Une des phrases que je prononce le plus souvent c'est t'inquiète, ça va, y reste encore l'temps... une réponse que je fais à Marie pour la rassurer et qui curieusement a toujours l'effet l'inverse. Une fois que je lui ai dit ça elle a toujours l'oeil levant de celle qui pense, oui oui t'as le temps, juste le temps d'être en retard ! Il faut dire que l'expérience lui a montré qu'elle n'avait pas vraiment tort... Et depuis longtemps.
Du temps lointain où j'étais seul et abandonné pour affronter la rudesse du monde extérieur, il y avait déjà un jour particulier dans l'année où ceux de l'espèce des " si c'était possible je finirais encore plus ric-rac..." se retrouvaient.
Ce jour-là, c'était le jour de la déclaration d'impôt, un jour ou moi et mes semblables portions vers 23h59 à la boîte aux lettres de cette foutue perception du bout du monde ou de la ville en tout cas, notre déclaration très fraîchement remplie. Parce que curieusement quand on est un chouille en retard, du genre à se rendre compte qu'on a oublié cette foutue déclaration le jour dit vers 22heures, en même temps on se rend compte que la perception dont on dépend, ben justement c'est celle qui est au bout de la ville ! A croire qu'ils attribuent les perceptions selon votre capacité au retard...
Et c'est ainsi que nous nous retrouvions tous autour de la boîte aux lettres, le souffle court et la langue pendante, et que nous glissions la lettre juste juste avant minuit... Là on se jurait de ne plus... avant de dire à l'année prochaine aux collègues de la dernière seconde...
Et pour la petite recette que je vais présenter à Soissons en duo avec ma complice Stéphanie, depuis le printemps je lui dis et lui répète t'inquiète, ça va, y reste encore l'temps... Et là subitement le temps est passé à une vitesse... il y a dû avoir un truc comme une faille ou un écrasement du temps, un de ces trucs qui existent... dans les séries américaines. C'est pas possible autrement, parce que hier il me restait trois mois et ce matin il ne me reste même plus une semaine ! J'comprends pas !
Une des phrases que Marie prononce le plus souvent c'est j't'avais pas dit que t'aurais dû y penser avant ! Et des fois, finalement, elle a peut-être pas tort...
Dans à peine une semaine je serais donc de retour à Soissons, de retour au Salon du blog culinaire organisé par la bande des 750g, ces furieux passionnés de cuisine. Et j'attends ça depuis très exactement 365 jours ! Et si l'aventure continue une deuxième année, et sans doute bien d'autres, c'est aussi parce que certains partenaires ont choisis d'accompagner cette aventure, des partenaires comme Lesieur qui ont été présents dès la première heure. Et c'est pour ça que j'ai choisi aujourd'hui de leur faire un petit clin d'oeil, parce que leur présence va nous permettre, à nous, de nous amuser, de cuisiner, de papoter jusqu'à plus d'heure à refaire le monde et la cuisine... et plein d'autres choses... Une recette à base d'huile d'olive et d'huile spéciale pizza Lesieur.... une recette de pizza qui finit en salade.
Si ce n'était pas une salade ça serait une pizza...
Ingrédients : 200g de pâte à pain (à prendre chez le boulanger) – 1 mozzarella – 1vingtaine d'olives du type picholine – 1dizaine de tranches de copa ou de panchetta – 12 tomates cerise – 2 petites tomates - 1càc de câpres - du basilique et de l'origan – vinaigre balsamique - sel et poivre – de l'huile d'olive et de l'huile spéciale pizza Lesieur
Commencez par cuire la pâte à pain. Etalez-la, de manière à obtenir la forme d'une pizza. Posez la pâte sur un papier sulfurisé. Arrosez-la de quelques traits d'huile d'olive, salez et poivrez assez généreusement puis effeuillez dessus quelques branches d'origan. Enfournez dans un four préchauffé à 180° pendant 25 à 30 minutes. Glissez en même temps dans le four les tranches de copa, elles aussi sur une feuille de papier sulfurisé, et faites-les dorer sans trop insister en les retournant au moins une fois.
Pendant ce temps, coupez les tomates cerise en deux et les tomates en petits quartiers. Effeuillez une quantité généreuse de basilic et d'origan. Coupez en tranches la mozzarella.
Dès que la copa et la pâte sont cuites, déchirez la pâte en gros morceaux. Posez-la sur le plat de service et laissez-la tiédir. Quand elle est tiède répartissez dessus les tomates, le fromage, la copa dorée, les olives, les câpres et les herbes. Arroser alors avec quelques gouttes de vinaigre balsamique puis assez généreusement avec de l'huile spéciale pizza, il faut que ça piquante, et de quelques gouttes d'huile d'olive pour parfumer le tout. Servez sans attendre !
Produits offerts
Et comme je ne suis pas le seul à participer à ce clin d'oeil, vous retrouverez quelques autres recettes chez les participants au salon... par exemple chez Pascale ou chez Claude ou Clémence... à vous de trouver les autres !
Mais pourquoi, bon, et si je me remettais à ma recette pour Soissons moi... est-ce que je vous raconte ça...
Du temps lointain où j'étais seul et abandonné pour affronter la rudesse du monde extérieur, il y avait déjà un jour particulier dans l'année où ceux de l'espèce des " si c'était possible je finirais encore plus ric-rac..." se retrouvaient.
Ce jour-là, c'était le jour de la déclaration d'impôt, un jour ou moi et mes semblables portions vers 23h59 à la boîte aux lettres de cette foutue perception du bout du monde ou de la ville en tout cas, notre déclaration très fraîchement remplie. Parce que curieusement quand on est un chouille en retard, du genre à se rendre compte qu'on a oublié cette foutue déclaration le jour dit vers 22heures, en même temps on se rend compte que la perception dont on dépend, ben justement c'est celle qui est au bout de la ville ! A croire qu'ils attribuent les perceptions selon votre capacité au retard...
Et c'est ainsi que nous nous retrouvions tous autour de la boîte aux lettres, le souffle court et la langue pendante, et que nous glissions la lettre juste juste avant minuit... Là on se jurait de ne plus... avant de dire à l'année prochaine aux collègues de la dernière seconde...
Et pour la petite recette que je vais présenter à Soissons en duo avec ma complice Stéphanie, depuis le printemps je lui dis et lui répète t'inquiète, ça va, y reste encore l'temps... Et là subitement le temps est passé à une vitesse... il y a dû avoir un truc comme une faille ou un écrasement du temps, un de ces trucs qui existent... dans les séries américaines. C'est pas possible autrement, parce que hier il me restait trois mois et ce matin il ne me reste même plus une semaine ! J'comprends pas !
Une des phrases que Marie prononce le plus souvent c'est j't'avais pas dit que t'aurais dû y penser avant ! Et des fois, finalement, elle a peut-être pas tort...
Dans à peine une semaine je serais donc de retour à Soissons, de retour au Salon du blog culinaire organisé par la bande des 750g, ces furieux passionnés de cuisine. Et j'attends ça depuis très exactement 365 jours ! Et si l'aventure continue une deuxième année, et sans doute bien d'autres, c'est aussi parce que certains partenaires ont choisis d'accompagner cette aventure, des partenaires comme Lesieur qui ont été présents dès la première heure. Et c'est pour ça que j'ai choisi aujourd'hui de leur faire un petit clin d'oeil, parce que leur présence va nous permettre, à nous, de nous amuser, de cuisiner, de papoter jusqu'à plus d'heure à refaire le monde et la cuisine... et plein d'autres choses... Une recette à base d'huile d'olive et d'huile spéciale pizza Lesieur.... une recette de pizza qui finit en salade.
Si ce n'était pas une salade ça serait une pizza...
Ingrédients : 200g de pâte à pain (à prendre chez le boulanger) – 1 mozzarella – 1vingtaine d'olives du type picholine – 1dizaine de tranches de copa ou de panchetta – 12 tomates cerise – 2 petites tomates - 1càc de câpres - du basilique et de l'origan – vinaigre balsamique - sel et poivre – de l'huile d'olive et de l'huile spéciale pizza Lesieur
Commencez par cuire la pâte à pain. Etalez-la, de manière à obtenir la forme d'une pizza. Posez la pâte sur un papier sulfurisé. Arrosez-la de quelques traits d'huile d'olive, salez et poivrez assez généreusement puis effeuillez dessus quelques branches d'origan. Enfournez dans un four préchauffé à 180° pendant 25 à 30 minutes. Glissez en même temps dans le four les tranches de copa, elles aussi sur une feuille de papier sulfurisé, et faites-les dorer sans trop insister en les retournant au moins une fois.
Pendant ce temps, coupez les tomates cerise en deux et les tomates en petits quartiers. Effeuillez une quantité généreuse de basilic et d'origan. Coupez en tranches la mozzarella.
Dès que la copa et la pâte sont cuites, déchirez la pâte en gros morceaux. Posez-la sur le plat de service et laissez-la tiédir. Quand elle est tiède répartissez dessus les tomates, le fromage, la copa dorée, les olives, les câpres et les herbes. Arroser alors avec quelques gouttes de vinaigre balsamique puis assez généreusement avec de l'huile spéciale pizza, il faut que ça piquante, et de quelques gouttes d'huile d'olive pour parfumer le tout. Servez sans attendre !
Produits offerts
Et comme je ne suis pas le seul à participer à ce clin d'oeil, vous retrouverez quelques autres recettes chez les participants au salon... par exemple chez Pascale ou chez Claude ou Clémence... à vous de trouver les autres !
Mais pourquoi, bon, et si je me remettais à ma recette pour Soissons moi... est-ce que je vous raconte ça...
j'aime beaucoup rajouter des ingrédients froids sur la pizza, je trouve ça excellent... A samedi !
RépondreSupprimerHumm...une pizza toute légère...avec pleins de légumes et un lichette d'huile pour apporter une touche gourmande. Du bonheur !
RépondreSupprimerSuperbe !!!!
RépondreSupprimera très bientôt
bise
Laurence
j'adore ta pizza-salade, et le balsamique dessus me fait saliver, j'en mets souvent sur mes tartes salées, miammmm !!
RépondreSupprimerAh c'est couleurs ! Ca me fait un de ces effets ! Je crois que je pourrais foncer sur cette pizza même après avoir ingurgité une potée ou un pot-au-feu !
RépondreSupprimerTa petite salade me fait vraiment envie...d'autant que je viens d'avaler uniquement une pomme pour mon diner, après un petit we un peu calorique...j'ai hâte de te voir samedi !!!
RépondreSupprimerBises
Mama mia, je suis conquise par cette pizza-salade ou l'inverse je ne sais plus, c'est une merveille !!! bises
RépondreSupprimerJe suivrai vos aventures passionnément! Et un jour je t'expliquerai la différence entre une perception et un Centre des Impôts ;o))
RépondreSupprimerY a le temps , haha j'ai une impression de déjà vu et entendu (très très souvent mais pas besoin de le préciser hein ;D )
RépondreSupprimerEt quand on se rends compte qu'en fait , il y a plus de temps ouille ouille ouille ;))
Et pour la pizza-salade ou inversement, tu m'as conquise !
Bisooous
Je te déteste ! (bis)
RépondreSupprimerJe comprends Marie: y a rien de plus stressant que "Déstresse!":)
RépondreSupprimerDorian, c'est décidé j'arrête de lire ton blog après le dîner, j'ai faim à minuit systématiquement !!! Cette "sazza" ou "pilade" me torture... Elle est sublime en plus !
RépondreSupprimerMagnifique pizza-salade qui titille les papilles...
RépondreSupprimerQuel plaisir de trouver un petit commentaire de Dorian sur mon blog l'autre jour!
Merci et continue de régaler nos sens avec tes superbes recettes.
Fashion Cook
je n'oublierai pas mon 1er salon, et ma 1ère démo lol
RépondreSupprimer@ bientôt
Océane