Huyyyyy las croquetas del niño pero dónde están las croquetas ! Quand nous entrions chez Maria, c'est le cri qui était réservé à mon entrée, un cri qu'elle poussait juste avant de m'étouffer entre les deux montagnes qui lui servaient de poitrine… Il faut dire qu'elle avait l'affection débordante, elle me décoiffait en me frottant le cuir chevelu en m'embrassant les joues et le front à pleine bouche, cette bouche qui restait dessinée au rouge à lèvres… Je ressortais toujours de ses bras avec une tête de piaf peinturluré passé au presse-purée.
Maria, la Maria comme on disait à la maison, était une amie de mes parents et elle l'est restée très longtemps, jusqu'à ce que ma mère lâche son inévitable elle est gentille mais elle aime vraiment trop critiquer… Une phrase qui signifiait que ma mère, qui elle détestait critiquer, allait passer en revue les trop nombreux défauts de celle qui à la fin de sa tirade ne serait plus qu'une ex-amie, comme toutes les autres…
Mais avant ce moment et pendant longtemps Maria était donc la bonne amie de la famille et ce qu'elle aimait plus que tout c'était que sa maison se remplisse d'amis et d'enfants, de rires et de chants comme sur… Enfin Maria aimait le bruit rassurant de l'amitié. Et moi j'aimais bien aller chez elle parce que les gens ne vivaient pas exactement comme chez nous, on parlait très fort, encore plus que chez des espagnols "normaux", et on chantait encore plus fort et les éclats de rire couvraient le tout et surtout on y mangeait… mes croquettes préférées !
Rien, je n'ai rien fait ! nous disait-elle toujours. Mais en arrivant dans la cuisine on était à chaque fois surpris que l'on puisse en mettre autant, partout, sur chaque centimètre de table, d'étagère, tout était couvert de nourriture et quelques fois sur plusieurs étages, il y en avait jusqu'à sur les rebords des fenêtres. A cette époque c'était un classique chez les espagnoles que mes parents fréquentaient de remplir les tables de nourriture jusqu'à ce que plus rien ne puisse y rentrer. Mais chez Maria c'était pathologique, il en fallait encore et toujours plus, on ne va quand même pas manquer chez moi se défendait-elle quand on s'étonnait qu'elle ait fait à manger pour 80 alors que nous étions une douzaine autour de la table !
Et le pire c'est qu'elle remarquait les petits points faibles de chacun… les petites olives fourrées de l'un et los boquerones, comme on disait pour parler des anchois, pour l'autre et à qui le chorizo coupé plus que fin et à qui las croquetas… las croquetas pour c'était moi ! Et je savais qu'elle ne les avait pas perdues mais bien cachées pour pouvoir mieux les trouver et me les donner.
C'était un rituel enfantin mais il m'allait bien du haut de ma douzaine d'années, elle courrait dans la cuisine en agitant les bras dans tous les sens et en criant mais où sont-elles ! mais où sont-elles ! et invariablement après avoir ouvert tous presque tous les placards, elles apparaissaient ces merveilleuses croquettes de poisson derrière une des dernières portes qu'il restait à ouvrir. Elles étaient là, toutes chaudes, toutes croquantes comme si le placard les gardait au chaud ou comme si Maria nous avait guetté pour les y cacher au dernier moment… Là, elle m'installait sur son grand canapé avec ma montagne de croquettes personnelles et partait s'occuper des autres pendant que je me perdais dans la gourmandise… et curieusement sa fille m'attendait toujours là, et curieusement ce n'était pas les croquettes qu'elle regardait en souriant… mais à cette âge c'est vrai que les filles sont bêtes !
Et comme je n'ai jamais retrouvé le goût des siennes, mes croquettes à moi ont voyagé pour finir toutes épicées…
Indian's fish cake épices et compagnie
Ingrédients : 400g de filet de cabillau coupé en cube – 250g de pommes de terre à purée cuites et pelées – 1càs d'huile de tournesol ou d'une autre huile neutre – 1oignon moyen grossièrement haché – 2gousses d'ail dégermés et grossièrement hachés – ½ ou 1petit piment oiseau coupé en deux et épépiné - 1càc de gingembre râpé – 1càc de curcuma – 2càc de garam massala – 3càc de coriandre en grain – 5tiges de coriandre fraîche hachées grossièrement – 1blanc d'œuf - du sel – de la maïzena – de la chapelure – de l'huile pour la friture
Commencez par mélanger le curcuma, le garam massala et la coriandre en grain dans un mortier et écrasez le tout ensemble, ne réduisez pas totalement en poudre.
Mettez ensuite la càs d'huile dans une poêle sur feu moyen, puis versez-y l'oignon. En remuant souvent attendez que l'oignon soit devenu bien transparent, qu'il commence à peine à colorer. Ajoutez alors l'ail, le piment et le gingembre, remuez et poursuivez la cuisson de 2 ou 3 minutes. Ajoutez ensuite la moitié du mélange d'épices et poursuivez encore la cuisson pendant une minute, coupez alors le feu.
Mettez dans le bol d'un mixer les cubes de poisson et hachez-les jusqu'à obtenir un mélange filandreux. Ajoutez les pommes de terre et redonnez quelques tours de mixer. Versez ensuite sur ce mélange le contenu de la poêle et les tiges de coriandre hachées, salez. Mixez le tout jusqu'à obtenir une pâte homogène mais où il peut encore y avoir des petits morceaux, n'insistez pas trop. Laissez reposer une petite heure au frais.
Façonnez les boulettes de la taille d'une bonne cuillère à soupe, passez les d'abord dans la mazaïna, donnez leur une forme de palet, passez ensuite dans l'œuf et finalement dans la chapelure. Il n'y a plus qu'à les frire dans une huile à environ 180° jusqu'à ce que les croquettes soient bien dorées et croustillantes, à les posez ensuite sur du papier absorbant, à saupoudrer avec les épices restantes. Couvrez-les de différents chutney et essayez de les fournir aussi vite qu'elles sont mangées…
Salmon fish cakes aux parfums Thaï
Ingrédients : 500g de saumon coupé en gros cubes – 1 ou 2càc de pâte de curry rouge toute prête – 1jaune d'œuf – 3 ou 4cm de tiges de citronnelle émincées le plus fin possible – 2 càs de jus de citron vert – 1càs de nam pla (ou de nuoc nam à défaut) – 1càs de sucre de palme (ou roux à défaut) – 3càs de Maïzena – quelques feuilles de coriandre - sel et poivre
Mettez le saumon et la pâte de curry dans un mixer et donnez quelques tours de manière à bien mélanger les deux éléments. Ajoutez alors le jaune d'œuf, la citronnelle, le jus de citron, le nam pla, le sucre et 1càs de Maïzena, faites tournez le mixer jusqu'à obtenir un mélange homogène encore assez grossier, il ne faut surtout pas trop mixer.
Façonnez les boulettes de la taille d'une bonne cuillère à soupe, donnez leur une forme de palet, posez une feuille de coriandre sur chaque boulette et appuyez bien, passez ensuite dans la mazaïna.
Il n'y a plus qu'à les frire dans une huile à environ 180° jusqu'à ce que les croquettes soient bien dorées et croustillantes, à les poser ensuite sur du papier absorbant. Servez-les avec des petites sauces à base de sauce soja et de sauce pimentée.
Et pour retrouver la recette de Croquetas de crévétas… cliquez sur la photo.
Maria, la Maria comme on disait à la maison, était une amie de mes parents et elle l'est restée très longtemps, jusqu'à ce que ma mère lâche son inévitable elle est gentille mais elle aime vraiment trop critiquer… Une phrase qui signifiait que ma mère, qui elle détestait critiquer, allait passer en revue les trop nombreux défauts de celle qui à la fin de sa tirade ne serait plus qu'une ex-amie, comme toutes les autres…
Mais avant ce moment et pendant longtemps Maria était donc la bonne amie de la famille et ce qu'elle aimait plus que tout c'était que sa maison se remplisse d'amis et d'enfants, de rires et de chants comme sur… Enfin Maria aimait le bruit rassurant de l'amitié. Et moi j'aimais bien aller chez elle parce que les gens ne vivaient pas exactement comme chez nous, on parlait très fort, encore plus que chez des espagnols "normaux", et on chantait encore plus fort et les éclats de rire couvraient le tout et surtout on y mangeait… mes croquettes préférées !
Rien, je n'ai rien fait ! nous disait-elle toujours. Mais en arrivant dans la cuisine on était à chaque fois surpris que l'on puisse en mettre autant, partout, sur chaque centimètre de table, d'étagère, tout était couvert de nourriture et quelques fois sur plusieurs étages, il y en avait jusqu'à sur les rebords des fenêtres. A cette époque c'était un classique chez les espagnoles que mes parents fréquentaient de remplir les tables de nourriture jusqu'à ce que plus rien ne puisse y rentrer. Mais chez Maria c'était pathologique, il en fallait encore et toujours plus, on ne va quand même pas manquer chez moi se défendait-elle quand on s'étonnait qu'elle ait fait à manger pour 80 alors que nous étions une douzaine autour de la table !
Et le pire c'est qu'elle remarquait les petits points faibles de chacun… les petites olives fourrées de l'un et los boquerones, comme on disait pour parler des anchois, pour l'autre et à qui le chorizo coupé plus que fin et à qui las croquetas… las croquetas pour c'était moi ! Et je savais qu'elle ne les avait pas perdues mais bien cachées pour pouvoir mieux les trouver et me les donner.
C'était un rituel enfantin mais il m'allait bien du haut de ma douzaine d'années, elle courrait dans la cuisine en agitant les bras dans tous les sens et en criant mais où sont-elles ! mais où sont-elles ! et invariablement après avoir ouvert tous presque tous les placards, elles apparaissaient ces merveilleuses croquettes de poisson derrière une des dernières portes qu'il restait à ouvrir. Elles étaient là, toutes chaudes, toutes croquantes comme si le placard les gardait au chaud ou comme si Maria nous avait guetté pour les y cacher au dernier moment… Là, elle m'installait sur son grand canapé avec ma montagne de croquettes personnelles et partait s'occuper des autres pendant que je me perdais dans la gourmandise… et curieusement sa fille m'attendait toujours là, et curieusement ce n'était pas les croquettes qu'elle regardait en souriant… mais à cette âge c'est vrai que les filles sont bêtes !
Et comme je n'ai jamais retrouvé le goût des siennes, mes croquettes à moi ont voyagé pour finir toutes épicées…
Indian's fish cake épices et compagnie
Ingrédients : 400g de filet de cabillau coupé en cube – 250g de pommes de terre à purée cuites et pelées – 1càs d'huile de tournesol ou d'une autre huile neutre – 1oignon moyen grossièrement haché – 2gousses d'ail dégermés et grossièrement hachés – ½ ou 1petit piment oiseau coupé en deux et épépiné - 1càc de gingembre râpé – 1càc de curcuma – 2càc de garam massala – 3càc de coriandre en grain – 5tiges de coriandre fraîche hachées grossièrement – 1blanc d'œuf - du sel – de la maïzena – de la chapelure – de l'huile pour la friture
Commencez par mélanger le curcuma, le garam massala et la coriandre en grain dans un mortier et écrasez le tout ensemble, ne réduisez pas totalement en poudre.
Mettez ensuite la càs d'huile dans une poêle sur feu moyen, puis versez-y l'oignon. En remuant souvent attendez que l'oignon soit devenu bien transparent, qu'il commence à peine à colorer. Ajoutez alors l'ail, le piment et le gingembre, remuez et poursuivez la cuisson de 2 ou 3 minutes. Ajoutez ensuite la moitié du mélange d'épices et poursuivez encore la cuisson pendant une minute, coupez alors le feu.
Mettez dans le bol d'un mixer les cubes de poisson et hachez-les jusqu'à obtenir un mélange filandreux. Ajoutez les pommes de terre et redonnez quelques tours de mixer. Versez ensuite sur ce mélange le contenu de la poêle et les tiges de coriandre hachées, salez. Mixez le tout jusqu'à obtenir une pâte homogène mais où il peut encore y avoir des petits morceaux, n'insistez pas trop. Laissez reposer une petite heure au frais.
Façonnez les boulettes de la taille d'une bonne cuillère à soupe, passez les d'abord dans la mazaïna, donnez leur une forme de palet, passez ensuite dans l'œuf et finalement dans la chapelure. Il n'y a plus qu'à les frire dans une huile à environ 180° jusqu'à ce que les croquettes soient bien dorées et croustillantes, à les posez ensuite sur du papier absorbant, à saupoudrer avec les épices restantes. Couvrez-les de différents chutney et essayez de les fournir aussi vite qu'elles sont mangées…
Salmon fish cakes aux parfums Thaï
Ingrédients : 500g de saumon coupé en gros cubes – 1 ou 2càc de pâte de curry rouge toute prête – 1jaune d'œuf – 3 ou 4cm de tiges de citronnelle émincées le plus fin possible – 2 càs de jus de citron vert – 1càs de nam pla (ou de nuoc nam à défaut) – 1càs de sucre de palme (ou roux à défaut) – 3càs de Maïzena – quelques feuilles de coriandre - sel et poivre
Mettez le saumon et la pâte de curry dans un mixer et donnez quelques tours de manière à bien mélanger les deux éléments. Ajoutez alors le jaune d'œuf, la citronnelle, le jus de citron, le nam pla, le sucre et 1càs de Maïzena, faites tournez le mixer jusqu'à obtenir un mélange homogène encore assez grossier, il ne faut surtout pas trop mixer.
Façonnez les boulettes de la taille d'une bonne cuillère à soupe, donnez leur une forme de palet, posez une feuille de coriandre sur chaque boulette et appuyez bien, passez ensuite dans la mazaïna.
Il n'y a plus qu'à les frire dans une huile à environ 180° jusqu'à ce que les croquettes soient bien dorées et croustillantes, à les poser ensuite sur du papier absorbant. Servez-les avec des petites sauces à base de sauce soja et de sauce pimentée.
Et pour retrouver la recette de Croquetas de crévétas… cliquez sur la photo.
Et comme les épices sont au programme, je vous rappelle qu'un stage de cuisine consacré aux épices est encore à gagner ce mois-ci ! Le mois dernier Patrick de l'association Miam Miam a joué les pères noël en faisant gagner trois stages à la place d'un. Et ce sont donc Aurore, Nedra et Edith qui vont aller passez ce moment privilégié à la découverte des épices ! Si vous voulez tenter votre chance, vite vite des épices, vite vite votre petite recette et rendez-vous à la fin décembre pour les résultats !
Pour déposer votre recette cliquez là : Epices !
Mais pourquoi, bon il serait temps de se préparer l'estomac aux fêtes à venir maintenant, est-ce que je vous raconte ça…
Mais pourquoi, bon il serait temps de se préparer l'estomac aux fêtes à venir maintenant, est-ce que je vous raconte ça…
Et bien ! on peut dire que ce récit de l'amitié entre ta môman et Maria est vraiment poignant ;-D
RépondreSupprimerCeci dit ma mère-grand est aussi une Maria et il y a toujours aussi à manger pour quatre fois plus de convives !!!!!
Je note précisement la recette des Salmon fish cakes aux parfums Thaï
car ils me font bien envie ;-D
Merci de me faire rire chaque fois que je viens chez toi, je m'imagine très bien la scène petit coquain :)
RépondreSupprimerMerci aussi du clin d'oeil et de ces recettes alléchantes
Bises
Mais t'as bien fait de nous raconter tout cela, un certain moment j'y étais, j'accompagnai ce garçonnet de douze ans chez sa Maria la reine des croquettes.
RépondreSupprimerEn tout cas ces boulettes bollywood me font envie.
je suis dingues de croquetas depuis très longtemps. ma recette est totalement differente mais je vais essayer les tiennes
RépondreSupprimerQuel billet émouvant! On voit bien que tu l'appréciais Maria... dommage qu'il n'y ait plus de contact, tu aurais pu retrouver ces petits plaisirs et lui demander la recette en même temps!
RépondreSupprimer"Mange mon fils, mange" qu'on dit dans une autre culture. C'est pareil, ces gens du sud savent y faire. Et toi t'es pareil aussi. J'aime bien quand tu fais des croquettes, ca me rappelle toujours ces vacances en Catalogne, chez ces gens qui parlaient plus fort que la tele et les canaris et les cris des gamins reunis, et dont l'abuela faisait des croquettes formidables. je devais avoir 9 ans, je n'ai jamais oublie.
RépondreSupprimerC'est malin j'ai l'image d'une Maria toute orange moi......
RépondreSupprimerMais dans la description Maria on dirait un peu ma grand-mère, quoique je pense que c'est un mix de Maria et de ta maman.....
Elle a de quoi tenir des mois je pense avec tout ce qu'il y a dans sa réserve et SES congélateurs!
PS: Bravo à Marie pour la photo vraiment chouette!
RépondreSupprimerJ'adore les petites chose épicées !!!
RépondreSupprimerMerci pour la petite histoire !!
Rhhaaa, tout ça est trop tentant! Je raffole de ce genre de croquettes!
RépondreSupprimerBises,
Rosa
Las croquetas de Pepita con jamon y queso, tampoco las olvidaré.
RépondreSupprimerPara gritar y cantar fuerte, Peru no esta mal sabes ?
Estamos de vuelta fisicamente, no mas !
cuidate bien
J'adore tes récits qui nous plonge dans les situations !
RépondreSupprimerC'est drôle,ça me fait toujours ça à moi aussi, tu passes une ligne invisible et tu prends trente décibels facile, ça suinte la vie par tous les sens...
RépondreSupprimer.../...
Et puis croqueta, c'est l'un des tous premiers mots des renardeaux dans la langue du "poteo" (ou du "tapeo", selon les régions)
Par contre, je ne me suis jamais résolu à traduire croqueta par croquette (ni tortilla par omelette)parce que je ne sais pas, ça leur donne un petit côté générique qui perd de sa saveur.
Mejor que sobre....
Bon D...!!
RépondreSupprimerJe n'ai rarement eu l'eau à la bouche comme cela en tombant sur ta première photo !!!
Je te pique la recette et celle là , elle ne va pas rester dans le placard .
écoute dorian je case les enfants et j'arriiiiiiiiiiiiiiiiive
RépondreSupprimerkashyle
J'aurais bien aimé avoir une voisine si généreuse. J'aurais pu gouter à ces croquettes, parce que chez nous ... le poisson, c'était vendredi et des filets ... en bon auvergnats
RépondreSupprimerUne très jolie p'tite histoire, qui fait du bien!
RépondreSupprimerBises,
Lisanka
http://cuisinezenwg.canalblog.com/
Ben moi je n'ai pas eu de chance, ma grand-mère espagnole est plutôt du genre radin... Mais tout ça des c'est des histoires de famille. Mon autre grand-mère, ma "vraie" mamie, elle régalait à volonté, comme ta Maria... Je croquerais bien une des boulettes au saumon!!!!
RépondreSupprimerSublimes. On en fait aussi au Portugam et au Cap Vert. J'en ai beaucou mangé lors de fêtes diverses enfant. On en fait aussi aux crevettes. Superbe idée les épices!!!
RépondreSupprimerque de fish cakes sur la blogo en ce moment :) j'avoue que les croquetas je les préfère au fromage de chvre , tu sais pourquoi ;)
RépondreSupprimerBelle rétrospective de l'amitié du voisinage ! merci
Je craque complètement, là! C'est chaleureusement régressif les boulettes! Et en plus je connais une Maria qui ressemble beaucoup, beaucoup à la tienne, mais je ne suis pas la seule apparemment. De l'autre côté des Pyrénées, il y a de la générosité!
RépondreSupprimerMiam ! Elles ont l'air extra tes croquettes/boulettes !
RépondreSupprimerPis j'ai de la pâte à curry rouge, ça tombe bien, non ?
Marie, la photo avec la pitance en équilibre sur les baguettes, le citron pis le petit brin de verdure, est MAGNIFIQUE !!
Je craque pour l'histoire si drôle et si bien relatée qu'on s'y croirait. C'est quoi ça, une odeur de croquettes ?
RépondreSupprimerje craque aussi pour les croquettes. J'adopte.
Bises.
C'est beau...quand même c'est quelque chose la nourriture. Ca rapproche, ça émeut, ça rend tout chose, et ça fait manger du poisson...
RépondreSupprimerça me fait bien envie ces petites choses croustillantes !
RépondreSupprimerComment ça les filles sont bêtes? Elles auraient peut être aimé que tu croque autre choses que tes croquettes...
RépondreSupprimerTres belles photos! et tres bonne idée de transformer ces divines en whaou!!!
La frotte à l'ail (on appele ça comme ça chez nous!) ça provoque des calvities! Fallait y penser!!!
Dommage pour le 19!!!
Marie de mon cabanon
Que j'aime te lire, qu'attendent donc les éditeurs!!!
RépondreSupprimerJe pensais que les croquetas étaient toujours à base de béchamel épaisse à laquelle on ajoute ce qu'on a sous la main de déjà cuit, jambon, viande de pot au feu, morue. Mais c'est comme pour tout autant de recettes que de familles. Alors je note tes deux savoureuses recettes.
Terriblement poignant Aurely ,-) ! Comment ça ta grand-mère n'en faisait que 4 fois plus ??? ma Maria n'avait pas peur d'en faire quelques fois 15 plus… pathologique je te le dis ,-)
RépondreSupprimerMerci à toi Edith de venir rire par ici… tu sais bien que ce sont les yeux de mes lectrices qui m'encouragent à continuer ! bises
C'est vrai qu'elles étaient terriblement bonnes Paprika et pourtant à l'époque manger ce n'était vraiment pas mon principal problème !
Effectivement on ne peut pas dire que je sois proche des classiques… mais bon des fois le changement ne fait pas non plus de mal Véronique… remarque si tu as une recette je suis tout prêt à goûter ,-) !
Et oui Claire, mais ma mère n'a jamais eu l'amitié fidèle alors… perdue la Maria… et les croquettes !
C'est fou parce que finalement je me rends compte à force d'en parler que j'ai beaucoup plus de souvenir autour de la bouffe que je ne le croyais Gracianne… et en plus je ne suis pas le seul visiblement
Une Maria toute orange… heuuuu Aurélie quelle drôle de vison ,-) ! Je transmets à Marie qui va en être toute rouge de plaisir !
Je t'en prie Lili pour moi c'est toujours avec plaisir
Rhaaaa c'est un de mes cris préférés Rosa… généralement chez moi il finit par Lovely ,-) ! Bises
Y sabes hacerlas las de Pepita ? pues voy a ver como estas... Cuidade bien tu tambien Brigitte sabes que para mi eres aire fresco !
Je suis content d'arriver à t'entraîner avec moi Philo… très content même
Je pense que tu as raison Renard Agile même si je mange des croquetas et des croquettes je ne suis pas sûr qu'il s'agisse de la même chose ! Et je vois que finalement ceux qui ont croquetas dans leurs tout premiers mots ne finissent pas si mal, non ?
Si tu l'essayes j'espère que tu me diras ce que tu en as pensé Lilibox… en tout cas merci pour l'eau à la bouche ,-)
Yessssssssss ! c'est tout ce que j'ai à répondre Kashyle ,-)
En plus une personne de plus ça n'aurait rien changé, personne n'aurait manqué de quoi manger Gredine !
J'en suis très content Lisanka j'ai toujours eu plaisir à voir tes yeux traîner par ici
Humm décidément nous traînons tous de drôles de valises Mavielle avec plein d'histoires dedans et plein de personnages ! quant aux croquettes, passes quand tu veux !
J'imagine que celles du Portugal et du Cap Vert devaient être très très parfumées Ellaë… et si tu as des recettes, je suis preneur !
Non j'vois pas pourquoi tu les préfères Marion ,-) pas du tout…
Hooo par là-bas il y a de tout aussi Pascale… mais c'est vrai qu'il y a quelques tables où il fait bon vivre aussi !
Ça tombe très bien Aude, par contre attention au dosage toutes les pâtes n'ont pas la même force… alors n'hésite pas à tester avant de te lancer, certaines sont redoutables ! Et bien sûr je transmets à Marie… je pense que venant en plus de toi… toute rouge elle sera !
Difficile de décrire précisément l'odeur Leila, depuis le temps il me reste juste des impressions … et l'impression que je n'en laissais vraiment pas beaucoup aux autres ! Bises à toi
C'est exactement tout ça et je pense encore deux ou trois autres choses Tifenn … et des fois finalement ça finit en plus par se manger !
Et bien je pense que comme ce n'est fait qu'avec de bonnes choses tu ne devrais pas de gêner Bérangère !
Tu crois que c'est ce qu'elles attendaient les filles Marie??? Zuuuuuuuuuut alors ,-) ! et pour les photos comme toujours je transmets à la photographe qui va finir par demander de l'augmentation avec tout ça ! Et pour le 19 vraiment j'en suis tout désolé… j'espère une autre fois très très vite !
Effectivement Lena tu as raison les croquetas sont tout à fait ça, des petites boulettes où on trouve un peu de tout, depuis les crevettes jusqu'au poisson… disons que j'ai fait un détournement de nom ,-) ! Quant aux éditeurs… merci de tes encouragements en tout cas !
miam ça a juste l'air délicieux comme toujours, ça me donne envie d'accras ...
RépondreSupprimerwww.blogrimoire.com