L'autre soir j'ai découvert un drôle de bar parisien, le Café Titon dans la rue du même nom, un bar parisien où l'on mange des bretzels et boit une curieuse limonade et des bières au litre. L'autre soir dans ce sympathique bar parisien j'ai rencontré Hélène Kohl l'auteur d'un des nouveaux fascicules des pintades baladeuses qui après Paris, Londres, Téhéran, Beyrouth et New York nous entraine donc du côté de Berlin.
Je connais Hélène Kohl depuis longtemps… enfin je connais sa voix depuis longtemps, je l'entends dans mon post, sur 'reupe 1, ou elle est correspondante à… Berlin forcément. J'imaginais en écoutant sa voix, une austère journaliste, jupe croisée et coupe régulière, carrée, sans le moindre cheveu de travers, un peu à l'allemande quoi... enfin l'Allemagne d'Angela…
Et forcément je " connais " Berlin depuis encore plus longtemps, bien bien plus longtemps.
Berlin pour moi comme pour beaucoup de vieux de mon âge c'est d'abord la ville du mur, la ville coupée en deux dont on ne comprenait pas bien comment on pouvait y arriver et encore moins comment on pouvait y vivre.
Mon oncle, celui de Pologne, celui qui ne s'était même pas arrêté à Paris pressé qu'il était de continuer à l'est, plein est ! Mon oncle de Pologne donc lui disait que c'était la plus belle ville du monde… enfin la ville de l'Est, le Berlin de derrière le mur pour nous. Et moi je l'écoutais en pliant le bec comme pour lui dire tu es sûr tonton vraiment sûr ? Mais lui ne remarquait rien, rien de rien et continuait à encenser son Berlin.
Depuis je sais bien que le mur est tombé et que tout a changé… mais bon quand j'imagine Berlin c'est toujours coupée en deux et espérant la liberté qu'elle à maintenant obtenue.
Et voilà qu'Hélène Kohl déboule dans mes certitudes et…
Quand je me suis assis autour de la table Laure Wautrin était là et elle m'a tout de suite présenté Hélène Kolh, j'ai penché la tête comme pour dire à Laure, tu es sûre que c'est elle ? L'Hélène Kohl qui était là était trop pétillante, trop vive, elle ne semblait même pas allemande ! Mais je n'ai pas eu le temps de demander quoi que ce soit, Hélène m'avait déjà entrainé dans un drôle de Berlin sans Trabant, ni portrait d'Erich Honecker, un Berlin sans le moindre mur… Et à force de la suivre, d'écouter ses histoires et ses descriptions de là-bas, des rues et des gens, je me suis attrapé une furieuse envie d'aller par là-bas Une vie de pintade à Berlin sous le bras à la recherche de toutes les histoires emmagasinées du côté de la rue Titon ce soir-là !
Et si vous voulez vous aussi découvrir le Berlin d'Hélène Kohl, vite vite allez crier dans les commentaires que vous êtes une pintade qui veut le livre d'Hélène, et les cinq premiers cris le recevront !
Et pour ceux qui ne seront pas dans les cinq premiers, l’équipe des Pintades en chef Laure et Layla ont concocté un quizz spécial « Berlin-Madrid » sur facebook avec à la clé : un week-end pour deux à Berlin ou Madrid et 50 exemplaires de Berlin et Madrid. Alors n'hésitez pas à tenter votre chance c'est là : Quizz Pintades !
Et pour ceux qui ne seront pas dans les cinq premiers, l’équipe des Pintades en chef Laure et Layla ont concocté un quizz spécial « Berlin-Madrid » sur facebook avec à la clé : un week-end pour deux à Berlin ou Madrid et 50 exemplaires de Berlin et Madrid. Alors n'hésitez pas à tenter votre chance c'est là : Quizz Pintades !
Suprême de pintade pochée aux épices (recette non testée)
Ingrédients : 4 suprêmes de pintade - 80 cl de bouillon de volaille (frais ou reconstitué) - 2 bâtons de cannelle - 2 étoiles de badiane - cosses de cardamome verte - 2 pincées de piment d’Espelette - 6 grains de poivre - 1 échalote - 1 gousse d’ail - 20 g de beurre - 2 feuilles de laurier - 15 cl de vin blanc - Sel et poivre du moulin
Hachez l’ail et l’échalote et faites-les revenir 5 minutes dans une cocotte avec le beurre sans les faire dorer.
Versez le vin blanc, faites bouillir 2 minutes puis ajoutez le bouillon, les épices, le laurier, un peu de sel. Laissez frémir 10 minutes.
Plongez les suprêmes dans le bouillon épicé, faites-les cuire à feu très doux pendant 20 à 25 minutes et servez-les avec une louche de bouillon.
Vous pouvez aussi faire réduire le bouillon de moitié, le filtrer et ajouter 100 g de beurre en fouettant pour émulsionner la sauce.
Ouvrage offert
Crédits photos ©JC Amiel / Marie Leteuré pour le CIP - www.lapintade.fr
Mais pourquoi, et si demain on allait trainer du côté de Madrid avec les pintades… est-ce que je vous raconte ça…
Je suis une pintade... je veux le livre!
RépondreSupprimerJe suis une pintade!! D'ailleurs j'ai déjà le premier livre!!
RépondreSupprimerJe suis une pintade!!!
RépondreSupprimerHello
RépondreSupprimerJe suis une pintade qui part a la plage se faire bronzer ses suprêmes.... Qui lirait bien ce bouquin en sirotant une limonade !!!
Je suis une super pintade !!! et je veux le lire aussi !!!
RépondreSupprimerEt bien moi je suis un Dindon! Damned 6eme.....
RépondreSupprimerPas mieux qu'AnnaPanika !
RépondreSupprimerTrop taaaaaaaard ! Aaargh.
RépondreSupprimergrrrrrrrrrrr trop tard mais j'aurais bien aimé être une pintade pour une fois.... pfff tant pis j'vais être obligée d'en cuisiner une pendant les vacances...
RépondreSupprimerBonne continuation et bon week-end Pâscal...
cette pintade poché me fait de l'oeil!!!
RépondreSupprimerZe le ve aussi mais c trop tard...
RépondreSupprimerJ'irai bien à madrid avec elles (et toi) :)
RépondreSupprimerAnne-Hélene j'ai besoin de ton mail pour te faire envoyer le livre !
RépondreSupprimer