Nous avons eu la chance Marie et moi de croiser Egmont Labadie l'année dernière du côté d'Aurillac… il y traînait l'enregistreur à la main, posant de drôles de questions, quelques fois dérangeantes, et pourquoi qu'il commençait… et comme il est difficile de résister à l'œil plein de malice amusée avec laquelle Egmont fait les choses, nous avons répondu, répondu, répondu… Et puis l'enregistreur a disparu et Egmont lui aussi nous a parlé, de sa passion pour le vin et de son ouvrage à venir, un ouvrage sur les bars, sur les bars à vin évidemment. Et il nous a aussi parlé du comment il a fait son livre et du comment il a visité les bars l'un après l'autre en suivant des routes quelques fois bien longues… Egmont nous a raconté ses aventures, ses coups de cœur et ses coups de gueule avec une gourmandise qui nous a donné envie d'attendre son livre, et puis on a aussi bu quelques verres, de vin évidemment. Et le temps est passé et le livre est arrivé… Les Zinzins du Zinc aux Editions Fleurus.
Forcément j'ai mis la main dessus. Par chance le livre lui ressemble, rapide, vif et curieux, il nous entraîne autour de la France à la découverte d'endroit, de vins, mais surtout de gens, ces gens qui servent le vin avec intelligence et passion. Et je me suis laissé aller à le suivre et même à me dire que j'irais bien en Alsace ou à Toulouse, dans telle rue de Paris ou au fin fond du… à la rencontre du vin. C'est qu'il sait donner envie Egmont, et en plus il n'est pas seul, l'œil du photographe qui l'accompagne a donné du corps et du relief aux endroits et aux gens… et on se laisse emporter avec plaisir porté par ces deux-là ! Du coup après un premier tour entre mes mains il a pris sa place naturellement, à moitié dans ma bibliothèque, à moitié dans ma boîte à gants en attendant que je me mette en route avec lui... bientôt… très bientôt…
Et comme j'avais envie de faire parler Egmont à son tour, je lui ai proposé d'écrire, d'écrire comme sur un blog… d'écrire sur mon blog et c'est ce qu'il a fait…
Minuit…on arrive à Toulouse… On est en plein début de canicule (mi-juin 2006). Et puis Jean-Yves Delhoume nous sert un mauzac vert de chez Bernard Plageoles… Mais non, je ne vais pas vous assommer avec des noms de producteurs ! Mais non je ne vais pas vous dire ce qu’il faut que vous buviez !
Juste qu’il faut faire confiance à ceux qui ouvrent ces bars à vins, ils ont la passion.
Comme les blogueurs, les créateurs de bars à vins cherchent à mettre du piment dans leur vie, en tout cas à faire vivre leur passion, et aussi à rencontrer des gens animés de la même passion qu’eux. Voire à convaincre ceux dont la passion s’est éteinte ! Comme les blogueurs, qui chacun de leur côté, oeuvrent quotidiennement contre la dépersonnalisation de la cuisine, son culte de la perfection visuelle au détriment du goût, en tout cas l’idée que le bon goût est l’apanage de quelques uns, les bars à vins sont des lieux où l’on apprend la diversité des goûts du vin.
Voilà, un bon petit vin fruité et flatteur n’a pas à tomber dans les poubelles de l’histoire, sous le seul prétexte qu’il n’est pas aussi concentré qu’un cabernet-sauvignon passé en fûts de chêne neuf.
Mais pour tout dire, ce que j’aime bien dans les bars à vins, c’est le vin ! Et la bonne nouvelle, c’est que partout en France, il y a de bonnes adresses où, quand on paye un verre 1, 2, 3 ou même 5euros, voire plus dans quelques cas, on a un quelque chose d’intéressant dans le verre.
Pierrick, photographe du livre et ami, a dit dans la préface qu’il n’aimait pas trop les bars à vins avant l’enquête, et qu’il leur préférait les bars, les vrais, les rades crades et miséreux, où le rmiste chante sa galère. Ben en fait, moi, c’est plutôt l’inverse ! Cette ambiance pesante et enfumée m’a toujours un peu emmerdé, ces discussions à n’en plus finir sur des choses virtuelles, à refaire le monde alors qu’on a à peine de quoi se payer un café, ça m’a toujours un peu gonflé. Toutes ces heures perdues à regarder le rond de fumée s’écraser lamentablement sur un lustre blafard… Et puis la clope, évidemment, c’est à cause de la clope des autres que j’ai commencé à fumer… Parce que je me disais qu’au moins, j’aurais le goût en plus de la fumée… Et puis surtout je pense, ces ridicules boissons ultra chères pour un peu d’eau, de sucre et de gaz… Voilà, le café pour moi, c’est l’inconfort, l’ennui et l’arnaque, depuis longtemps… Evidemment, après mon âge adolescent, j’ai appris à apprécier les gens que j’y croisais, et les choses ont un peu évolué.
Comme le dit Roland Castagnié, du Nabuchodonosor à Toulouse, l’œnologie, ça vient du grec « oinos », le vin, et « logos », le langage, donc le langage découle du vin. « Et si tu comprends pas, tu bois un coup ! » Voilà, l’intérêt du vin, c’est qu’il remplit le palais de sensations multiples, et qu’il délie les langues. Le café perd alors sa surface rigide, sociale, et devient un lieu de parole libre, et si le vin est bon, de conversations pleines d’esprit.
Forcément j'ai mis la main dessus. Par chance le livre lui ressemble, rapide, vif et curieux, il nous entraîne autour de la France à la découverte d'endroit, de vins, mais surtout de gens, ces gens qui servent le vin avec intelligence et passion. Et je me suis laissé aller à le suivre et même à me dire que j'irais bien en Alsace ou à Toulouse, dans telle rue de Paris ou au fin fond du… à la rencontre du vin. C'est qu'il sait donner envie Egmont, et en plus il n'est pas seul, l'œil du photographe qui l'accompagne a donné du corps et du relief aux endroits et aux gens… et on se laisse emporter avec plaisir porté par ces deux-là ! Du coup après un premier tour entre mes mains il a pris sa place naturellement, à moitié dans ma bibliothèque, à moitié dans ma boîte à gants en attendant que je me mette en route avec lui... bientôt… très bientôt…
Et comme j'avais envie de faire parler Egmont à son tour, je lui ai proposé d'écrire, d'écrire comme sur un blog… d'écrire sur mon blog et c'est ce qu'il a fait…
Minuit…on arrive à Toulouse… On est en plein début de canicule (mi-juin 2006). Et puis Jean-Yves Delhoume nous sert un mauzac vert de chez Bernard Plageoles… Mais non, je ne vais pas vous assommer avec des noms de producteurs ! Mais non je ne vais pas vous dire ce qu’il faut que vous buviez !
Juste qu’il faut faire confiance à ceux qui ouvrent ces bars à vins, ils ont la passion.
Comme les blogueurs, les créateurs de bars à vins cherchent à mettre du piment dans leur vie, en tout cas à faire vivre leur passion, et aussi à rencontrer des gens animés de la même passion qu’eux. Voire à convaincre ceux dont la passion s’est éteinte ! Comme les blogueurs, qui chacun de leur côté, oeuvrent quotidiennement contre la dépersonnalisation de la cuisine, son culte de la perfection visuelle au détriment du goût, en tout cas l’idée que le bon goût est l’apanage de quelques uns, les bars à vins sont des lieux où l’on apprend la diversité des goûts du vin.
Voilà, un bon petit vin fruité et flatteur n’a pas à tomber dans les poubelles de l’histoire, sous le seul prétexte qu’il n’est pas aussi concentré qu’un cabernet-sauvignon passé en fûts de chêne neuf.
Mais pour tout dire, ce que j’aime bien dans les bars à vins, c’est le vin ! Et la bonne nouvelle, c’est que partout en France, il y a de bonnes adresses où, quand on paye un verre 1, 2, 3 ou même 5euros, voire plus dans quelques cas, on a un quelque chose d’intéressant dans le verre.
Pierrick, photographe du livre et ami, a dit dans la préface qu’il n’aimait pas trop les bars à vins avant l’enquête, et qu’il leur préférait les bars, les vrais, les rades crades et miséreux, où le rmiste chante sa galère. Ben en fait, moi, c’est plutôt l’inverse ! Cette ambiance pesante et enfumée m’a toujours un peu emmerdé, ces discussions à n’en plus finir sur des choses virtuelles, à refaire le monde alors qu’on a à peine de quoi se payer un café, ça m’a toujours un peu gonflé. Toutes ces heures perdues à regarder le rond de fumée s’écraser lamentablement sur un lustre blafard… Et puis la clope, évidemment, c’est à cause de la clope des autres que j’ai commencé à fumer… Parce que je me disais qu’au moins, j’aurais le goût en plus de la fumée… Et puis surtout je pense, ces ridicules boissons ultra chères pour un peu d’eau, de sucre et de gaz… Voilà, le café pour moi, c’est l’inconfort, l’ennui et l’arnaque, depuis longtemps… Evidemment, après mon âge adolescent, j’ai appris à apprécier les gens que j’y croisais, et les choses ont un peu évolué.
Comme le dit Roland Castagnié, du Nabuchodonosor à Toulouse, l’œnologie, ça vient du grec « oinos », le vin, et « logos », le langage, donc le langage découle du vin. « Et si tu comprends pas, tu bois un coup ! » Voilà, l’intérêt du vin, c’est qu’il remplit le palais de sensations multiples, et qu’il délie les langues. Le café perd alors sa surface rigide, sociale, et devient un lieu de parole libre, et si le vin est bon, de conversations pleines d’esprit.
Amis blogueurs, faites vos prochaines rencontres dans des bars à vins !
Et pour accompagner le vin et les mots d'Egmont… tartinage évidemment !
Tartines télé pour matchs difficiles... une recette déjà parue sur Qui veut du fromage, le blog... le site du fromage au combien recommandable !
Ingrédients pour 4 : 2 gousses d'ail - une vingtaine de feuilles de basilic - une vingtaine de petites feuilles de roquette - 7,5 cl d'huile - 40 g de pignons de pin légèrement grillés - 40 g de parmesan frais râpé et quelques copeaux - 8 petites tranches de pain de campagne ou 4 plus grandes coupées en 2 - 8 tranches très fines de jambon cru - 150 g de fromage blanc (j'ai utilisé du fromage fouetté nature des Paysan breton) - 3 ou 4 quartiers de tomates séchées à l'huile - Poivre - Sel
Passez le pain sous le grill d'un four jusqu'à ce qu'il soit bien doré d'un côté (inutile de dorer les 2, il risquerait d'être alors trop sec). Déchirez les tranches de jambon à la main en 3 ou 4. Coupez les tomates séchées en bandes d'environ 1 demi centimètre.
Préparez le pesto. Mettez dans un robot avec une lame le parmesan et l'ail et faites tourner jusqu'à ce que l'ail soit haché très très fin. Ajoutez l'huile, une quinzaine de feuilles de basilic et autant de roquette et faire tourner sans trop insister. Ajoutez enfin les pignons (en garder l'équivalent d'une cuillère à café pour la fin) et hachez-les rapidement, il ne faut surtout pas réduire en pâte. Etalez sur chaque tranche de pain une bonne cuillerée à café de fromage frais, déposez dessus le jambon chiffonné, puis du pesto à votre goût, parsemez avec les tomates séchées, finir avec les pignons, le basilic et la roquette restants. Poivrez, salez si nécessaire, mangez...
Petite tartine au goût du Nord…
Ingrédients pour 2 : 25g de beurre moitié salé, moitié doux – 50g de crevettes grises décortiquées (environ le double avant décortication…) – 5 ou 6 tiges de cerfeuil effeuillées – 3ou 4 belles pincées de curry – 1pincée de piment d'Espelette – 2 belles tranches de pain grillées
Coupez les deux beurres en cubes puis mélangez-les à la fourchette en écrasant bien le tout. Ajoutez les crevettes et continuez à écrasez un peu à la fourchette, les crevettes ne vont s'agglomérer au beurre que très partiellement. Etalez sur les tartines d'abord le beurre aux crevettes puis les crevettes beurrées… Ajoutez le cerfeuil, saupoudrez généreusement de curry et légèrement de piment… avec un petit vin blanc sans doute…
Et pour la recette de la Petite tartine en vert et vert cliquez sur la photo pour retrouver la recette déjà publiée par ici.
Ingrédients pour 4 : 2 gousses d'ail - une vingtaine de feuilles de basilic - une vingtaine de petites feuilles de roquette - 7,5 cl d'huile - 40 g de pignons de pin légèrement grillés - 40 g de parmesan frais râpé et quelques copeaux - 8 petites tranches de pain de campagne ou 4 plus grandes coupées en 2 - 8 tranches très fines de jambon cru - 150 g de fromage blanc (j'ai utilisé du fromage fouetté nature des Paysan breton) - 3 ou 4 quartiers de tomates séchées à l'huile - Poivre - Sel
Passez le pain sous le grill d'un four jusqu'à ce qu'il soit bien doré d'un côté (inutile de dorer les 2, il risquerait d'être alors trop sec). Déchirez les tranches de jambon à la main en 3 ou 4. Coupez les tomates séchées en bandes d'environ 1 demi centimètre.
Préparez le pesto. Mettez dans un robot avec une lame le parmesan et l'ail et faites tourner jusqu'à ce que l'ail soit haché très très fin. Ajoutez l'huile, une quinzaine de feuilles de basilic et autant de roquette et faire tourner sans trop insister. Ajoutez enfin les pignons (en garder l'équivalent d'une cuillère à café pour la fin) et hachez-les rapidement, il ne faut surtout pas réduire en pâte. Etalez sur chaque tranche de pain une bonne cuillerée à café de fromage frais, déposez dessus le jambon chiffonné, puis du pesto à votre goût, parsemez avec les tomates séchées, finir avec les pignons, le basilic et la roquette restants. Poivrez, salez si nécessaire, mangez...
Petite tartine au goût du Nord…
Ingrédients pour 2 : 25g de beurre moitié salé, moitié doux – 50g de crevettes grises décortiquées (environ le double avant décortication…) – 5 ou 6 tiges de cerfeuil effeuillées – 3ou 4 belles pincées de curry – 1pincée de piment d'Espelette – 2 belles tranches de pain grillées
Coupez les deux beurres en cubes puis mélangez-les à la fourchette en écrasant bien le tout. Ajoutez les crevettes et continuez à écrasez un peu à la fourchette, les crevettes ne vont s'agglomérer au beurre que très partiellement. Etalez sur les tartines d'abord le beurre aux crevettes puis les crevettes beurrées… Ajoutez le cerfeuil, saupoudrez généreusement de curry et légèrement de piment… avec un petit vin blanc sans doute…
Et pour la recette de la Petite tartine en vert et vert cliquez sur la photo pour retrouver la recette déjà publiée par ici.
Mais pourquoi, tiens je vais me faire une semaine tartinade moi… est-ce que je vous raconte ça…
Outre l'ouvrage, il y a le site, bien fait agréable à découvrir, intelligent... Egmont doit être un personnage à rencontrer... Bonne tartinade donc, Mr Doriann
RépondreSupprimerDis Dorian, ce n'était pas l'année dernière la rencontre avec Egmont à Aurillac. C'était cette année, en juillet et cela reste un très bon souvenir pour moi. Je vais filer voir son livre qui pourrait bien atterrir dans la hotte du Père Noël de quelques personnes que je connais.
RépondreSupprimerpour moi ça sera les petites crevettes huuuum mes papilles dansent déjà de joie ;)
RépondreSupprimerQuelles sont belles vos tartines...miam !!
RépondreSupprimerYeaaah, j'adore ce genre de repas. Le soir quand je suis pas motiveé pour le mijotage, je fais ça :p
RépondreSupprimerBonne journée,
j'adhère totalement à ces menus propos ;-)
RépondreSupprimerVoila un billet a 6 mains, joliment ecrit et photographie, qui donne diablement envie de vous faire confiance et de trinquer avec vous.
RépondreSupprimerAh oui, ça fait envie...ou boire une bonne bouteille entre amis...(je ne connais pas de bars à vin près de chez moi, hélas, mais je vais me renseigner de ce pas...de deux!)
RépondreSupprimerA Munich, les bars à vin ne sont pas légion mais les rencontres se font tout de même...autour d'une chope de bière. Prost!
RépondreSupprimerme botte bien ce livre, je sais pas pourquoi...et si tu dis que c'est parce que je picole, je te fais la tete ;-) Tu n'aurais meme pas complétement tord, je préfère dire que je déguste...plaisanterie mise à part, très joli billet m'sieur! A bientot, bye
RépondreSupprimerAaaaah....l'art de la tartine et du bon verre de vin....euhhh..j'veux dire, Aaaaah....l'art de la tartine et de la bonne bouteille de vin!
RépondreSupprimerhélas ! je n'aime pas le vin (mais alors pas du tout du tout, ni les autres boissons alcoolisées, d'ailleurs)
RépondreSupprimerDis donc Egmont il aurait rien dit sur Dijon? Comme ça vous faîtes d'une pierre 2 coups avec Marie, vous pouvez aussi venir nous voir maintenant que nous sommes en France (et accessoirement qu'on se gèle grave!).
RépondreSupprimerA bientôt alors!
J'adore "les tartines", j'aime bien en faire à mes amis, ça surprend toujours. Je leur fais tout plein de "mixed", tout plein de couleur et de saveur, ils adorent ça, on se régale tous, on rit beaucoup, on se raconte les petites choses de la vie de chacun... c'est l'effet " tartine": bon enfant.
RépondreSupprimerPour le vin hélas, je n'ai jamais su le savourer-il faut dire que je n'aime pas l'alcool en général- c'est dommage, car je ne considère pas le vin comme un alcool ordinaire, mais comme un produit "noble" et raffiné, qui sait, peut être connaîtrais je un jour LA révélation qui me fera aimer cette boisson.
coucou
RépondreSupprimerbon cette fois je jette l'éponge ce sera sans moi, il y a trés peu de choses aprés lesquelles je ne cours pas (euh en faite quelques unes) et les crevettes en font partie ! ceci dit la tartine est appétissante ... (sans les crevettes, je peux mettre du saumon à la place ?) bisous joe
(pain grillé, purée de courge à l'huile d'olive mélangée à de la tapenade d'olives noires, pignons et copeaux de parmesan)
De bien jolies tartines.....
RépondreSupprimerAh! Se retrouver autour d'une tartine solide et pétillante d'imagination et d'un verre de vin délectable, c'est comme les soirées d'après salsa dans le 91!! Vous voulez pas venir?? Dommage que la distance...
RépondreSupprimerJe te laisse mes verres de vins car je n'en bois jamais mais alors les tartinades je te les piques, elles ont l'air si bonnes ! Bises
RépondreSupprimerbonjour à tous,
RépondreSupprimerquelques infos pour ceux qui en ont demandé:
mimine: je n'avais pas d'adresse à Dijon quand nous avons fait l'enquête, mais on m'a parlé depuis du Chabrot, 36 rue Monge (03 80 30 69 61). Si tu y vas (je me permets le tutoiement, j'espère que ça ne te choque pas!), ce serait super si tu pouvais mettre un petit commentaire sur le blog du guide (zinzinsduzinc.over-blog.com), pour dire à tous les lecteurs ce que tu en as pensé...
Pour marlou, si tu cherches LA révélation sur le vin, fréquente les bars à vins, tu y découvriras beaucoup de très bonnes choses, en quantité et à des très prix raisonnables, et sans l'obligation de prendre une bouteille entière.
Bergamote et philo, désolé que vous n'aimiez pas le vin, mais chacun son goût! J'espère seulement que ce ne sont pas de mauvais vins qui vous ont dissuadés...
Et à tout le monde, bravo pour votre passion, et encore beaucoup de plaisir!
Egmont
J'ai entendu parler du livre, là tu me donnes envie d'en savoir plus !
RépondreSupprimerPas rencontré Egmont, mais pour la tournée des bars à vin, je suis volontaire ! Hips !! Et puis pour rencontrer Egmont, je suis pour aussi, moi je ne demande qu'à apprendre :D
RépondreSupprimerTrès beau billet... Mais très très succulentes tartines !
RépondreSupprimerEhhhh !!! Une tartine comme à Dunkerque ! Moi, je l'appelle retour des Halles, parce que c'est là qu'on y trouve les plus belles crevettes grises et que c'est toujours de cette façon là qu'elles finissent (ou alors dans une omelette...) !!
RépondreSupprimerAmicalement blog,
Ingrid