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lundi 29 juin 2020

Nos petites crêpes à l'asiatique au vert... parce que des fois la cuisine est fourbe !

On me demande des fois si la cuisine c'est simple... et en bon normand, un normand du sud du sud, je réponds, des fois oui et des fois... Bon, c'est plus souvent un oui et quand c'est un non je précise que ce n'est pas une raison pour ne pas essayer.
La cuisine c'est simple sauf que certaines fois elle peut être fourbe ! Et ces fois-là il suffit qu'un grain de sel vienne se coller dans le machin pour que tout aille de travers et là rien de rien à faire pour redresser la barre et à l'eau s'en va quelquefois le plat. Et dans le domaine de la fourbitude il y a un ingrédient auquel il vaut mieux ne pas se fier c'est... la farine ! Surtout si tu pars avec l'intention d'en faire du pain ou quelque chose qui y ressemble...
La farine peut être fourbe en vous prenant par surprise à bien des occasions. Subitement elle peut trouver que ce n'est pas le moment de lui tremper les pieds et la dose d'eau que tu lui mélanges et qui fait habituellement un joli pain, d'un coup se transforme en la plus liquide des pâtes au point de te couler encore des doigts... Ou au contraire la voir se transformer en brique alors qu'habituellement tu réalisais une onctueuse pâte à pancake coulant de bonheur ! La farine est fourbe, je vous le dit !
C'est malheureusement ce qui est arrivé à Nicolas, mon complice de cuisine pendant la réalisation de ces jolis flaky scallion pancakes with shallots trouvées sur le blog de Lisa, le très conseillable Healthy Nibbles. Alors que chez moi la farine se montrait fort courtoise et s'étalait avec complaisance, chez lui avec les mêmes quantités, au gramme près... Au bout de la recette j'étais aussi joyeux que Nicolas était triste devant un résultat décevant. Ces choses arrivent en cuisine, surtout donc quand la fourbe farine n'est pas d'humeur !
En tout cas voilà la recette telle que je l'ai réalisée et ensuite dévorée après l'avoir mise au vert ! Je ne saurais que trop vous conseiller de passer voir la vidéo de Lisa si vous avez le moindre doute sur la préparation.
Nos petites crêpes à l'asiatique au vert...
Ingrédients :
Pour les crêpes : 300g de farine (j'ai utilisé de la T55) – 1càc de sel – 18cl d'eau – de l'huile d'arachide ou de colza – 2 échalotes – 4 cives – ¼ de càc de 5 épices
Pour garnir : 200g de petits pois frais – 200g de fèves fraîches – 4 poignées de pousses d'épinards – 4 tiges de coriandre effeuillées (vous pouvez la remplacer par de la menthe) – 4 càs de noix de cajou
Pour la sauce : 4càs de sauce soja – 1càs de sucre en poudre – ½ càc de vinaigre balsamique – ¼ de càc de sriracha
Mettez la farine dans la cuve d'un batteur équipé d'un crochet, ajoutez l'eau et le sel. Battez le tout jusqu'à obtenir une pâte homogène puis continuez pendant 5 minutes. Vous pouvez bien sûr si vous avez la patience le faire à la main.
Faites une jolie boule, si ça colle encore un peu farinez votre table et redonnez quelques tours à la pâte. Mettez en tout cas la boule dans un saladier, couvrez et laissez reposer une heure. Vous pouvez d'ailleurs réaliser la pâte la veille, dans ce cas elle attendra au frais.
Pendant ce temps, pelez les échalotes et les cives et émincez-les le plus finement possible, donc en très très fines tranches. Hachez très grossièrement les noix de cajou.
Mettez tous les ingrédients de la sauce sauf les graines de sésame dans une petite casserole et faites-la réduire à feu doux jusqu'à ce qu'elle devienne sirupeuse. Ajoutez alors les graines de sésame et laissez refroidir.
Faites cuire les petits pois et les fèves dans une casserole d'eau salée bouillante 1 minute ou 2. Égouttez-les puis jetez-les dans une casserole d'eau bien froide. Égouttez-les de nouveau.
Préparez alors les crêpes. Huilez votre plan de travail, un peu généreux mais pas trop.
Séparez votre pâte en 4.
Commencez à aplatir la pâte à la main après l'avoir huilée, ni trop ni trop peu... puis étalez-la au rouleau. Si elle glisse sur le plan de travail c'est trop d'huile, si elle colle au rouleau c'est qu'il n'y en a pas assez ! En tout cas vous devez obtenir un grand rectangle et voir la table par transparence, c'est donc très très fin ! Parsemez dessus ¼ de l'échalote, de le cive et du 5 épices. Repliez les deux plus grands côtés du rectangle en porte-feuille, puis recommencez une fois. Vous devez donc obtenir une longue bande de pâte. Roulez-la en escargot puis aplatissez-la d'abord à la main puis de nouveau au rouleau. Vous devez obtenir une crêpe d'une petite vingtaine de cm.
Faites la alors cuire de suite, dans une poêle avec 1càs d'huile à feu moyen jusqu'à ce qu'elle soit dorée et croustillante des deux côtés. Déposez-la sur une grille puis faites de même avec les trois autres boules de pâte.
Vous pouvez aussi réaliser les 4 crêpes puis les faire cuire mais comme elles vont coller sur votre plan de travail, je déconseille. Faites-les plutôt cuire les unes après les autres et réchauffez-les à la fin avant de les déguster.
Quand toutes les crêpes sont prêtes vous pouvez les garnir avec les pousses d'épinards, les petits pois, les fèves, les noix de cajou et les arroser de sauce.
Mais pourquoi, vous voyez d'autres fourbes de la cuisine vous ? est-ce que je vous raconte ça...

mercredi 10 janvier 2018

Le faux'mage est-il du vrai'mage... ma tartinade végétale aux noix de cajou...

La cuisine qui tire vers le vert et donc vers le végétarien et le vegan n'arrête pas de m'étonner, souvent pour le meilleur et quelques fois pour le... Et cette fois j'ai eu la curiosité piquée par une nouvelle vague qui arrive massivement sur la toile, la vague des faux'mages, des vromages ou plus simplement des tartinades végétales ! Enfin nouvelle vague parce qu'elle commence à déferler un peu partout par chez nous, mais relativement nouvelle puisque je me souviens avoir vu une telle recette il y a fort fort longtemps, il y a déjà une dizaine d'années chez Clotilde... 
En tout cas en voyant cette déferlante je me suis d'abord gratté la barbe en me disant mais pourquoi donc vouloir faire du faux alors que tu as le vrai et que personne au grand jamais n'a été obligé d'en manger. J'ai donc glissé ça sous le tapis en attendant que le menton arrête de me démanger et que je trouve une réponse satisfaisante à mes questions existencieloboufologiques...
Et puis comme souvent j'ai eu l'amusement et la curiosité qui ont fini par avoir raison de mes démangeaisons de la barbe et je me suis rappelé qu'il fallait toujours, toujours s'amuser avec ce qui se mange contrairement à ce que disent certains bien pensants et qu'après tout même si le nom est surtout une vue de l'esprit... si le goût... Il fallait donc que j'essaye pour en avoir le cœur net !
Le problème, c'est que dans ce monde des faux'mages, il y a vraiment de tout et que tout n'est pas vraiment simple, vraiment pas simple dans certains cas ! Du coup je me suis dit que j'allais commencer mon exploration de ce nouvel univers par le plus simple et que si un jour j'arrivais au plus compliqué... on verra bien !
Et voilà donc mon premier pas dans ces préparations végétales, une préparation qui se rapproche un peu dans la forme à de la ricotta fouettée... Mais en tout cas ne vous attendez pas à avoir du fromage, mais juste une bonne tartinade ce qui finalement...
Ma tartinade végétale aux noix de cajou...
Ingrédients : 250g de noix de cajou crues (crues, c'est crues, donc pas torréfiées, pas grillées, crues!) - 8cl d'eau (ou un peu plus si nécessaire) – 1càs de jus de citron – 1càs de graines de sésame – 1 belle gousse d'ail – ¼ càc de fleur de sel
Faites tremper les noix de cajou dans l'eau froide jusqu'au lendemain. Egouttez-les puis rincez-les bien. Mettez les graines de sésame, l'ail et le sel dans un mixer et mixez. Ajoutez les noix de cajou, l'eau et le jus de citron et là mixez, mixez, mixez ! Il faut vraiment insister pour avoir une jolie pâte légère (c'est l'eau qui allège donc s'il en manque...on en rajoute, un peu !) et onctueuse.
Mettez dans un bol, filmez et laissez comme ça dans un endroit frais pendant au moins deux heures et si vous pouvez jusqu'au lendemain.
Après servez comme moi dans la première assiette avec de l'oignon nouveau, des pousses de radis, du persil, du poivre et un trait d'huile d'olive ou dans la deuxième, de la coriandre fraîche et de la menthe, des graines concassées de coriandre, du carvi et un trait d'huile d'olive.
Mais pourquoi, et si j'allais voir du côté du pesto végétal maintenant... est-ce que je vous raconte ça...

mercredi 27 septembre 2017

Parce que des fois j'me lasse et d'autres ça m'reprend... Mes gnocchi craquouillants avec comme un pesto à l'avocat...

Il y a des aliments comme les gnocchi, ce ne sont d'ailleurs pas les seuls, dont à un moment j'me suis un peu lassé, un peu beaucoup même. Peut-être à force de les préparer toujours de la même manière, peut-être parce que je ne retrouve plus le feu sacré des premières rencontres, peut-être les deux et quelques autres petites choses...
Du coup il y avait deux possibilités, les laisser au purgatoire de ma cuisine en risquant qu'un jour ils finissent définitivement en enfer et surtout dans l'oubli. Ou les préparer avec de nouvelles idées, de nouvelles manières de les accommoder, et ainsi faire renaître le désir entre eux et moi ! Et comme, même si je m'en suis donc lassé, j'ai quand même le souvenir de belles soirées passées à dévorer ces beaux moelleux, je me suis dit qu'ils méritaient mieux que l'oubli !
Et donc me voilà à me gratter les poils de la barbe en espérant voir la lumière, et avoir lâché ma barbe après avoir enfin trouvé une idée. Et voilà ce qui a fini dans mes assiettes !
Mes gnocchi craquouillants avec comme un pesto à l'avocat...
Ingrédients : 500g de gnocchi – ½ avocat assez mûr – 2 à 3càs d'huile d'olive – 1 càs de parmesan râpé finement – 3càs de pistaches – 2càs de noix de cajou salée – 3 tiges de basilic – 1 cives – du jus de citron vert - sel et poivre
Commencez en faisant cuire les gnocchi selon les indications portées sur l'emballage puis égouttez-les et versez-les dans un plat assez large pour qu'ils soient confortables. Arrosez d'un tout petit filet d'huile d'olive et mélangez.
Mettez ensuite dans un mixer 2càs de pistaches, les feuilles de 2 tiges de basilic et le parmesan et mixez le tout assez rapidement. Ajoutez l'avocat coupé en cubes et mixez de nouveau. Ajoutez enfin l'huile, du sel et du poivre et mixez une dernière fois jusqu'à obtenir une pâte assez grossière. N'hésitez pas à donner plus coup de mixer en décollant le mélange des parois.
Versez le contenu du mixer sur les pâtes et mélangez le tout bien bien.
Hachez grossièrement les pistaches restantes et les noix de cajou, effeuillez la dernière tige de basilic et coupez en fines tranches la cive. Parsemez tout ça sur vos gnocchi et terminez en arrosant de jus de citron vert à votre goût !
Mais pourquoi, et si on remettait le couvert avec des gnocchis... est-ce que je vous raconte ça....

lundi 6 mars 2017

Mes truffes chocolat avocat et datte... Simplement parce que c'est bon bordel !

A chaque fois que je fais de la cuisine avec un ingrédient un peu étonnant qui remplace un autre plus attendu, j'y ai droit, ça loupe pas, y'en a toujours une ou un pour me demander, alors c'est qui qu'est allergique ? Avant d'ajouter l'ingrédient sensé transformer en un mélange de méduse et de dirigeable l'éventuel pauvre mangeur allergique.
Alors oui des fois c'est le cas, j'ai quelques camarades que je pourrais faire gonfler instantanément en mettant dans leur plat du lait, des tomates, de l'huile d'arachide et quelques autres petites choses, et pour ceux-là il m'arrive de cuisiner en changeant des ingrédients parce que j'aime bien mes amis... Mais souvent je cuisine en changeant les ingrédients juste parce que j'espère que les petites préparations que je prépare sont... bonnes, bordel ! 
Et ce n'est pas parce qu'on a la chance de pouvoir manger de tout qu'il ne faut pas s'amuser en cuisine, enfin c'est en tout cas mon avis...
Même si comme moi on adore le pain et la baguette, la quiche lorraine ou la mousse au chocolat à la folie on peut préparer de très belles miches toutes rondes et croustillantes avec d'autres farines que le blé, mettre du tofu fumé dans sa quiche ou s'amuser encore à faire des mousses au chocolat à la bave de pois chiche... juste parce que c'est bon bordel !
Et aujourd'hui alors que j'avais pour projet de me rouler la truffe je me suis dit tiens et si je tentais une truffe sans beurre avec d'autres choses à la place juste pour voir si c'est bon...
Et quand je les ai mises sur la table, vu leur vitesse de disparition je me suis dit que je n'avais pas eu tort, surtout que mes mangeurs m'ont juste dit... elles sont vachement bonnes tes truffes papa...
Mes truffes chocolat avocat et datte...
Ingrédient pour une quinzaine de truffes : 120g de chocolat noir – 90g de chair d'avocat – 30g de chair de datte (préférez des dattes très charnues et fondantes comme les medjouls) – 30g de noix de cajou (attention non salées!) - 2càs de cacao en poudre
Cassez le chocolat en morceaux, mettez-le dans un bol et faites-le fondre au micro-ondes en plusieurs fois.
Mixez finement la datte au mixer puis ajoutez l'avocat et mixez de nouveau finement.
Mélangez alors ensemble le chocolat fondu et le mélange de datte et d'avocat, insistez bien. Personnellement j'ai passé le tout au mixer mais la prochainement fois je m'en passerai.
Mettez le tout dans un petit saladier et au frais pendant une paire d'heures.
Mettez dans votre mixer les noix de cajou et le cacao et mixez le tout finement, attention pas trop sinon ça va finir en pâte et là c'est foutu on recommence ! Passez le mélange ensuite à travers une passoire fine.
Sortez le saladier une quinzaine de minutes avant de faire vos truffes puis à l'aide d'une cuillère et surtout de vos mains faites des boulettes de pâte bien rondes. J'ai fait des boulettes de 15g mais ça peut être un peu moins. Une fois toutes les boulettes réalisées, roulez-les dans le mélange de noix de cajou et de cacao et on remet au frais pendant une trentaine de minutes ou jusqu'au moment de les manger.
Mais pourquoi, bon et si je remplaçais le poulet rôti par... eh ben non on peut pas... est-ce que je vous raconte ça...

lundi 15 mars 2010

Voyage au pays des Sweet Bordeaux et des nuits de Chine... drôle de voyage ! Et ma p'tite crevette toute croustillante à déguster...

Le froid de l’hiver giclait sur les visages en gifles de vent. Nous passions entre les pieds de vigne, à juste les regarder, à juste passer une main qui effleure le bois comme pour ressentir les promesses d’une année à venir. Au cœur de la saison froide tout semble en attente, recroquevillé, et moi je suis comme cette nature qui nous entoure, replié vers le peu de chaleur qui me reste dedans.
J’ai toujours aimé le moment où l’on passe du dehors, que l’on referme la porte sur les dernières flèches de glace, pour arriver dedans, que l’on claque les pieds bien fort comme si on pouvait faire tomber ce froid par terre. Devant nous s’étalaient les premières barriques, elles aussi attiraient la caresse, plus ferme, l’envie de suivre les courbes du bois, de sentir les rainures, d’accompagner les rondeurs…
Nous sommes au cœur des Sweet Bordeaux et la porte qui vient de claquer derrière nous nous enferme en compagnie d’un fleuve de douceur enfermé en tonneaux qui n'attend plus que d’arriver à terme pour enfin couler dans les verres.
Tout était jusque là comme je l’imaginais de ce côté des Bordeaux liquoreux… comme un long fleuve tranquille… Bordeaux, ses châteaux et ses vins ont toujours eu pour moi comme un petit goût de la Folie des grandeurs. Et je commençais déjà à m’imaginer installant mes chaussons dans ceux du châtelain.
Je m’imaginais déjà dans la grande salle à manger où poussait une moquette d’ocelot à poil long, tellement épaisse que je pensais prochainement demander au jardinier de la tondre. Au loin j’apercevais la grande cheminée où mes gens cuisaient le gras à même le canard. D'un mouvement à peine perceptible j'interpelais, c'était pour eux un signe tout à fait clair, net… il voulait dire que j'avais l’godet qui s’desséchait ! Là, la divine liqueur se mettait à couler en cascade dans mon verre tandis que d'un geste précis un cuisinier écrasait un canard rôti pour faire tomber son foie directement dans mon assiette... C'est un peu comme ça que je voyais les choses... un peu. Mais j'ai toujours eu la vision un peu déformée par quelques clichés un peu trop surexposés.
Mais c’était sans compter avec le châtelain du château D'Arche bien ancré dans notre temps, passeur passionné par son vin, et à mille lieux des caricatures que j'avais imaginé. Et surtout sans compter sur un drôle de cuistot, Georges Gotrand, qui avait décidé que rien ne ressemblerait moins à un long fleuve tranquille gastronomique que ce qu’il nous avait préparé ce soir-là. Lui avait décidé de conjuguer des saveurs lointaines avec les Sweet Bordeaux. Et en me grattant la tête après avoir dégusté ses créations je me suis dit qu'il avait foutument raison d'avoir choisi ce petit ruisseau tortueux et rafraîchissant à la place des longs fleuves tranquilles.
Et depuis ce jour-là j’attends, j’attends tapi dans l’ombre de ma soif, qu’une envie irrépressible de douceur bordelaise vienne me frapper au creux des papilles. Et forcément, ce qui devait arriver arriva et en ouvrant une bouteille Sauternes un curieux parfum de Chine c'est élevé depuis ma cuisine et est venu l'accompagner…
Vaisselle Guy Degrenne - Produit offert
Crevettes croustillantes aux noix et pistaches

Ingrédients : 350g de crevettes décortiquées – 10cl d'huile de tournesol – 1 piment sec - ½ càc de gingembre frais – 1 gousse d'ail – 3 oignons nouveaux – 2 càs de bouillon de poulet – 50g de noix de cajou grillées salées hachées grossièrement – 10g de pistaches émondées écrasées
Marinade : 1 càs de vin chinois – 1às de blanc d'oeuf – 1càc de Maïzena
Pour la sauce : 2càc de sucre en poudre – 1 càs de sauce soja – 1càc de vinaigre balsamique blanc (à défaut du vinaigre de riz) - ½ càc de Maïzena
Commencez en éminçant l'ail et les oignons et en émiettant le piment séché.
Versez les ingrédients de la marinade dans un saladier et ajoutez-y les crevettes, mélangez bien.
Versez l'huile dans un wok et posez le sur feu assez fort.
Quand l'huile est bien chaude, versez-y les crevettes que vous aurez bien égouttées. Laissez 3 minutes en remuant, juste le temps de colorer les crevettes.
Retirez les crevettes du wok en les égouttant bien.
Gardez dans le wok l'équivalent d'une cuillère à soupe d'huile et jetez le reste.
Remettez sur le feu puis ajoutez le piment, remuez, laissez crépiter quelques secondes. Ajoutez l'oignon, l'ail et le gingembre et remuez le tout pendant 2 minutes. Ajoutez les crevettes, mélangez de nouveau, ajoutez tout de suite le bouillon et mélangez.
Versez la sauce et mélangez bien une nouvelle fois.
Laissez cuire une minute en remuant pour que toutes les saveurs se mélangent.
Retirez les crevettes et les condiments du wok sans ramasser toute la sauce et servez dans les assiettes.
Au dernier moment saupoudrez le tout avec les noix de cajou et les pistaches.
Mangez sans attendre accompagné d'un Sauternes ou d'un des autres Sweet Bordeaux à votre choix bien frais...
Et comme il me reste quelques petites bouteilles de douceurs à déguster d'autres recettes viendront rejoindre celle-là et peut-être vous donner envie d'inviter ces vins liquoreux à un autre moment qu'à noël et forcément avec un foie gras...

« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération. »

Mais pourquoi, finalement un Sauterne à la main sur une jonque croisant au large de Bangkok je suis pas contre... est-ce que je vous raconte ça...