Je le dis souvent, j'ai la cuisine
relative, je cuisine mes plats parfois beaucoup, parfois un peu... Ce
qui veut dire que selon mes envies et le temps dont je dispose il
m'arrive de jeter un bouillon dans le fond de ma cocotte alors que
d'autres fois je vais m'attaquer directement à la carcasse de
poulet, la faire revenir, ajouter quelques herbes et quelques
oignons... Enfin d'autres fois je me lance dans mon bouillon fait
maison... c'est selon le temps et mes envies, un peu comme tout le
monde je suppose.
Du coup quand Knorr m'a proposé
d'aller y voir du côté de l'Estremadure comment la marque traitait
ses tomates, j'ai comme toujours avant de répondre été voir dans
mes placards histoire de voir si j'y trouvais la marque et comme j'y
ai trouvé bouillon et soupe, j'ai donc répondu allons voir...
Et nous sommes donc ainsi partis à
quelques-unes et quelques-uns voir directement les pieds dans les
champs de tomates ce qu'entendait la marque par agriculture durable
dans ce sud du sud où les pratiques agricoles sont quelques fois...
Forcément compte tenu de mes origines, dès que l'on me titille sur
l'agriculture de par là-bas j'ai
tendance à virer à la méfiance parce que malheureusement la
production intensive s'y est développée de manière... intensive,
malheureusement, et que le sujet me tracasse un peu aussi.
Du coup j'avais la curiosité en éveil
face à cette proposition de la marque, faire un grand pas en
direction du durable et du responsable. Et je dois dire que j'ai été
surpris de voir que les portes et les placards nous ont été
ouverts, dans les champs et les lieux de productions de manière à
nous laisser nous-même nous faire notre propre opinion. Ce qui est
sans doute pour moi la meilleure manière de convaincre un sceptique,
regarde et fais-toi ton idée...
Et ce que j'ai vu me montre que l'on
peut être un industriel de premier ordre et se préoccuper de
trouver des solutions durables pour produire les tomates qui vont
finir dans les rayons, dans nos paniers et surtout finalement dans
nos assiettes.
Et
ces solutions proposées sont simples et semblent frappées du bon
sens dès que l'on veut prêter attention cette terre où poussent
les tomates, rotation des cultures en pleine terre, utilisation de
l'eau de la manière la plus juste, mise en place d'indicateurs
permettant d'utiliser engrais et insecticides quand il faut où il
faut, réutilisation des déchets végétaux en les réinjectant dans
les champs... Des petites choses, des petits pas mais qui ne seraient
sans doute pas faits sans la volonté des Knorr...
Alors bien sûr j'aimerai plus,
j'aimerai que le bio règne là-bas sans partage en inversant ainsi
les pratiques, mais faut-il regretter ce qui n'est pas encore... ou
reconnaître ce qui est déjà fait ? La direction semble en
tout cas bonne... Après, à vous de vous faire votre idée !
En attendant aujourd’hui j'ai eu
envie de m'amuser avec un velouté de tomates, une simple soupe que
j'ai mise à ma sauce...
Mon velouté de tomate aux parfums
lointains...
Ingrédients : 90cl de velouté de
tomate Knorr – 120g de riz sauvage – 60g de lentilles blondes –
60g de lentilles corail – 1càc de curry en poudre – 60g de crème
de coco – quelques feuilles de basilic thaï – sel et poivre
Commencez en préparant le riz et les
lentilles blondes et corail selon les indications portées sur les
emballages, égouttez bien le tout, puis mélangez-les et
réservez-les.
Versez le velouté de tomates dans une
casserole, ajoutez le curry et faites-le chauffer.
Répartissez le velouté dans les
assiettes, puis la crème de coco et remuez rapidement. Déposez le
mélange de riz aux lentilles. Terminez en parsemant les feuilles de
basilic et éventuellement un peu de curry en poudre.
Article sponsorisé.
Mais pourquoi, bon et si d'ailleurs
j'allais cultiver un peu mon futur champ d'tomates... est-ce que je
vous raconte ça...
Et une deuxième recette à faire avec mon coulis! c'est parfait.
RépondreSupprimerMerci pour cette belle recette
superbe blog
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