Avant quand j'allais au restau que ce soit dans un bouiboui ou dans un quatre étoiles… enfin pour le quatre étoiles c'est très théorique, je n'ai malheureusement jamais mis les pieds dans l'un d'eux… donc avant, quand j'allais dans un bouiboui pour manger je passais souvent plus de temps à dire bonjour, à m'inquiéter des uns et des autres et comment elle va la famille et les enfants et les parents et tout ça… qu'à vraiment manger. Et quand je me mettais enfin à table, pour choisir je lançais un simple t'as quoi c'midi ? et quoi qu'on me réponde ça finissait par un ça l'fera amène ça… simple, rapide et efficace ! Par contre en me levant de table, le ventre plein, des fois je n'étais même plus capable de me souvenir ce que je venais de manger… c'était chaud, c'était copieux et finalement il ne m'en fallait pas plus, c'était le temps où la bouffe n'était qu'une chose nécessaire à faire tourner la machine et permettre aux petites jambes de courir derrière… les filles !
Maintenant fini tout ça, tout est devenu compliqué, terriblement compliqué et le restau devient un moment… délicat, et parfois difficile pour ceux qui mangent avec moi, pour ceux qui mangent avec le blogueur que je suis devenu et qui ne pense souvent plus qu'à la bouffe !
Et ça commence dès le menu… le menu… Un des problèmes du menu c'est qu'il y a plein de choses dessus, trop de choses. Forcément le monde serait trop simple si comme dans le temps je pouvais lancer un t'as quoi c'midi ? Mais maintenant c'est la bouffe qui est importante, très importante, trop… et je veux tout goûter ou en tout cas le plus possible, et les entrées et les plats et les desserts… alors j'augmente mes chances d'en essayer le plus possible, je la joue stratégique. Je sais que je vais essayer de picorer une petite bouchée dans chaque assiette de ceux qui sont autour de moi… ça ne te dérange pas que je prenne, juste du bout de la fourchette, quasiment rien… que je dis avec des yeux de Bambi cerné par une meute de loups… et oui qu'on me dit, et un de plus de goûté !
Le but du jeu du menu c'est donc d'éviter le terrible ben je prendrais comme toi en chaîne, un cauchemar pour le goûteur insatiable que je suis devenu !
Et puis les assiettes arrivent et là je sors mon attirail d'expert tout comme ceux de Miami, New York ou je sais plus où d'autre, sauf que le mien est dans mes papilles. C'est que c'est plus de la rigolade de manger, c'est du sérieux pas question de ressortir de là sans savoir précisément tout sur ce que j'ai mastiqué, broyé machouillé et remachouillé avec mes petites dents, et cela jusqu'à ce que le morceau n'ait plus rien à me cacher, que je l'ai mis à nu ! Et après ?... au suivant ! au suivant ! Régulièrement je me retiens alors de recracher le bout à peine fini en demandant à Marie un bistouri et un microscope, histoire de poursuivre mes investigations culinaires, mais des fois les gens qui mangent avec moi n'ont pas toujours le sens de ce qui est important, eux ils se contentent de manger le sourire aux lèvres, ils sont heureux… les inconscients !
Tarte à citrouille et au sous-bois
Ingrédients : 650g de citrouille (environ) – 1càs rase de gros sel - 125g de petites girolles coupées en tranches ou en deux selon la taille – 1 oignon (environ 100g) haché assez fin – 1dizaine de tiges de persil plat – 2 ronds de pâte feuilletée – 1jaune d'œuf - un pot de crème fraîche – poivre
Le jour d'avant, coupez la citrouille en tout petits cubes comme sur la photos (½ cm). Mélangez vos cubes avec le sel et versez-les dans un torchon. Nouez les coins du torchon et suspendez le tout pendant jusqu'à lendemain. L'opération consiste à enlever de l'eau à la citrouille et elle va pleurer comme ça toute la nuit (âmes sensibles s'abstenir…).
Le lendemain couvrez votre moule avec un rond de pâte, il faut que ça dépasse largement. Versez-y la citrouille, 100g de girolles, l'oignon et le persil, mélangez le tout, poivrez.
Posez ensuite le 2e rond de pâte et scellez les bords des deux ronds en les enroulant et en pinçant. Faites un trou au milieu, badigeonnez au jaune d'œuf dilué avec un peu d'eau. Enfournez dans un four préchauffé à 200° pendant environ 1demi heure, la tarte doit être bien dorée de tous les côté.
Quand la tarte est cuite découpez le couvercle de pâte précautionneusement, versez les girolles restantes et de la crème fraîche à votre goût, vous pouvez ajouter un peu de persil frais, refermez et servez de jolies parts avec la crème qui coule de partout…
Tartelettes aux poireaux enfromagés
Ingrédients pour 4 tartelettes : 1 rouleau de pâte feuilletée - 1gros poireau émincé de biais en tranche d'½cm environ – 10g de beurre - 50g de jambon cru tranché très très fin déchiré à la main – 2càs de crème fraîche – 2càs de Mascarpone – 3 jaunes d'œuf – 50g de fromage bleu émiettés en tout petits morceaux – 1 ou 2 tiges de marjolaine fraîche effeuillée (vous pouvez la remplacer par du thym) – sel - poivre
Commencez par faire précuire la pâte feuilletée. Couvrez vos moules de pâte, couvrez d'une feuille de papier sulfurisé, versez par-dessus des haricots ou des pois pour la pré-cuisson. Enfournez à four préchauffé à 200° pendant une dizaine de minutes en surveillant. Laissez-les tiédir.
Pendant ce temps mettez une poêle bon feu avec le beurre, dès qu'il est bien chaud versez-y les poireaux émincés et laissez dorer pendant 3minutes sans trop remuer. Ajoutez le jambon et poursuivez 1ou 2 minutes.
Mélangez dans un bol les jaunes d'œuf, la crème, le mascarpone et le bleu.
Répartissez le poireau au jambon dans les moules, ajoutez le mélange du bol sans forcément chercher à couvrir les poireaux et le jambon, saupoudrez de marjolaine et de poivre.
Enfournez pendant une quinzaine de minutes à 200° puis quelques secondes sous le grill pour finir de dorer si nécessaire, et mangez tout chaud avec une jolie salade avec beaucoup d'herbes.
Il y a aussi des jours où je retrouve mes sujets de conversations préférés… et comment elle va la famille et les enfants et les parents et tout ça, la vie quoi… parce qu' on est en bonne compagnie, celle des copines de par là-bas et celle de ceux qui tiennent l'endroit, comme dans ce petit restaurant sans trop de chichi où on vous reçoit avec de grands sourires aux lèvres et des petits plats savoureux simplement bon, plein de saveurs et d'envie de faire plaisir, plein de senteur et d'invention… Comme dans ce petit restaurant où j'ai donc découvert Valérie, que l'on connaît plus par ici sous le nom de Lilizen. Ce petit restaurant c'est L'eau à la bouche une adresse qu'il suffit d'essayer pour mettre en tête de ses cantines préférées ! Si vous êtes de Bordeaux ou si vous y passez, allez-y vous verrez…
Maintenant fini tout ça, tout est devenu compliqué, terriblement compliqué et le restau devient un moment… délicat, et parfois difficile pour ceux qui mangent avec moi, pour ceux qui mangent avec le blogueur que je suis devenu et qui ne pense souvent plus qu'à la bouffe !
Et ça commence dès le menu… le menu… Un des problèmes du menu c'est qu'il y a plein de choses dessus, trop de choses. Forcément le monde serait trop simple si comme dans le temps je pouvais lancer un t'as quoi c'midi ? Mais maintenant c'est la bouffe qui est importante, très importante, trop… et je veux tout goûter ou en tout cas le plus possible, et les entrées et les plats et les desserts… alors j'augmente mes chances d'en essayer le plus possible, je la joue stratégique. Je sais que je vais essayer de picorer une petite bouchée dans chaque assiette de ceux qui sont autour de moi… ça ne te dérange pas que je prenne, juste du bout de la fourchette, quasiment rien… que je dis avec des yeux de Bambi cerné par une meute de loups… et oui qu'on me dit, et un de plus de goûté !
Le but du jeu du menu c'est donc d'éviter le terrible ben je prendrais comme toi en chaîne, un cauchemar pour le goûteur insatiable que je suis devenu !
Et puis les assiettes arrivent et là je sors mon attirail d'expert tout comme ceux de Miami, New York ou je sais plus où d'autre, sauf que le mien est dans mes papilles. C'est que c'est plus de la rigolade de manger, c'est du sérieux pas question de ressortir de là sans savoir précisément tout sur ce que j'ai mastiqué, broyé machouillé et remachouillé avec mes petites dents, et cela jusqu'à ce que le morceau n'ait plus rien à me cacher, que je l'ai mis à nu ! Et après ?... au suivant ! au suivant ! Régulièrement je me retiens alors de recracher le bout à peine fini en demandant à Marie un bistouri et un microscope, histoire de poursuivre mes investigations culinaires, mais des fois les gens qui mangent avec moi n'ont pas toujours le sens de ce qui est important, eux ils se contentent de manger le sourire aux lèvres, ils sont heureux… les inconscients !
Tarte à citrouille et au sous-bois
Ingrédients : 650g de citrouille (environ) – 1càs rase de gros sel - 125g de petites girolles coupées en tranches ou en deux selon la taille – 1 oignon (environ 100g) haché assez fin – 1dizaine de tiges de persil plat – 2 ronds de pâte feuilletée – 1jaune d'œuf - un pot de crème fraîche – poivre
Le jour d'avant, coupez la citrouille en tout petits cubes comme sur la photos (½ cm). Mélangez vos cubes avec le sel et versez-les dans un torchon. Nouez les coins du torchon et suspendez le tout pendant jusqu'à lendemain. L'opération consiste à enlever de l'eau à la citrouille et elle va pleurer comme ça toute la nuit (âmes sensibles s'abstenir…).
Le lendemain couvrez votre moule avec un rond de pâte, il faut que ça dépasse largement. Versez-y la citrouille, 100g de girolles, l'oignon et le persil, mélangez le tout, poivrez.
Posez ensuite le 2e rond de pâte et scellez les bords des deux ronds en les enroulant et en pinçant. Faites un trou au milieu, badigeonnez au jaune d'œuf dilué avec un peu d'eau. Enfournez dans un four préchauffé à 200° pendant environ 1demi heure, la tarte doit être bien dorée de tous les côté.
Quand la tarte est cuite découpez le couvercle de pâte précautionneusement, versez les girolles restantes et de la crème fraîche à votre goût, vous pouvez ajouter un peu de persil frais, refermez et servez de jolies parts avec la crème qui coule de partout…
Tartelettes aux poireaux enfromagés
Ingrédients pour 4 tartelettes : 1 rouleau de pâte feuilletée - 1gros poireau émincé de biais en tranche d'½cm environ – 10g de beurre - 50g de jambon cru tranché très très fin déchiré à la main – 2càs de crème fraîche – 2càs de Mascarpone – 3 jaunes d'œuf – 50g de fromage bleu émiettés en tout petits morceaux – 1 ou 2 tiges de marjolaine fraîche effeuillée (vous pouvez la remplacer par du thym) – sel - poivre
Commencez par faire précuire la pâte feuilletée. Couvrez vos moules de pâte, couvrez d'une feuille de papier sulfurisé, versez par-dessus des haricots ou des pois pour la pré-cuisson. Enfournez à four préchauffé à 200° pendant une dizaine de minutes en surveillant. Laissez-les tiédir.
Pendant ce temps mettez une poêle bon feu avec le beurre, dès qu'il est bien chaud versez-y les poireaux émincés et laissez dorer pendant 3minutes sans trop remuer. Ajoutez le jambon et poursuivez 1ou 2 minutes.
Mélangez dans un bol les jaunes d'œuf, la crème, le mascarpone et le bleu.
Répartissez le poireau au jambon dans les moules, ajoutez le mélange du bol sans forcément chercher à couvrir les poireaux et le jambon, saupoudrez de marjolaine et de poivre.
Enfournez pendant une quinzaine de minutes à 200° puis quelques secondes sous le grill pour finir de dorer si nécessaire, et mangez tout chaud avec une jolie salade avec beaucoup d'herbes.
Il y a aussi des jours où je retrouve mes sujets de conversations préférés… et comment elle va la famille et les enfants et les parents et tout ça, la vie quoi… parce qu' on est en bonne compagnie, celle des copines de par là-bas et celle de ceux qui tiennent l'endroit, comme dans ce petit restaurant sans trop de chichi où on vous reçoit avec de grands sourires aux lèvres et des petits plats savoureux simplement bon, plein de saveurs et d'envie de faire plaisir, plein de senteur et d'invention… Comme dans ce petit restaurant où j'ai donc découvert Valérie, que l'on connaît plus par ici sous le nom de Lilizen. Ce petit restaurant c'est L'eau à la bouche une adresse qu'il suffit d'essayer pour mettre en tête de ses cantines préférées ! Si vous êtes de Bordeaux ou si vous y passez, allez-y vous verrez…
Mais pourquoi… et maintenant si je trouvais une petite adresse à Strasbourg où je passe bientôt… est-ce que je vous raconte ça…
Dis donc, t'aurais pas un coin à girolles quelque part ??? Parce que ça fait deux fois de suite, et je me demande ce que ça cache.
RépondreSupprimerA part ça, la famille, ça va...je te dis ça au cas où tu ne te souviendrais pas de notre conversation autour des mets variés (et délicieux, cela va sans dire) confectionnés par Snapulk. Moi, dans mon domaine, comme dans tous les arts, il y a un moment -des années enfait- où il faut être technique, très technique, de plus en plus technique...après, c'est tellement bien intégré que ça en devient accessoire. Et je me dis que même si on est un technicien-analyste-dégustateur (ou autre) hors pair, c'est parfois tellement agréable de juste se laisser aller, de faire le voyage sans se poser la question de ce qu'il y a derrière cette émotion qui vous rentre par les papilles (ou les yeux, ou les oreilles, ou le corps tout entier),qu'on regrette le temps de l'ignorance.
Mais, moi, ce que j'en dis...
hélas, je crois que nous les bloggeurs on en est tous là ! ppfff !!! du coup on profite moins !
RépondreSupprimerceci dit il me semble que les restaus ça s'arrête à 3 étoiles non ?
Qu'elles sont belles ces petites tartelettes !!! Tu crois que je peux me rabattre sur des girolles sechees ????
RépondreSupprimerPour mon mari c'est un vrai calvaire lorsque l'on doit choisir un resto car forcément j'ai envie d'un bon resto et par un resto classique sinon autant rester à la maison.
RépondreSupprimerSinon ce fut un réel plaisir de vous revoir aujourd'hui
http://philomavie.blogspot.com/2007/11/brunch-chez-supernature.html
Bises
J'espère que tu seras bien conseillé à Strasbourg, car cette ville regorge de belles adresses!
RépondreSupprimerEt un passage chez Christian (patissier) vaut le détour!
Terriblement appétissante ta tarte à la citrouille!
RépondreSupprimerAhahah, moi j'étais déjà comme ça avant mon blog! Tu imagines maintenant... ;-)
RépondreSupprimerUn quatre étoiles, rien que ça!! Mais dis-moi il va falloir demander à monsieur Michelin de revoir sa copie lui qui s'est arrêté à 3 étoiles ou plutot macarons!! ;-))!!
RépondreSupprimersi tu passes par lyon ne cherche pas, on a des adresses pour toi ;)
RépondreSupprimerkashyle
Quel globe trotter... Bordeaux, Strasbourg... et Bourges, c'est pour quand?
RépondreSupprimerJ'aime bien ta façon de faire pleurer la citrouille. Même si c'est cruel, je retiens.
Et bien, c'est vrai que le restau cela devient technique avec le temps et notre passion...faut tout gouter et mémoriser. Voir meme critiquer. Je suis devenu assez exigent, faut dire que ce que j'arrive très bien a faire chez moi, je préfère ne pas le retrouver au resto en moins bon ;-) bon bon, a tout bientot, bye!
RépondreSupprimerHihihi moi aussi je fais pareil pour gouter à tooOoOouut !!! Le seul problème c'est que je ne vais pas souvent au restaurant ( hélas ) quand je serai riche =,D
RépondreSupprimer[ Dommage que je ne sois pas à Strasbourg !! Bon séjour là-bas ] ^^
ça a l'air épuisant la vie de blogueur (et de compagne de blogueur ;-))! Moi je ne dois pas avoir encore assez de technique, je me dis toujours qu'il y a des secrets inaccessibles, quoique petit à petit, je grapille... la cuisine indienne, ça commence à venir, mais les potirons et les girolles je ne les ai vraiment pas apprivoisés encore! Au fait, le cake au potiron...
RépondreSupprimerCes tartes d'automne sont superbes! et quelle chance d'avoir ou manger chez Lilizen !
RépondreSupprimerEntre les 2 mon coeur balance. Je prendrais un peu des 2 pour moi aussi disséquer, goûter, humer ....
RépondreSupprimerEt manger chez Lilizen c'est un plaisir toujours renouvelé.
Ben oui, ça fait pas longtemps que je suis tombée dedans et longtemps que je n'ai pas fait de restau, mais je sens bien que les choix vont être de plus en plus difficile...Mais je sens bien aussi qu'il ya beaucoup à apprendre! donc du plaisir!
RépondreSupprimerEt que dire lorsque la carte ne propose rien de folichon et qu'on reste sur sa faim pas physique mais culinaire. Remercier celui qui invite ou qui a choisi le resto avec un sourire idiot : je pratique à merveille, encore que maintenant, les gens se méfient d'une blogueuse très très pointilleuse. Allez, zou ! : va pour la tarte aux poireaux cette semaine
RépondreSupprimerJ'en suis à changer ma commande si quelqu'un prend la même chose que moi, histoire de pouvoir en goûter un en plus... et à conseiller des desserts aux autres, même que je n'ai plus faim, juste pour pouvoir les goûter... mais certains m'ont percé à jour et ne s'y laissent plus prendre les saligauds :-)
RépondreSupprimerquelles superbes photos!! ces recettes doivent être excellentes!! biises micky
RépondreSupprimerAh c'est ça la maladie dont je souffre, ç s'apelle "être blogueur"..., en plus je prends des photos maintenant, c'est encore pire qu'avant, avant je me contentais d'être chiante, maintenant je me fais remarquer en plus ;)
RépondreSupprimerEn tout cas tes tartes automnales elles me plaisent beaucoup !
MDR....normal que tu ne sois jamais allé dans un 4 étoiles ça s'arrête à 3 tu aurais eu du mal !!!
RépondreSupprimerViens, Dorian, on ne s'ouvre un quatre étoiles pour faire mentir Mercotte!! :)) ou bien on se contente d'aller dans un 3 étoiles (et moi non plus, j'y suis jamais allée) et on dissèque, entre fous, on s'entendra forcément bien!
RépondreSupprimerMoi c'est pour la carte des desserts que je suis dans l'indécision totale et voudrais goûter à tout!Et puis il faut que ce soit bon! Si je suis déçue je suis capable une fois rentrée à la maison de me faire un p'tit moelleux au chocolat pour combler ma frustration! Je vois que tu te rattrapes également fort bien avec ces savoureuses tartes automnales!
RépondreSupprimerJ'étais à Strasbourg pendant les vacances de la Toussaint. Je recommande "La Cambuse", super restau de poissons (oui, je sais, à Strasbourg, cela parait étrange). Sinon, il y a d'autres bonnes adresses sur le site "Beau à la louche". Si tu as le temps de faire la route des vins et de passer une nuit à Colmar, cela vaut vraiment le coup.
RépondreSupprimerA bientôt,
Anne
Effectivement, ça n'a pas l'air de la "tarte" de manger au retau avec toi. Avec moi, non plus. Mais c'est ça qui est drôle et nos compagnons de table n'en sont pas si malheureux, me semble-il! Belle tarte à la citrouille!
RépondreSupprimerJe n'irais pas aussi loin que toi ;-) ta tarte est magique, et j'aime bien faire pleurer les courges !
RépondreSupprimerSerais tu du metier par hasard? ou critique gastronome?
RépondreSupprimerNon vraiment, il ne faut pas se prendre la tête quand tu vas au resto. C'est dommage...Au contraire, il faut profiter de l'instant présent. Si tu as bien choisi l'établissement, tu ne devrais rencontrer aucun problème, et surtout pas "sortir ton attiraille d'expert".
Tu as de la chance de ne pas encore avoir été "dépecé" par un Chef, car ce sont des personnes très susceptibles et caractériels.
En tout cas étant de la profession avec mon mari, je n'en connai aucun qui soit d'un caractère facile...
Mais vraiment, profite, profitez tous, car c'est trop bête de gâcher une sortie entre amis ou en famille.
Sinon, si tu aimes les bons restos, je te conseille un Excellent Italien: Le Perron à St germain des Prés. Le cadre est géniale ( des bouquins sur les murs, des poutres...), le personnel très pro et chaleureux, et la cuisine à damner tous les Saints!! C'est un peu cher mais ça vaut le coup(en tout cas ça le vallait quand nous y sommes allés) Surtout, reserve et prends une place à l'étage, c'est sublime!!
Juste un dernier que j'ai oublié...
RépondreSupprimerJe dis ça, car étant en salle et mon mari aux fourneaux, je connais la situation pénible quand il y a critique ou réclamation- En général nos clients nous adorent - dans ce cas, je n'expose pas mon personnel, je m'expose moi et j'ai l'oeil assez averti pour reconnaître celui ou celle qui veut faire c... juste pour faire humm... ( il y en a beaucoup...) justement ce qui est censuré plus haut, de celui ou celle qui sait faire constructif. ça passe ou ça casse.
J'ai déjà vu des clients trifouillés leurs assiettes, ou vouloir entrer dans la cuisine, et étant en première ligne, je suis parfois obligée de les remettre gentiement à leur place, ou de hausser le ton, car cela frôle les mauvaises manières...
Alors quand je vais au resto, je fais en sorte de ne pas faire de déformation professionnel, et je reste cool et sympa, sauf si bien sûr le service laisse à désirer.Mais je suis une cliente plutôt agréable, et quand on est agréable on peut tout obtenir...
Génial ton blog ! Quel verbe !
RépondreSupprimerça doit être absolument insupportable de manger au resto avec un bloggeur ... j'en ai entendu dire que c'était vraiment pénible :))))) Et des fois je me dis qu'au resto à plusieurs on passe pour des sombres tarés mais c'est pas grave :)))))
RépondreSupprimerComme je te comprends ! C'est une des raisons pour laquelle nous prenons "le menu dégustation" pour ne rien rater. Je confirme Marion, nous passons pour des tarés.
RépondreSupprimerEh bien moi, même si je blogue (un peu), j'aime bien aussi aller au restau, parce que c'est la fête, parce que je suis servie et aussi parce que c'est souvent bon. Mais chez toi, je veux de la tarte à la citrouille.
RépondreSupprimerD'accord Marion et Helene, on passe pour des tares. Mais au moins on a le droit de gouter a toutes les assiettes des autres. Si c'est pas formidable ca?
RépondreSupprimerDorian, tes tartelettes sont tres sympa, surtout la premiere au titre plein de poesie.
Lili aussi elle est poete, j'aimerais bien m'y arreter un jour.
C'est bizarre mais je t'imagine tres bien sortir ton microscope au restaurant... En tout cas il faut que tu me donne la recette pour que les autres prennent des plats differents parce que moi j'y arrive pas. Dis ta petite tarte au poireau ca doit le faire avec du stilton?!
RépondreSupprimerDorian!
RépondreSupprimerMerci pour ton passage et pour ton gentil message sur mon blog. Je suis d'accord, nous avons quelques points communs: moi aussi j'ai besoin de râler un peu pour bien vivre... et de goûter dans l'assiette de mes voisins quand je suis au restau, afin de ne rien manquer.
Pour l'épicerie de la rue d'Aligre, je crois me rappeler que son nom est Sabah. On la voit en arrivant depuis la rue du Faubourg Saint-Antoine, à l'angle d'une autre rue. Tu ne peux pas ne pas la voir. La question est de savoir s'il restera des sachets de tomates séchées. Je les ai vus en juin ou juillet et il y en avait peu, près de la caisse. Bonne chance dans ta quête!
A très bientôt,
Pernette.
bonjour!
RépondreSupprimerje suis une gourmande seduite par ce blog delicieux! alors qd on est a la recherche d'un resto a strasbourg, je ne peux pas ne pas reagir...
a 5-10min de la gare, un tres bon resto vegetarien tout simple mais delicieux, "poele de carottes". sinon il y a un excellent italien, "la villa cassella" un peu plus haut, ou dans la grand'rue, "l'a table 77" ou "la casserole" (rue des juifs) mais un peu plus cher... en tout cas, regales toi bien... en dessert, tu peux toujours deguster des petites merveilles chez christian ou chez mulhaupt (le roi du chocolat et pain d'epices...)
ravie d'avoir decouvert ton blog, bon sejour a strasbourg
Avant les tartines, les tartes... Celle au potiron et girolles est des plus appétissantes.
RépondreSupprimerLilizen et son restau, depuis le temps...Un passage incontournable semble t il... Mais pourquoi n'ai je pas de raison d'aller dans le bordelais ?
Ah bon, le fait d'être bloggeur donne le droit de goûter à toutes les assiettes des autres ? Ben chouette alors ;-)
RépondreSupprimerMais c'est vrai que ma famille (qui ne sait pas que je bloggue) me regarde de plus en plus de travers quand je dégaine mon appareil à table...
Tiens tu me fais penser que ça fait un moment que je ne me suis pas arrêtée chez Lili, il faut y rémédier très vite! (je dis ça rien que pour te faire bisquer, bien entendu!)
RépondreSupprimerJe me reconnais (un peu!) en toi, quand je vais au resto, j'essaie de persuader Nico que ce dont il a envie, c'est les "crevettes à la crème de vanille et espuma de curry", et non pas "l'entrecôte de ouf à la sauce béarnaise", comme ça je lui picore la moitié de son assiette, en plus de mon plat à moi!! lol
Là où ça commence à être compliqué, c'est quand je sors l'appareil photo... C'est vrai qu'on a l'air de tarés!!!
tout pareil !
RépondreSupprimerle restau n'est plus pour manger mais pour essayer de nouvelles saveurs et associations... en plus, maintenant que j'ai mon blog et que je cuisine, je suis vachement moins difficile... c'est le choix qui le devient (difficile).
Quand a ton qualificatif de "cantine" chez Lili... c'est ça ! Chaque fois que je dois manger en ville, j'emmène les gens chez Lili. MIAM !