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lundi 22 février 2021

Mes pâtes aux rougets à l'italienne... parce que le poisson peut être simple à cuisiner...

Longtemps j'ai regardé le poisson sur les étals un peu comme un pingouin à qui on offrirait un séjour dans un hammam, avec l’œil plus qu'intrigué et interrogateur... parce que finalement quand tu ne sais pas quoi en faire... eh bien tu ne sais pas. 

Dès lors je me contentais de regarder tous ces jolis poissons à l’œil aimable et aux écailles brillantes qui semblaient me demander de les entraîner vers mes gamelles, je les regardais en papillonnant du sourcil d'envie et ça s'arrêtait là.

Et puis petit à petit je me suis dit qu'ils avaient tous l'air bien bons, que c'était tellement dommage de se priver et aussi qu'il y avait peut-être des recettes aussi simples que savoureuses. Je suis donc parti à la chasse de ces recettes qui me permettraient de me jeter dans le grand bain en compagnie de quelques poissons.

Alors j'ai commencé à collectionner ces recettes, de par ici ou de plus loin, parce que l'on cuisine le poisson dans bien des endroits du monde, dans presque tous les pays même. Et aujourd'hui grâce aux pêcheurs de la Godaille, et à leur mode de livraison qui permet de recevoir du poisson qui semble à peine sortir de l'océan où que vous soyez de par chez nous, grâce à eux donc, je vous propose une recette italienne avec quatre de leurs jolis rougets. Une recette que tout le monde peut mettre en œuvre sans trop de difficultés.

Mais avant de passez en cuisine je vous propose un petit tour par le congélateur pour vous dire comment mes petits poissons y restent frais en attendant de passer à la casserole.

Comme tous les aliments, plus on congèle tôt, mieux ils se portent ! Et donc aussi vite arrivé et sans hésitation, je congèle sans autre forme de procès. Je vide, je découpe tout ce qui dépasse, je n'écaille pas par contre parce que je ne sais pas encore comment je vais le préparer et hop sous vide ! Parce que comme ça quand je le sortirai, dans pas trop longtemps, la congélation n'est pas éternelle, je le retrouverai au mieux. Voilà tout simple ça aussi !

On peut passer en cuisine !

Mes pâtes aux rougets à l'italienne...

Les courses : 4 rougets barbet (vidés, écaillés et toutes les nageoires coupées) - 350g de penne - 400g de tomates en boîte (j'ai utilisé des pomodorini au naturel, ces tomates cerises tout à fait savoureuses) - 1 bel oignon - 1 belle gousse d'ail - 2 càs d'huile d'olive - 3cl de vin blanc - 1/2 càc de sarriette séchée - 4 belles tiges de persil - 2 tiges de basilic effeuillées - sel et poivre

La cuisine :

Émincez finement l'oignon et l'ail. Faites chauffer 1càs d'huile dans une sauteuse et faites-les revenir à feu assez doux jusqu'à ce que l'oignon devienne translucide. Ajoutez alors la tomate et 20cl d'eau, ajoutez aussi la sarriette, salez et poivrez. Laissez à feu assez doux jusqu'à ce que la sauce épaississe de nouveau. Réservez-la.

Pendant ce temps préparez les pennes selon les indications portées sur l'emballage. Égouttez-les en réservant une louche de l'eau de cuisson.

Versez la càs d'huile restante dans une grande sauteuse à feu assez vif et dès qu'elle est bien chaude déposez-y les rougets. Faites-les colorer des deux côtés. Ajoutez le vin blanc, donnez un petit tour aux rougets. Mettez la sauce tomate et faites-y cuire les rougets à couvert en les tournant de temps en temps. Quand les rougets sont cuits retirez-les de la sauteuse.

Posez-les sur une planche et prélevez la chair des rougets, ne vous inquiétez pas ça vient tout seul, faites juste attention à bien enlever toutes les arêtes.

Mettez les pennes dans la sauteuse avec la sauce et l'eau de cuisson réservée et redonnez un coup rapide de bouillon. Ajoutez le rouget coupé en morceaux et mélangez rapidement sans trop casser les morceaux de poisson.

Servez et terminez en parsemant le persil haché et les feuilles de basilic.

Vous pouvez retrouver La Godaille sur le site, sur leur page Facebook et sur leur page Instagram.

Mais pourquoi, bon et maintenant que va nous remonter la pêche ? est-ce que je vous raconte ça...


samedi 20 juillet 2019

Mon turbot à l'asiatique... parce que le poisson est enfin de retour dans ma cuisine !

Dans le domaine de la cuisine je suis un envieux pathologique, ce qui veut dire que j'ai des envies tout l'temps, partout, de nouvelles recettes pour peu qu'elles me fassent de l'œil quand elles me passent sous le nez. Je suis un peu comme un pingouin qui s'alignerait un rang de sardines d'un pôle à l'autre et qui se dirait en arrivant... et si on se faisait le retour...
Du coup la jolie recette pour laquelle j'ai eu les yeux de Chimène pendant... jusqu'à la suivante donc, se retrouve facilement au 127e rang le temps que je feuillette trois revues, un livre et une paire de blogs. Et forcément quand je prends une bonne résolution comme celle de faire un joli poisson plus souvent par ici, le temps que je ramasse la prochaine recette... Mais bon comme je suis têtu comme une huître à marée basse embrassant son rocher je ne lâche pas l'affaire jusqu'à ce qu'une nouvelle boucle me fasse retomber sur mes envies !
Et c'est comme ça qu'aujourd'hui je me suis dit qu'un joli turbot à l'asiatique, ça serait une bien bonne idée, surtout que j'avais au congélateur de très beaux filets que j'avais levé sur la bête il y a quelques temps. Ce turbot-là, encore une fois quand il s'agit de poisson, je le dois à La Godaille, ces pêcheurs logés du côté de Cherbourg et qui proposent de livrer à votre porte des poissons d'une fraîcheur irréprochable.
Mon turbot à l'asiatique...
Ingrédients : 2 beaux filets de turbot - 4càs d'eau - 4càs de sauce soja - 1càc de sucre en poudre -
1 échalote coupée en julienne - 2càs de gingembre coupé en julienne - 2càs de carottes en julienne -
½ gousse d'ail en julienne - 2 càs d'huile de tournesol - 1 bouquet de coriandre - 1càs de jus de citron - 1 oignon nouveau émincé finement - 1 bouquet de coriandre effeuillé - sel poivre
Pour le fumet de poisson (si vous êtes pris d'un coup de fainéantise culinaire prenez du fumet tout prêt) : 3 carottes - 2 oignons - 1 poireau - 1 bouquet garni - 1,5 litre d'eau – 1kg de parures de poisson (si comme moi vous avez levé les filets du turbot vous avez de quoi faire!) – 20g de beurre - sel et poivre
Préparez le fumet de poisson. Pelez puis rincez les carottes, les oignons et le poireau. Coupez le tout en morceaux.
Faites revenir les oignons dans une grande casserole pendant 5 minutes. Ajoutez les carottes et le poireau, mélangez et laissez revenir le tout quelques minutes de plus.
Versez l'eau et portez à ébullition. Ajoutez le bouquet garni et les parures de poisson coupées en gros morceaux.
Salez, poivrez et laissez cuire à petits bouillon environ 30 minutes. Passez alors le bouillon au chinois sans presser. Réservez le liquide au chaud.
Mélangez dans un bol l'eau, la sauce soja, le sucre, le jus de citron. Salez et poivrez.
Faites chauffer l'huile dans une petite poêle. Ajoutez le gingembre, les carottes, l'ail, l'échalote et faites-les revenir 1 minute. Ajoutez le contenu du bol, portez à ébullition et retirez du feu. Réservez au chaud .
Versez le fumet dans une grande sauteuse. Faites le chauffez puis déposez-y le turbot et pour le cuire à frémissements 8 à 10 minutes.
Égouttez le turbot et déposez-le dans les assiettes.
Arrosez-le avec la sauce. Terminez en parsemant la coriandre et l'oignon nouveau.
Si vous aussi vous avez des furieuses envies de poissons, n'hésitez pas à jeter un œil sur le site de La Godaille, vous trouverez des poissons « nobles » comme le turbot ou la lotte, mais aussi d'autres à des prix très raisonnables et tout aussi savoureux, comme l'églefin, le merlan ou la limande... chez eux c'est par là : La Godaille
Mais pourquoi, bon et maintenant quel autre poisson va passer à la casserole ? est-ce que je vous raconte ça...

lundi 15 avril 2019

Encornets farcis et risotto... parce que décidément j'ai la marée qui me prend...

Avec le temps il est assez rare que je me retrouve devant quelque chose qui se cuisine en me grattant la plume comme une poule face à un œuf carré à me dire, mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de ça ! Mais ça m'arrive encore, le monde de la cuisine étant infini et la connaissance relative, et quand ça m'arrive je suis souvent devant un poisson !
Et c'est pas que je n'ai pas envie, il y a tellement de plats venant des océans que j'aime dévorer, c'est juste que quand tu sais pas bien, eh ben des fois tu choisis la facilité et tu mets de côté ce que tu ne sais pas faire pour retourner au confort des habitudes...
Pourtant la curiosité est un de mes principaux défauts en cuisine, mais des fois il faut me pousser un peu, quand l'obstacle me semble un peu trop haut, pour que cette curiosité se remette en marche. Et c'est ce qu'a fait Sophie et la Godaille en me proposant de recevoir ses poissons et d'autres produits de ses pêches, des poissons que je connais déjà et que j'ai déjà pratiqué en cuisine et d'autres...
Aujourd'hui ce sont des veilles connaissances issus de ces pêches que j'ai choisi de préparer, des encornets de belle taille que j'ai décidé de me farcir !
Encornets farcis et risotto
Ingrédients : 4 encornets d'environ 20 cm – 300 g de riz à risotto – 2 chorizo à cuire – 10 cl de vin blanc – 90 cl de bouillon de légumes - 400 g de tomates concassées - 1 càs de concentré de tomate - 4 échalotes – 1 pincée de filaments de safran - 1 gousse ail - 4 tiges de basilic effeuillées – 1 càc d’origan séché - 1 càs de pignons de pin hachés grossièrement - 2 càs d’huile d'olive – 20 g de beurre – 30 g de parmesan râpé - sel et poivre
Nettoyez soigneusement les encornets. Détachez les têtes des encornets et coupez les tentacules, lavez-les sous un filet d'eau puis coupez les nageoires et réservez. Videz consciencieusement l'intérieur des encornets.
Hachez les échalotes et l'ail très finement sans les mélanger. Ôtez la peau des chorizos et émiettez-les à l’aide d’une fourchette. Coupez les tentacules et les nageoires en petits morceaux.
Faites chauffer 1càs d'huile dans une casserole et faites-y revenir la moitié des échalotes 3 à 4 minutes en remuant régulièrement sans faire colorer. Ajoutez le chorizo émietté et faites-le colorer rapidement. Ajoutez le riz et mélangez pendant 1 à 2 minutes. Versez le vin blanc, ajoutez le safran et l’origan, et faites cuire jusqu’à évaporation du vin.
Ajoutez les tentacules et les nageoires, et versez le bouillon louche par louche en remuant régulièrement jusqu’à obtenir un riz « al dente » (une quinzaine de minutes environ).
Farcissez les encornets avec une partie du risotto et refermez-les à l’aide de cure-dents.
Faites chauffer l'huile restante dans une grande poêle, ajoutez les échalotes restantes et l'ail ciselé puis ajoutez les tomates concassées et le concentré de tomate, portez à frémissement, salez, poivrez et laissez revenir 5 minutes en remuant de temps en temps.
Déposez les encornets farcis dans la sauce, couvrez et laissez cuire pendant 20 à 25 minutes en les retournant de temps en temps.
Une fois les encornets cuits, réchauffez le risotto en ajoutant 1 dernière louche de bouillon dans la casserole, mélangez, puis une fois le liquide absorbé ajoutez le beurre et le parmesan, mélangez à nouveau.
Servez le riz dans les assiettes, ajoutez les encornets, puis finissez en parsemant les feuilles de basilic et les pignons de pin par-dessus.
Vous pouvez retrouver la Godaille sur leur site, où vous pourrez d'ailleurs commander et recevoir les produits de leurs pêches aussi frais que sortis de l'eau, par là : La Godaille, et vous pouvez aussi les retrouver sur leur compte Facebook et sur leur compte Instagram...
Mais pourquoi, je me demande si je n'ai pas un turbot qui m'attend moi... est-ce que je vous raconte ça...

jeudi 21 mars 2019

Parmentier à l'aile de raie... parce que finalement les poissons étaient bien rares dans mes assiettes !

Aujourd'hui c'est poisson, une aile de raie que je vous propose de préparer en parmentier, un poisson que j'ai pu cuisinier une nouvelle fois grâce à la Godaille, qui a eu la bonne idée de m'envoyer une superbe aile... de raie. En cuisinant la bête je me suis dit que j'avais l'impression que ma cuisine était très variée et un tant soit peu équilibrée... sauf qu'en essayant de me souvenir de mes recettes de poisson j'ai réalisé que ce n'était peut-être qu'une impression !
J'ai souvent de bonnes intentions, je ne suis sans doute pas le seul, des intentions simples, avoir donc une cuisine aussi diverse que variée, aussi équilibrée que...équilibrée ! Mais comme de l'intention à la réalité des fois il y a comme un gouffre, j'ai essayé de vérifier ce qu'il en était.
J'ai donc pris un tas de petits post-it et j'ai noté à chaque recette de ma cuisine virtuelle dans quelle case elle se trouvait, dessert ou plat végétarien, viande ou... poisson. Et quand j'ai fini je me suis rendu compte que j'étais bien bien loin de mes intentions ! Et que si par exemple j'avais bien bien des desserts côté poisson j'étais plutôt à marée basse et qu'en creusant même un peu plus, j'avais noté sur mes p'tits bouts de papiers, saumon, cabillaud, saumon, cabillaud, saumon... cabillaud !
Sans doute parce que comme d'autres au moment de faire mes courses, une certaine facilité, les habitudes, l'emporte souvent sur les intentions si bonnes soient-elles ! Mais comme rien n'est jamais définitif en cuisine, aujourd'hui donc, direction l'aile de raie !
Parmentier à l'aile de raie
Ingrédients :
Pour la purée :1kg de pommes de terre à purée - 60g de beurre - 20cl de lait – sel et poivre
Pour la raie : 1,5 kg de raie coupée en morceaux - 3 carottes - 2 oignons - 1 poireau - 1 bouquet garni - 1,5 litre d'eau - 1 kg de parures de poissons (à demander à votre poissonnier) - 20 g de beurre – 8 tiges de persil – 2 oignons nouveaux – 2 càs de câpres - sel et poivre 
Épluchez les pommes de terre et coupez-les en morceaux, essayez de couper des morceaux de la même taille, en 2 ou en 4 selon leur taille.
Déposez-les dans une casserole d'eau froide salée et faites-les cuire 15 à 20 minutes après ébullition. Égouttez-les, puis écrasez-les à l'aide d'un presse-purée avec le beurre coupé en morceaux, salez, poivrez, puis ajoutez le lait chaud petit à petit jusqu'à obtenir une purée bien lisse et homogène.N'hésitez pas à ajoutez un peu de lait si nécessaire.
Pelez les carottes, les oignons et le poireau puis coupez le tout en morceaux.
Faites revenir les oignons avec le beurre dans une grande casserole à feu moyen pendant 5 minutes en remuant régulièrement.
Ajoutez les carottes et le poireau, mélangez et laissez revenir le tout 2 à 3 minutes en remuant de temps en temps.
Versez l'eau. Portez à ébullition. Ajoutez le bouquet garni et les parures de poisson. Salez, poivrez. Laissez cuire à petits bouillon pendant 30 minutes environ.
Passez au chinois sans presser au dessus d'une casserole, ajoutez les morceaux de raie, portez à ébullition et laissez cuire 15 minutes.
Hachez le persil et l'oignon assez finement et les câpres grossièrement. Mélangez le tout puis ajoutez les ¾ de ce mélange dans la purée.
Laissez tiédir un peu la raie pour ne pas vous brûler puis enlevez la peau, ça part assez facilement en s'aidant du plat d'un couteau. Enlevez ensuite toute la chair, il n'y a pas d'arêtes ce qui est quand bien agréable. Une fois que vous avez toute la chair, effilochez-la.
Montez alors le parmentier, une couche de purée, une couche de raie, arrosez la raie avec 2 ou 3 càs du bouillon de cuisson et recommencez, finissez par une couche de purée.
Enfournez votre plat dans un four préchauffé à 210° pendant une quinzaine de minutes en surveillant la cuisson, il faut que le dessus commence à joliment dorer et que le tout soit bien chaud dedans.
Au moment de servir terminez en parsemant par dessus le reste de mélange persil/oignon/câpre.
Et si vous aussi vous voulez redécouvrir d'autres poissons, n'hésitez pas à allez y voir du côté du site de la Godaille, vous verrez que leur offre est aussi Normande que responsable, aussi diverse que variée et de saison parce que le poisson c'est comme les pommes sur les arbres, il y a une saison... Et puis l'avantage c'est que la marée arrive toute fraîche et très vite chez vous !

Mais pourquoi, je me demande si je saurais me cuisiner le turbot... est-ce que je vous raconte ça...

mercredi 6 mars 2019

Le fumet de Nicolas et ma chaudrée fourasine... Parce que le poisson se faisait rare par ici !

Je dois avouer que j'aime beaucoup le poisson, je devrais même dire les poissons, mais que devant l'étal de mon poissonnier je regarde les bestioles en me disant mais comment je vais bien pouvoir te passer ça à la casserole ! Bon j'ai quelques « classiques » maison mais ça se résume souvent à l'utilisation de beaucoup de filets de poisson et pas grand chose d'autre... j'voudrais bien mais j'peux point comme disait l'autre...
La Godaille est ce mot provenant de l’argot qui désigne la partie de la pêche en nature donnée à l’équipage pour sa propre consommation. Et c'est aussi ce nom qu'ont choisi Sophie & David Leroy, qui sont à la tête de trois bateaux de pêche du côté de Cherbourg, pour se lancer dans une nouvelle aventure, livrer leur pêche en 24h chez vous ! Inutile de vous dire que le poisson qui vous arrive est ultra-frais et que cette pêche est aussi locale que responsable.
Sophie m'a proposé il y a quelques temps de recevoir quelques poissons, et comme j'avais mon complice Nicolas sous la main je me suis dit que c'était l'occasion de se lancer dans des recettes qui sortent de mon ordinaire... et voilà donc ses nouvelles idées, ses nouvelles recettes où le poisson trouve toute ça place dans toute sa diversité.
Le fumet de Nicolas
Ingrédients : 3 carottes - 2 oignons - 1 poireau - 1 bouquet garni - 1,5 litre d'eau - les têtes des poissons de la recette de la chaudrée – 20g de beurre - sel et poivre 
Pelez les carottes, les oignons et le poireau puis coupez le tout en morceaux.
Faites suer les oignons avec le beurre dans une grande casserole à feu moyen pendant 5 minutes.
Ajoutez les carottes et le poireau, mélangez et laissez suer le tout quelques minutes supplémentaires en remuant de temps en temps.
Versez l'eau. Portez à ébullition. Ajoutez le bouquet garni et les têtes de poisson. Salez, poivrez. Laissez cuire à petits bouillon pendant 30 minutes environ.
Passez alors le bouillon au chinois sans presser. Réservez le liquide pour la chaudrée.
Ma chaudrée fourasine
Ingrédients : 1,2kg de petits poissons mélangés sans les têtes (rouget, rouget grondin, tacaud, petits merlans... ) - 2 calamars – 800g de pommes de terre à chair ferme - 20g de beurre – 1 bel oignon jaune – 4 gousses d'ail non épluchés - 1 bouquet garni - 50 cl de vin blanc sec – 75cl de fumet de poisson – ¼ de càc de curry en poudre – 2 tiges de persil - sel et poivre
Préparez les poissons, selon leur état vous devrez les écaillez, les videz puis les couper en tronçons
Pelez l'oignon et coupez-le en deux puis en fines tranches.
Pelez puis coupez les pommes de terre en deux puis en tranches, laissez-les dans un saladier rempli d'eau froide pour qu'elles ne noircissent pas en attendant de les utiliser.
Faites revenir l'oignon dans une grande casserole avec le beurre en remuant régulièrement pendant environ 5 minutes juste le temps ce qu'ils commencent à peine à dorer.
Ajoutez les tronçons de poissons dans la casserole et faites-les colorer rapidement sur les deux faces.
Ajoutez les gousses d'ail, le bouquet garni, le vin blanc, le fumet de poisson et le curry, salez un trop, poivrez. Ajoutez aussi les pommes de terre, portez le tout à ébullition puis baissez le feu et faites cuire 20 à 25 minutes.
Pendant ce temps occupez-vous du calamar, lavez-le et videz-le puis coupez-le en tranches. Ajoutez-le dans la casserole 5 minutes avant la fin de la cuisson de la chaudrée.
Au moment de servir parsemez le persil, effeuillé ou grossièrement haché sur les assiettes.
Vous pouvez retrouver la Godaille sur leur site, où vous pourrez d'ailleurs commander, par là : La Godaille, sur leur compte Facebook et sur leur compte Instagram...

Mais pourquoi, et bientôt une surprenante paella voyageuse... est-ce que je vous raconte ça...