1/3 pour le nappage.
Mettez ensuite dans la cuve d’un batteur (vous pouvez aussi utiliser un batteur à main) le sucre et le beurre et laissez tourner jusqu’à obtenir un mélange bien homogène. Ajoutez alors les œufs, un par un et incorporez-les bien à chaque fois.
Ajoutez les farines (vous pouvez aussi utiliser de la farine classique mélangée à ½ càc de levure chimique) petit à petit, finissez en ajoutant les noix de pécan et la confiture de lait, mélangez encore.
Remplissez les caissettes à cupcake’s, pas trop, et enfournez dans un four préchauffé à 180° pendant 15 à 20minutes selon la taille des caissettes.
Pendant que les cupcakes refroidissent, préparez la crème.
Montez en chantilly la crème liquide, puis ajoutez le mascarpone et mélangez rapidement à la cuillère, le mélange va se serrer de plus en plus, n’insistez pas trop. Mettez au frais.
Quand les cupcakes sont prêts, laissez-les refroidir.
Mélangez alors la crème et la confiture de lait. Déposez ensuite une quantité de crème à votre goût et donnez-lui la forme que vous souhaitez. Finissez en répartissant dessus le 1/3 de noix caramélisées restantes. Mangez sans attendre !
Et alors que j’étais prêt à passer au cupcake suivant, le lendemain en ouvrant un mail de Stéphanie, je me suis retrouvé nez à nez avec cette redoutable gourmandise (cliquez sur la photo pour la recette)…
Là, je me suis tout de suite touché le front, me demandant si un troisième œil n’était pas en train de s’ouvrir là ou un truc du même genre et depuis je ne prends plus aucun risque j’ai décidé d’éviter de penser, j’évite… en espérant que ce n’était que le hasard et pas que je m’étais attrapé la télépathie ! Moi qui suis à la limite de la méningite rien qu’à me demander où j’ai mis ma carte bleue… manquerait plus que ça…
Et puis toujours à mes questions métapathique je suis passé chez Stéphanie pour avoir la recette de sa gourmandise et je suis tombé nez à nez avec son étonnant mode d’emploi et il n’y pas de doute Stéphanie a trouvé la meilleure manière de déguster les cupcakes…
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez me convoiter, me désirer, me captiver
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Mais ne soyez pas comme, tous les hommes, trop pressés.
Et d'abord, le regard
Tout le temps de prélude
Ne doit pas être rude, ni hagard
Dévorez-moi des yeux
Mais avec retenue
Pour que je m'habitue, peu à peu...
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Avec délicatesse, en souplesse, et doigté
Choisissez bien les mots
Dirigez bien vos gestes
Ni trop lents, ni trop lestes, sur ma peau
Voilà ça y'est, je suis
Frémissante et offerte
De votre main experte, allez-y...
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Maintenant tout de suite, allez vite
Sachez me posséder, me consommer, me consumer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Conduisez-vous en homme
Soyez l'homme... Agissez !
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Et vous... déshabillez-vous !

Merci Stéphanie pour tout ça et tout le reste… et à très vite pour de nouvelles aventures culinaires… très très vite !

Mais pourquoi, j’adore le suspens… mon côté aventurier encore, enfin tant que je n’ai pas mes palpitations qui me prennent… est-ce que je vous raconte ça…

samedi 9 mai 2009

Petites recettes sans conséquences… Soissons, Stéphanie et le plus classique des marbrés qui deviendra…

L’année dernière à Soissons pour moi ça a été un peu comme l’île aux enfants mais en mieux, forcément cuisiner au milieu de plein de blogueuses et de blogueurs, de plein de gens venus gentiment nous voir, et de Damien et Benoît Molin et de… En plus j’ai eu la chance de passer ma journée à cuisiner avec Stéphanie pratiquement toute une journée et presque toute une soirée aussi… et forcément quand Soissons a repointé son museau et que Damien à commencé à demander qui revient les 21 et 22 novembre prochain pour le deuxième salon des blogs culinaires et qui cuisine à quatre mains nous avons répondu tous les deux spontanément… Nous m’sieur ! Nous !!!
Ça c’était facile, restait à savoir ce que nous allions faire à 4 mains… et la Stéphanie a eu l’idée de nous transformer en Docteur Jekill et Mister Hyde des fourneaux. Notre défi devenait dès lors de réaliser deux versions de la même recette l’une, le plus classique possible et l’autre… la plus folle !
Il ne restait plus qu’à choisir sur quoi nous faire les dents, les griffes et surtout l’imagination… et la semaine dernière Stéphanie m’a déposé ma lettre de mission, Gâteau au yaourt !
Et cette semaine je lui rend la pareil, c’est un marbré, un marbré dont Stéphanie fera… si seulement je le savais… Mais ce que je sais c’est qu’il y aura du Hyde en lui ! Rendez-vous à Soissons !
Mais je parle, je parle alors que c'est une petite recette sans conséquences, et comme toujours dans cette série pas d'histoire... ou presque, juste une recette puisque c'est le principe des petites recettes sans conséquences et en plus j’ai rendez-vous avec un gâteau au yaourt avec lequel je n'ai pas fini de discuter...
Marbré choco-vanille qui deviendra…
Ingrédients :
Pour la pâte à la vanille : 60g de beurre – 70g de sucre – 1oeuf – 70g de farine à gâteaux (avec poudre levante) –1 càc d’arôme de vanille
Pour la pâte au chococat : 60g de beurre – 70g de sucre – 1oeuf – 70g de farine à gâteaux (avec poudre levante) – 2càs de cacao en poudre
Commencez par la pâte à la vanille. Mettez dans un bol le sucre et le beurre, et battez jusqu’à obtenir un mélange bien homogène. Ajoutez alors l’œuf et incorporez-le bien. Ajoutez la farine et l’arôme de vanille, mélangez bien une dernière fois.
Faites ensuite la pâte au chocolat. Mettez dans un autre bol le sucre et le beurre et battez le jusqu’à obtenir un mélange bien homogène. Ajoutez l’œuf et incorporez-le bien en battant. Ajoutez la farine et le cacao en poudre mélangez une dernière fois.
Tapissez un moule à cake d’environ 10x24cm de papier sulfurisé puis versez les deux pâtes en alternance, une couche assez fine de l’une puis une couche assez fine de l’autre. Réalisez cette opération autant de fois que nécessaire.
Enfournez dans un four préchauffé à 180° entre 35 et 40 minutes. Laissez juste refroidir avant de le déguster en jolies tranches.
Et si vous voulez une version coco-chocolat cliquez là : Cake marbré coco et chocolat
A toi de jouer Stéphanie, montre-nous le Hyde qu’il a en lui !
image hébergée par photomaniak.com
Mais pourquoi, j’ai pas déjà fait le coup du vase l’année dernière moi… est-ce que je vous raconte ça…